160 milliards de dinars de recettes pour les Douanes Les caisses de la direction régionale de la douane de Sétif ont enregistré, en 2012, des recettes de 160 milliards de dinars. Ce montant dépasse de 42% le résultat enregistré en 2011. Ce bilan a été rendu public hier en marge de la célébration de la journée mondiale des Douanes. L'on apprend que 160 millions de dinars ont été injectés dans le fonds commun des collectivités locales. De telles recettes sont la résultante des innombrables descentes et contrôles des douaniers qui ont eu à traiter 88 affaires relatives à la contrebande et 56 autres portant atteinte à l'économie nationale et au mouvement de fonds. L'activité des unités douanières des wilayas de Jijel, Bordj Bou Arréridj, M'sila et Sétif, fait, par ailleurs, état de 42913 opérations d'importation pour une valeur de 1000 milliards de dinars. Alors que les déclarations d'exportation ont atteint 93 opérations pour un montant de 570 milliards de dinars. Chaïma Ben. Tala Ifacen : les populations réclament le gaz naturel Plusieurs mouvements de protestation ont été déclenchés ces derniers temps au niveau de la commune de Tala Ifacen contre le retard qu'accuse leur raccordement en gaz naturel. Le mouvement s'est étendu jusqu'à la daïra de Maouklen, où les habitants des villages Ouled Bouaroura, Zouaoua et Aïn Mergoum ont procédé à la fermeture des RN 103 et 75. Les différents projets enregistrés en faveur des régions précitées sont tous restés lettre morte. Ces communes sont pourtant considérées comme prioritaires vu la rudesse de la saison hivernale. Pour les mêmes motifs, les villageois de Laâgaguine ont bloqué la route nationale reliant Aïn Roua à Bouandas. Les populations ont peur que leur projet connaisse le même sort que celui de Tizi N'brahem, qui a vu défiler sans résultat apparent, trois entreprises pour sa réalisation. A. Benabaddallah Aït Noual M'zada : plusieurs villages sans eau depuis 4 mois Plusieurs villages de la commune de Aït Noual M'zada, à l'instar d'Iguenan, Ahfir, et M'zada, sont privés d'eau potable depuis plus de quatre mois. Les habitants sont quotidiennement obligés de parcourir des kilomètres pour se rendre aux sources naturelles qui ne se trouvent pas à côté. Tancés par un tel problème qui perdure, les villageois ne savent plus à quel saint se vouer. «Nos robinets sont toujours à sec ; dire que notre localité disposant de nombreuses sources naturelles, est riche en eau ! Il ne manque donc que les raccordements qui se font désirer », dira un habitant. Pour les responsables de la commune, la détérioration du réseau d'AEP est la principale cause du problème. Notons, à toutes fins utiles, que l'entreprise chargée de la rénovation des canalisations a, pour on ne sait quelles raisons, arrêté ces travaux depuis deux mois. Mohamed O.
