Arbitrage : Belkacem, Belkheir, Deffar Avertissements : Marrouci, Zemmouchi, Chahloul (USMB). Cheklam (ASO) Buts : Kechamli (34') ASO. Edzenga (37') USMB ASO : Messai, Belahouel (Mouas), Cheklam, Zaoui, Ziane Cherif, Abbou, Bouhafs (Balbone), Kechamli, Boukhari, Aïssani (Badni), Emmanuel Entr. : Amrani. USMB : Samadi, Benayada, Zemmouchi, Diss, Marrouci, Harbeche, Rebih, Belaouadi, Chebira (Belouahem), Edzenga (Zouani), Chahloul (Medjoudj) Entr. : Mouassa La rencontre, qui s'est jouée devant un public peu nombreux, a été d'un niveau tout juste moyen et a tourné parfois au pousse-ballon. A croire que les deux équipes étaient diminuées physiquement et ne parvenaient pas à imposer leur jeu. La canicule ne peut expliquer à elle seule ce mauvais rendement après deux journées du championnat. L'ASO menait au score dès la 34' grâce à un but du défenseur Kechamli, qui a su exploiter une incursion de ses coéquipiers dans le camp adverse. Mais la joie dans le camp chélifien ne sera que de courte durée puisque trois minutes après, l'attaquant Edzenga égalise d'un tir croisé des 18 m. A dix minutes de la fin, l'Olympique a forcé son adversaire à se replier massivement en défense, mais sans parvenir à franchir la muraille dressée autour de l'excellent Samadi. Presse écrite humiliée au stade de Chlef Certains titres de la presse écrite ont du mal à franchir les portes d'accès du stade olympique à l'occasion de la rencontre ASO-USMB. Nous avons dû attendre plus d'une heure pour pouvoir enfin accéder grâce au bon vouloir d'un organisateur. Les agents de l'OPOW postés à l'entrée du stade ont fait preuve d'un comportement scandaleux à l'égard des représentants de la presse écrite, malgré la présentation des cartes de presse et d'ordres de mission. D'après eux, il existe deux accès, l'un pour les médias lourds et l'autre pour la presse écrite. Le premier est compris dans la partie réservée aux « officiels » et le second est situé de l'autre côté du stade avec un semblant de parking exposé aux jets de pierres. C'est, semble-t-il, une décision de la commission de wilaya d'organisation qui continue manifestement à privilégier la télévision et la radio pour des raisons obscures. Le MJS, dont on disait qu'il n'était pas du tout content de la gestion du stade olympique, devrait réagir pour mettre fin à ce traitement discriminatoire.
