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Plumes d'Algérie et du monde
Sila. Panorama des grands auteurs invités
Publié dans El Watan le 29 - 10 - 2016

Un Salon du livre s'apprécie aussi par la présence de grands auteurs. Nous présentons ici ceux que le SILA a invités pour sa présente édition. De nombreux autres écrivains sont programmés dans diverses rencontres ainsi que sur les stands de leurs éditeurs. Voilà donc ces grandes figures algériennes et étrangères qui animeront les estrades du SILA et que vous pourrez rencontrer pour ceux qui ne sont pas déjà passés jeudi et vendredi*
Roubeï El Medhoun
Né en 1945 dans la ville de Medjedel au sud de la Palestine, Roubeï El Medhoun vit et travaille à Londres en tant que journaliste et écrivain. Il est le premier romancier palestinien à décrocher le prestigieux Booker Prize arabe. Il a vécu dans sa chair la colonisation de son pays et, à partir de 1948, sa famille a dû se réfugier à Ghaza dans le camp de Khan Younès où il a grandi avant d'aller en Egypte pour ses études universitaires. Titulaire d'une licence en histoire, il quitte l'Egypte en 1970 et travaille depuis dans le domaine médiatique. Etabli à Londres, il est actuellement journaliste pour le quotidien Echarq El Awsat. Roubeï El Medhoun est l'auteur de trois romans ainsi que d'un recueil de nouvelles. Sa littérature explore les traumatismes de la dépossession et de l'exil engendrés par l'agression sioniste. Son dernier roman intitulé Destins : concerto pour Haulocaust et Nakba a paru en 2016. C'est avec ce roman qu'El Medhoun sort vainqueur de la neuvième édition du Booker Prize arabe. Divisé en quatre parties, l'œuvre imite les mouvements du concerto qui se rejoignent à la fin pour traiter de questions liées à la Nakba, à l'Holocauste et au droit au retour des Palestiniens. (Jeudi 27 oct. 14h).
Jean-Noël Pancrazi
Né à Sétif en 1949, Jean-Noël Pancrazi est un écrivain français. Ses années d'enfance en Algérie marqueront durablement son œuvre. Il vit en France depuis 1962. Agrégé de lettres modernes, en 1972, à l'université de la Sorbonne, sa première publication est un essai sur le poète Stéphane Mallarmé. Collaborateur au Monde des Livres, il est également membre du jury du Prix Renaudot depuis 1999. Romancier prolifique, Jean-Noël Pancrazi est l'auteur de plus d'une dizaine de romans et récits salués pour leur style recherché. Son premier roman, La mémoire brûlée, est publié au Seuil en 1979. D'autres récits suivront à un rythme régulier. Son œuvre romanesque opère généralement un retour sur sa mémoire algérienne à partir de Madame Arnoul, publié en 1995, qui lui vaudra les prix Albert Camus, Maurice Genevoix et le prix du Livre Inter. Il poursuit avec Long séjour et Renée Camps qui complètent la trilogie de la mémoire familiale. Son roman, La Montagne, paru en 2012, revient à nouveau sur son enfance algérienne réveillant des souvenirs douloureux de la guerre. L'œuvre de Pancrazi aborde par ailleurs les questions de l'écologie ou encore le drame des sans-papiers dans Indétectable. (Jeudi 27 oct. 15h30).
Jean-Christophe Ruffin
Né en 1952 à Bourges (France), Jean-Christophe Ruffin est médecin, historien, écrivain et diplomate. Elu à l'Académie française en 2008, son œuvre littéraire développe les thèmes du voyage, de la rencontre de l'autre et questionne les rapports entre les hommes et les cultures. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris et ancien chef de clinique à la Faculté de médecine de Paris, Ruffin s'est engagé dans le mouvement humanitaire puis dans une carrière diplomatique. Il a été, notamment, vice-président de Médecins sans frontières et président d'Action contre la faim. Il remettra en question l'approche humanitaire dans des ouvrages tels que Le piège humanitaire (1986) ou Les causes perdues (1999). Sa fonction de diplomate l'amène à séjourner longuement au Brésil, au Sénégal et en Gambie... Il tirera de ses déplacements une œuvre littéraire qui s'inscrit dans la grande tradition du récit de voyage. Parmi ses distinctions on peut citer le Goncourt du premier roman pour L'Abyssin (1997) et le Prix Goncourt en 2011 pour Rouge Brésil. Paru en 2015, et déjà couronné du Prix Grand témoin, son dernier roman, intitulé Check-point, revient sur le drame de la guerre de Bosnie-Herzégovine. (Vendredi 28 oct. 14 h).
Habib Sayah
Né en 1950 à Mascara, Lahbib Sayah est un auteur algérien à l'œuvre romanesque d'une grande originalité. Il a passé son enfance et son adolescence à Saïda avant d'effectuer des études en littérature à l'université d'Oran. Il occupe par la suite des postes dans l'enseignement et collabore régulièrement dans la presse en Algérie comme dans le monde arabe. En 1994, il part vivre en Tunisie puis au Maroc avant de revenir au pays. Sayah s'est distingué par l'élaboration d'une œuvre romanesque complexe qui convoque l'histoire récente et les dilemmes qui traversent la société algérienne. On lui doit le recueil de nouvelles El qarar (1979) et de nombreux romans, à l'image de Asouôud ila el asfal (1981), Zaman Annamroud (1985) ou encore Dhak el hanin, paru en 1997 et traduit vers le français en 2002. Avec les romans suivants, tel Madhnoubou, lawnou damihim fi kafi (Sur ma main encore le sang des coupables, 2009), Sayah mène une plongée dans la mémoire douloureuse des tragédies vécues par l'Algérie. Son dernier roman, Colonel Zbarbar, paru aux éditions Saqi (Liban) en 2015, opère un retour sur la guerre de Libération nationale pour projeter un nouvel éclairage sur l'évolution de l'Algérie. (Vendredi 28 oct. 15h30).
Dany Laferrière
Né à Port-au-Prince en (Haïti) en 1953, Danny Laferrière est un écrivain haïtien et québécois. Elu à l'Académie française en 2013, il est l'un des rares membres de cette institution à ne pas posséder la nationalité française. Après des études secondaires au collège canado-haïtien, il commence à travailler à l'âge de dix-neuf ans en tant que journaliste à la radio et dans la presse écrite. A la suite de l'assassinat de son ami Gasner Raymond, il part à Montréal en 1976. Pendant huit ans, il enchaîne les emplois précaires et lit avec voracité en caressant le rêve de devenir écrivain. Il commence à publier ses romans à partir de 1986 et obtient un grand succès. Ses œuvres sont rapidement adaptées au cinéma. Il s'installe par la suite à Miami et parachève son Autobiographie américaine composée du cycle haïtien et du cycle américain. Il obtient de nombreuses distinctions, dont le prix Médicis 2009 pour L'Enigme du retour. S'inspirant largement de son vécu, ses romans déroutent par leur style. Laferrière n'hésite pas à réécrire ses romans publiés auparavant, à l'image de sa dernière parution, Mythologies américaines (2016), qui revisite ses premières œuvres romanesques trente ans après. (Dimanche 30 oct. 14h).
Waciny Laredj
Né à Tlemcen en 1954, Waciny Laredj a été professeur de littérature à l'université d'Alger avant d'enseigner à la Sorbonne de Paris, où il vit depuis 1994. Ses premières œuvres ont paru alors qu'il était encore étudiant à l'université de Damas. Avec une œuvre romanesque prolifique et novatrice, et écrivain, il est aujourd'hui une des voix importantes de la littérature arabe. En perpétuelle recherche de nouvelles formes d'écriture et d'expérimentations littéraires, il a publié plus d'un vingtaine d'œuvres parmi lesquelles : Allayla sabiâa baâd al alf, Harissat adhilal, Kitab el amir, Ramad acharq… Ses romans sont traduits dans plusieurs langues et il a lui-même traduit certaines de ses œuvres de l'arabe au français. Parmi ses œuvres parues en français on peut citer Fleurs d'amandier, Le livre de l'Emir et Les fantômes de Jérusalem. Saluée par la critique pour la qualité de son écriture Waciny Laredj a reçu de nombreuses distinctions, à l'image du prix du roman algérien (2001), prix international du roman au Qatar (2005), prix des libraires d'Algérie (2006), Grand prix du Cheikh Zayed (2007), prix du Livre d'or au SILA (2008) ou encore le prix Qatara (2015) pour Le royaume du papillon. (Dimanche 30 oct. 15h30).
Edwy Plénel
Né en 1952 à Nantes (France), Edwy Plenel est un journaliste politique français. Il est cofondateur du journal électronique Mediapart. Après une enfance en Martinique, il passe cinq ans en Algérie, jusqu'en 1970, où il entame ses études universitaires. Militant communiste, il est d'abord journaliste à l'hebdomadaire Rouge à partir de 1976 puis intègre, en 1980, la rédaction du Monde. Il en devient directeur de la rédaction de 1996 jusqu'à sa démission en 2004. En désaccord avec les orientations prises par le journal et le groupe, il quitte le journal pour d'autres aventures. Il cofonde, en 2008, le site Mediapart et joue un rôle-clé dans la révélation d'affaires touchant à la classe politique française. Présent dans les grands médias comme une voix dissonante et originale, Edwy Plenel a également publié une vingtaine d'ouvrages dont La République inachevée (1985), La Part d'ombre (1992), Secrets de jeunesse (lauréat du prix Médicis en 2001), Le Droit de savoir (2013) ou Pour les musulmans (2014) qui dénonce la montée de l'islamophobie en France. Avec Voyage en terres d'espoir (2016), il invite à se souvenir des militants français de l'égalité oubliés par l'histoire officielle. (Lundi 31 oct. 14h).
Alberto Ruy-Sanchez
Né à Mexico en 1951, Alberto Ruy-Sanchez est un écrivain mexicain. Après des études littéraires à Paris, il obtient son doctorat et aborde une carrière d'éditeur. Il dirige depuis 1987 la revue Artes de Mexico. C'est également en 1987 qu'il publie son premier roman Les visages de l'air (Los nombres del aire), qui se déroule au Maroc et obtient un succès fulgurant. Il décroche en effet le prestigieux prix Xavier Villaurrutia et l'ouvrage devient un roman culte, largement réédité au Mexique et traduit en plusieurs langues. L'auteur poursuit son exploration du désir dans des romans tels que Les lèvres de l'eau (En los labios del agua) ou La main du feu (La mano del fuego). Plus d'une vingtaine de titres composent son œuvre qui se partage entre romans, récits, poésie ainsi que de nombreux essais sur la littérature et les arts. Alberto Ruy-Sancheza a été accueilli comme conférencier et professeur invité dans plusieurs universités d'Europe, d'Asie, d'Afrique du Nord et d'Amérique. Son œuvre, traduite dans plusieurs langues, a reçu diverses distinctions au Mexique et dans le monde. Son écriture dense et travaillée se déploie dans de courts romans qui séduisent le public et la critique. (Mercredi 2 nov. 14h)
Didier Daeninckx
Né en 1949 à Saint-Denis (France), cet écrivain a exercé auparavant les métiers d'ouvrier imprimeur, animateur culturel et journaliste localier. Auteur de nombreux romans policiers, nouvelles et essais, il a grandi à Aubervilliers, où il a arrêté ses études à l'âge de 16 ans. Après un premier roman qui passe inaperçu, il publie, 1984, Meurtres pour mémoire dans la Série noire de Gallimard. Ce roman revient sur la répression sanglante des manifestations FLN à Paris, le 17 octobre 1961. Il a, depuis, fait paraître une trentaine de romans qui ancrent leurs intrigues dans la réalité sociale et politique. Il est aussi auteur de nombreuses nouvelles et lauréat du Goncourt 2012 de la nouvelle. Auteur prolifique, il a également collaboré avec des bédéistes, des photographes et écrit des scénarios. Plusieurs de ses romans ont été adaptés à l'écran, comme La repentie ou La mort n'oublie personne. Parmi ses derniers ouvrages, L'école des colonies, paru en 2015, braque les projecteurs sur les errements idéologiques de l'école coloniale. Il continue ainsi son analyse du passé colonial français, qu'il avait entamée dans le roman Cannibale (1998) sur les «zoos humains» de la IIIe République. (Vendredi 4 nov. 14h).
Amin Zaoui
Né en 1956 à Tlemcen, cet écrivain algérien ne finit pas d'étonner par son audace. Après un doctorat en littérature comparée, il a enseigné la littérature et la traduction à l'université en Algérie et en France. Il a dirigé le Palais des arts et de la culture d'Oran et fut également directeur général de la Bibliothèque nationale d'Algérie. Ecrivain bilingue, Amin Zaoui est l'auteur de nombreux romans en arabe (Se réveille la soie, Le hennissement du corps, Le huitième ciel, La voie de Satan…) et en français (Harras des femmes, Festin de mensonges, La chambre de la vierge impure, Le miel de la sieste…). Ses œuvres, traduites dans une dizaine de langues, se caractérisent par une singulière liberté de ton. Traducteur de Mohammed Dib et Yasmina Khadra, Amin Zaoui œuvre à dépasser les barrières linguistiques pour une approche globale de la littérature algérienne. Son roman, Qabla el hobi bi qalil, explore les thèmes de la passion amoureuse et de la lutte de pouvoir. Engagé dans l'animation de la scène culturelle, l'écrivain a produit et animé des émissions littéraires. Sa dernière parution, Un incendie au paradis, est un recueil de chroniques publiées dans la presse algérienne. (Vendredi 4 nov. 15h30)
Costa-Gavras
Né en 1933 en Arcadie (Grèce), Costa-Gavras, de son vrai nom Konstantinos Gavras, est un cinéaste franco-grec. Son œuvre cinématographique, souvent inspirée par la littérature, est traversée par un fort engagement politique et social. Il a quitté son pays natal à l'âge de 19 ans pour s'installer en France où il est diplômé de l'Institut des hautes études cinématographiques. Il réalise, en 1965, son premier film intitulé Compartiments tueurs qui lance sa carrière. C'est avec Z, inspiré du roman éponyme de l'écrivain grec Vassilis Vassilikos, qu'il obtient un succès international confirmé par ses films suivants : L'Aveu, Etat de siège, Missing, Music Box ou encore Le Capital sont autant de chefs-d'œuvre qui témoignent de sa qualité de réalisateur d'exception. Il a adapté par ailleurs un roman de Romain Gary dans Clair de femme (1979). Présent à Alger en 2012 pour le Festival international du cinéma d'Alger, il rappelait volontiers sa dette envers l'Algérie. En effet, son film Z (1969), récompensé à Cannes, aux Oscars et aux Golden Globes, était coproduit par l'Algérie. Il a produit à son tour des films algériens, à l'image de Maintenant ils peuvent venir de Salem Brahimi (2015). (Mercredi 1er nov. 14h).



*Toutes les estrades sont programmées dans la Salle du SILA au Pavillon central du Palais des expositions à l'exception de celle d'Edwy Plénel qui aura lieu à la salle El Djazaïr.
Nous avons appris que le grand cinéaste Costa Gavras ne pourra finalement pas être présent au SILA mais, étant donné que le Cycle littérature et cinéma lui est consacré, nous avons conservé ici sa biographie.
Ces biographies sont extraites du catalogue de la 21e édition du SILA avec l'aimable autorisation du comité d'organisation.


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