Plusieurs années après l'édification de la nouvelle ville de Sidi Abdellah, le projet de structures commerciales devant servir la population de cette cité n'a toujours pas vu le jour. Faute de marchés couverts, cette méga cité censée montrer ses attributs futuristes, risque au contraire de tomber dans l'anarchie que connaissent les différents quartiers de la capitale. Bien qu'elles soient habitées par près de 50 000 âmes, les autorités locales ne semblent pas, à ce jour, juger utile de démarrer un projet d'une telle nécessité. La situation qui en découle laisse place au commerce informel qui tend à prendre ses marques dans tous les recoins de la ville. En effet, les artères principales sont investies dès l'aube par les vendeurs ambulants de fruits et légumes et autres commerces alimentaires.
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