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De la guerre à la révolution
50e Anniversaire du congrès de la Soummam
Publié dans El Watan le 16 - 08 - 2006

Dans notre article précédent (1), nous avions dans un éphéméride succinctement rappelé les phases principales du parcours chaotique du PPA-MTLD qui l'avait conduit de la crise subséquente au détricotage de l'Organisation spéciale (OS) en 1950 jusqu'au déclenchement de la guerre de libération.
Que de chemin parcouru lorsqu'on sait que peu de temps auparavant, un grave infarctus politique avait failli terrasser définitivement tant les hommes que l'organisation qu'ils avaient mise en place pour conquérir la liberté et le pays, perdus depuis 124 ans. Le mouvement doit sa résurrection à l'obstination d'un groupuscule qui ne s'est pas avoué vaincu et qui a sauvé ce qu'il restait d'unité avant de catapulter l'Algérie dans un maelström qui restera comme le moment le plus illustre de toute son histoire moderne. Par la même occasion, nous avions proposé, toujours sous forme de chronologie, quelques dates marquantes jusqu'à l'insurrection généralisée du Nord Constantinois sous la conduite de Zighoud Youcef.
1955 - L'ANNEE DU NON-RETOUR
12 septembre : Interdiction du PCA. Suspension d'Alger Républicain. Pour Ahmed Akkache, ancien secrétaire général de ce parti, qui a incontestablement fait évoluer de façon déterminante les revendications sociales et qui indéniablement a enregistré au profit des travailleurs des succès qui demeurent conséquents : « Le PCA subissait les pesanteurs de sa composition mixte, il avait au moins le mérite de préconiser inlassablement l'union. Sa dernière déclaration officielle, le 1er novembre 1953, appelait solennellement à la constitution d'un front national démocratique pour l'indépendance, la terre et le pain. » Il perdait, lui aussi, des militants (M. Akkache constatait dans ce même entretien que l'UDMA qui « n'arrivait pas à définir une stratégie de rechange constatait une désaffection grandissante de ses militants »). Mais c'était surtout dans les milieux européens. Par contre, sa présence active dans les luttes sociales, de plus en plus nombreuses, et la résistance à la répression (souvent en coopération avec le MTLD) lui attiraient des sympathies grandissantes dans les milieux ouvriers, les régions rurales et les intellectuels d'avant-garde (Kateb Yacine, Mohamed Dib, Malek Haddad, Issiakhem, etc.)(2) Par ailleurs, la célèbre troïka (Boualem Khalfa, Henri Alleg et Abdelhamid Benzine), à la tête du non moins célèbre quotidien Alger Républicain, se souvient : « Dans la nuit du 12 au 13 septembre 1955, le gouvernement français décrète l'interdiction du Parti communiste algérien et de ses ‘'filiales''. » Légalement, Alger républicain ne devrait pas être touché par cette mesure ; comme le reconnaîtront plus tard les juges. En effet, il est constitué en société anonyme et nombre de membres de son conseil d'administration comme de ses collaborateurs ne sont pas communistes. Il n'a pas non plus de liens organiques avec le PCA, il ne s'est jamais proclamé du PCA, et il n'est pas son porte-parole. Mais peu importe la loi. L'essentiel, c'est d'en finir avec ce journal qui s'entête à parler de liberté pour le peuple algérien, de justice, d'égalité, de dignité, qui soutient ceux qui combattent pour ces principes, alors que la parole n'est plus qu'aux geôliers, aux bourreaux, aux tortionnaires, aux fusilleurs, aux incendiaires. Ainsi s'éteint Alger Républicain et tombe le silence. (3)
15 septembre : Le journaliste Robert Barrat publie dans France-Observateur une interview de « chefs rebelles ». Il est arrêté.
26 septembre : Motion de 61 « élus » du 2e collège de l'Assemblée algérienne refusant de participer aux débats sur la politique d'assimilation de Soustelle en se référant à l'idée nationale algérienne.
30 septembre : Par 28 voix contre 27 et 5 abstentions, l'ONU inscrit la question algérienne à l'ordre du jour de sa dixième session. La délégation française se retire. Même si la Commission politique est revenue sur le vote de l'assemblée, il n'en demeure pas moins que la toute jeune diplomatie du FLN aura, pour la première fois, donné de la voix dans les couloirs du building de verre de Manhattan.
7 octobre : Mouvement de soldats français pour la paix en Algérie. 600 rappelés se barricadent dans leur caserne à Rouen (France). Au Quartier Latin (Paris), malgré l'interdit qui la frappe, une manifestation est organisée par les jeunes hostiles à la guerre.
24 octobre : Assassinat de Chihani Bachir, brillant cadre de l'ALN, successeur de Ben Boulaïd, suite à une conjuration menée par ses adjoints Abdelhafidh Adjel Adjoul et Abbas Laghrour qui l'ont accusé d'actes contre nature. Alors que Adjel Adjoul, militant de la première heure et membre du Groupe des 22 ralliera l'armée française suite à une grave crise qui a ébranlé la wilaya des Aurès, pour commander les unités de harkis, le deuxième, conjuré lui aussi membre des 22, après avoir été jugé et condamné par le CCE sera exécuté en 1957 « pour complot »
23 décembre : Les élus UDMA démissionnent de leurs mandats électifs et demandent « la création d'une République algérienne ».
1956 - LE FLN SE DONNE DES STRUCTURES
17 janvier : Les Oulémas d'Algérie demandent officiellement la « reconnaissance » de la nation algérienne.
2 février : Jacques Soustelle quitte Alger, acclamé par la population européenne.
6 février : Guy Mollet, investi le premier février, est conspué par les Européens à Alger.
9 février : Robert Lacoste est nommé ministre-résident.
14 février : Naissance de l'Union syndicale des travailleurs algériens (USTA), d'obédience messaliste.
17 mars : François Mitterrand, ministre de la Justice, signe les décrets 56-268 et 56-269 lesquels permettent la condamnation à mort des militants du FLN pris les armes à la main ou convaincus d'attentats.
24 février : Naissance de l'UGTA. Boualem Bourouba, membre fondateur et animateur de la Centrale syndicale qui dresse le tableau du monde du travail à la veille du 24 février 1956, déclarait dans une interview à El Watan (4) : « Qui étaient les travailleurs algériens ? Vous aviez 10% de fonctionnaires ou assimilés et 90% d'Européens. Dans le secteur privé, nous n'étions guère mieux lotis. En revanche, nous étions nombreux parmi les manœuvres, les saisonniers, les ouvriers sans qualification. Très peu de cadres. Dans la haute administration telle que le Gouvernement général (GG), par exemple, combien y avait-il de cadres ? Deux ou trois et parmi les deux ou trois, il y en avait un ou deux qui avaient un fil à la patte. C'est d'ailleurs un problème qui se posera en 1962 dès après le cessez-le-feu. Un problème que nous avons ressenti avant les politiques qui se chamaillaient en Tunisie pour le pouvoir ou la défense de leur bifteck. » Questionné sur la paternité de l'UGTA, et si elle revenait au FLN, il répond : « Rien de plus faux… Cette affirmation est née après l'indépendance. Relisez la plate-forme de la Soummam. Elle parle de l'UGTA, à aucun moment elle ne dit que c'est le FLN qui l'a fondée. Parce que ce serait une maladresse que de soutenir une telle contrevérité. Jamais un parti politique ne dira, ‘'c'est moi qui ai créé tel syndicat'', il essaiera même de cacher une telle éventualité et les liens qui les lient s'il en est. Cela pour la bonne raison qu'on déconsidère totalement l'organisation syndicale en question que de dire qu'elle dépend d'un parti ou d'une organisation politique. Cela n'a pas de sens (…) En revanche, c'est nous qui avons sollicité les responsables du FLN pour qu'ils nous donnent le feu vert, parce qu'ils demandaient la dissolution de toutes les organisations, afin qu'ils sachent que ce que nous allions créer n'était pas dirigé contre le front, mais était destiné à le soutenir. Je vous dirai qu'ils ont mis un certain temps à se décider. Qu'est-ce que le FLN en 1955 et début 1956 ? Il n'avait pratiquement pas de direction. Ce n'est qu'à partir du Congrès de la Soummam qu'il va se structurer et se doter d'une charpente organique (…) Ne trouvant pas d'interlocuteurs en ce moment-là, nous sommes intervenus par l'intermédiaire d'un camarade syndicaliste, Meziane Misraoui, lui aussi un cheminot qui était à Béni Mansour, un grand militant que nous connaissions depuis 1948, afin qu'il prenne contact avec les responsables de la zone III pour qu'ils nous donnent le feu vert. Nous ne demandions ni financement ni aide d'aucune sorte. Il a fallu la création de l'Union syndicale des travailleurs algériens (USTA) par les partisans de Messali le 14 février 1956 pour que Benkhedda me fasse appeler par Mohamed Draréni. Je devais ensuite recevoir chez moi, dans la clandestinité absolue, Abane Ramdane que je rencontrai pour la première fois et Benkhedda, ils étaient accompagnés du docteur Pierre Chaulet. Nous avons discuté, je leur ai fait part de ce que nous attendions d'eux et qu'ils tiennent les militants informés. J'avais préparé un rapport de situation dont ils ont pris connaissance. Je ne tenais pas à prendre sur moi seul une telle responsabilité. J'ai alors pensé qu'il serait juste que je fasse venir Aïssat Idir, qui était à l'origine depuis 1945, je dirai même 1943, avec Mohamed Belouizdad, du projet de constitution d'un syndicat algérien. J'avais une automobile, j'allais le chercher au boulevard Cervantès où il habitait. Nous tenons donc une réunion à quatre. Abane et Benkhedda nous ont remis un million d'anciens francs pour démarrer. Nous ne demandions pas plus, car très vite nous allions, grâce aux cotisations, être financièrement autonomes. Le Congrès se déroulera le 18 février 1956, le 24 elle recevra son agrément et le 18 mai tous les membres du bureau seront arrêtés.
28 février : Robert Lacoste appelle à un cessez-le-feu et promet des élections dans les trois mois qui suivront la cessation des combats.
2 mars : Indépendance du Maroc.
12 mars : L'Assemblée nationale française, y compris les communistes, vote « les pouvoirs spéciaux en Algérie » (décret 56-274 du 17 mars 1956). Aux termes de cette loi (article 5) : « Le gouvernement disposera, en Algérie, des pouvoirs les plus étendus pour prendre toute mesure exceptionnelle commandée par les circonstances en vue du rétablissement de l'ordre, de la protection des personnes et des biens et de la sauvegarde du territoire. » Par 455 voix contre 76, ces pouvoirs sont accordés au gouvernement Guy Mollet.
20 mars : Indépendance de la Tunisie.
Mai : Grève des examens et des cours à l'université et dans les lycées. Lamine Khène dans un entretien accordé à El Watan apporte un précieux témoignage sur cette date historique (5). En mars 1956, nous nous retrouvons dans la capitale française pour notre deuxième Congrès. Il faut noter, et j'aime à le signaler, que l'Ugema, qui est une association à caractère apolitique, va néanmoins voter une motion de politique générale dans laquelle elle reconnaît le FLN comme seul et unique représentant du peuple algérien, et elle demande au gouvernement français l'ouverture de négociations avec le FLN. Pratiquement un mois et demi après le Congrès, il y a eu des événements à Alger. Des heurts avaient opposé au niveau de la section des étudiants musulmans à leurs collègues européens. De graves menaces avaient été proférées et des armes à feu exhibées. De plus, nous venions d'entendre qu'un de nos camarades qui était ‘'pion'' à Ben Aknoun avait été tué. Nous n'avions pas vérifié l'information et nous n'avons écouté que notre émotion. Nous décidons alors de nous réunir au foyer estudiantin de la rue Robertsau (Télemly), où se trouvait le bureau de la section d'Alger de l'Ugema et où il n'y avait pratiquement que des étudiants musulmans pour examiner la situation (...) Il y avait peu d'étudiants et nous n'avons pas conclu. Aussi, avons-nous décidé de nous revoir le lendemain, après avoir pris plus ample connaissance des événements et pris le soin d'alerter nos camarades. Nous avons eu vent que des étudiants européens projetaient de perturber notre rencontre. Nous avons transféré le lieu du rendez-vous au cercle des Ulémas qui se trouvait à proximité de la mosquée Ketchaoua (…) Je me suis rendu à la réunion avec Allaoua Ben Baâtouche qui était en 3e année de droit et qui était membre du comité directeur de l'Ugema. Moi-même, je n'en faisais pas partie. La salle était pleine, il devait présider la réunion. Je ne sais pas ce qu'il lui est arrivé, sans doute avait-il été submergé par l'émotion, il n'a pas pu prononcer une parole. J'ai donc eu le privilège de présider la réunion. J'étais depuis longtemps militant du FLN, comme l'étaient d'ailleurs beaucoup de camarades. Mais au cours des débats qui se sont déroulés, personne n'a excipé de l'autorité du FLN. A aucun moment, le mot FLN n'a été prononcé. C'étaient des étudiants entre eux qui ont discuté pour finalement décider de la grève des cours et des examens. Comme je présidais la séance, j'ai procédé au vote de la décision. La grande majorité était pour, quelques-uns étaient contre, peut-être une dizaine, un peu moins s'étaient abstenus (…) Ce n'est pas le FLN qui a ordonné la grève. Ce sont les étudiants qui en ont décidé. Je n'en ai pas rendu compte immédiatement à Abane et à Ben Khedda. C'étaient eux qui me contactaient lorsqu'ils avaient besoin de moi. Et puis il y avait plusieurs canaux. Ils ont bien entendu agréé lorsqu'ils ont appris la nouvelle de notre décision.
15 mai : En fin d'après-midi, une information laconique est reproduite sur les téléscripteurs. Quelques mots qui vont bouleverser les données du problème algérien : Du pétrole a jailli au Sahara. Retransmis par Alger, le communiqué de la SN. REPAL (Société nationale de recherche de pétrole au Sahara) précise avec une rigueur toute professionnelle : « La sonde du puits MD1, foré sur le permis d'Oued Mya, au lieu-dit Hassi Messaoud, à 75 km au sud-est de Ouargla, a rencontré le toit de grès imprégné d'huile à 3,330 m et a traversé la couche sur 140 m. »
27-28 mai : Premier ratissage de La Casbah.
Juin : Parution du numéro un d'El Moudjahid, organe central du Front de Libération nationale sous forme d'un « polycop » ronéoté. Il gardera la même formule pour les 6 premiers numéros.
19 juin : La répression coloniale actionne la guillotine. Premières exécutions à la prison de Barberousse (Serkadji). Ahmed Zabana et Abdelkader Ferradj, malgré les demandes de grâce de plusieurs personnalités, notamment le Cardinal d'Alger Léon Etienne Duval.
26 juin : Confirmation du jaillissement du pétrole à Hassi Messaoud.
5 juillet : Grève anniversaire de la prise d'Alger en 1830.
21 juillet : Rencontre exploratoire à Belgrade entre des émissaires du gouvernement français et des représentants du FLN (M'Hamed Yazid et Ahmed Francis).
L'effectif des forces armées françaises passe de 200 000 à 402 000 hommes.
10 août : Des ultras posent une bombe rue de Thèbes à La Casbah : 70 morts.
20 août : Congrès du FLN à Ifri dans la vallée de la Soummam.
Sources :
1 - El Watan du 9 août 2006
2 - El Watan du 22 mai 2006
3 - La grande aventure d'Alger Républicain. Boualem Khalfa / Henri Alleg / Abdelhamid Benzine. Ed. Messidor Paris 1987.
4 - El Watan du 19 février 2005
5 - El Watan. Spécial 50e anniversaire du 1er Novembre 1954. 31 octobre 2004


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