Comme il fallait s'y attendre, la salle des conférences du campus Ahmed Zabana (au lieudit Zerzara) s'est avérée trop exiguë pour répondre, en terme d'espace, à un évènement de l'envergure du workshop international organisé les 28 et 29 novembre autour de la thématique -ô combien d'actualité de l'architecture bioclimatique et les stratégies dites passives. D'autant que la communauté universitaire intéressée par cette affiche était bien au rendez-vous de cette rencontre scientifique drivée par le Pr Fatiha Bourbia, directrice du laboratoire d'architecture bioclimatique et environnement, à l'origine de cette initiative confortée par l'intervention de scientifiques étrangers et nationaux es qualité et spécialistes au plan des énergies renouvelables, des matériaux de construction, d'urbanisme et de l'environnement d'une manière générale. Partant de ces grands axes de réflexion, communications et débats ont permis tout au long de ces journées de fournir à l'assistance, sous des angles différents, des éclairages issus pour la plupart de thèses de doctorat d'Etat ou relevant de travaux de recherche initiés par différents laboratoires tournés vers la thématique du jour. Entre autres centres d'intérêt, l'attention s'est particulièrement focalisée durant cette première journée sur deux communications présentées par des chercheurs de l'université Mentouri. La première a porté sur les tenants et aboutissants du microclimat urbain et confort extérieur et la seconde a tenté d'apporter des éléments de débat sur l'intérêt vital de concevoir et surtout d'appliquer une stratégie durable d'aménagement des espaces urbains publics
