Le MC Oran aura-t-il les ressources nécessaires pour débloquer moult avatars qui semblent devenir une seconde nature à l'orée de la nouvelle saison ? La problématique du dossier réclamé par la Direction nationale de contrôle de gestion (DNCG) semble encore une fois retourner à la case départ, surtout que ce dossier a encore une fois été rejeté par l'instance présidée par Abdouche. Le motif de ce rejet est le «manque de pièces». Une entrave qui peut nuire aux Hamraoua avant le coup de starter du prochain challenge du championnat. La licence professionnelle est essentielle pour le club afin que ce dernier puisse opérer en toute légalité en Ligue 1. Pour ce faire, la DNCG a de ce fait accordé un énième sursis aux Hamraoua pour qu'ils puissent ajouter les pièces manquantes à ce dossier. Un autre calvaire de plus pour Mehiaoui, qui se démène sur un autre front pour trouver l'argent que réclame (déjà) Casoni, et ce, avant le début du championnat. Le néo-entraîneur corse semble décidé à se faire payer une partie de ses émoluments le plus tôt possible et a de ce fait mis le chairman oranais au pied du mur en lui accordant un ultimatum pour son dû. Idem pour les nouveaux joueurs qui veulent eux aussi recevoir leur argent le plus tôt possible. Le pire dans tout ce brouhaha, c'est que l' aspect financier fait affreusement défaut et le temps joue en défaveur du club phare de l' Ouest, sachant que ce dernier doit rentrer en stage le 18 octobre prochain, et ce, à Tlemcen. Seule éclaircie qui peut donner un brin d'espoir aux fans, c'est l'arrivée de Belkaroui, qui a de ce fait rejoint les entraînements après avoir tergiversé en ne donnant point signe de vie. Ce joueur a failli voir son contrat résilié. Advertisements
