Mort suspecte d'une jeune fille à Oran Une jeune fille a été découverte sans vie dans une maison sise à la cité El Waffa à Akid Lotfi. D'après la cellule de communication de la Protection civile, la jeune fille, âgée de 18 ans, a été découverte morte avec un foulard noué autour du cou vers 20h50. Son cadavre ne portait aucune trace de violence ou de décomposition. La défunte a été déposée à la morgue de l'hôpital 1er Novembre afin de subir une autopsie et une enquête de police a été ouverte pour élucider cette morte suspecte. Z. S. Le nombre de victimes sur les routes en baisse à Mostaganem Le nombre de morts sur les routes dans la wilaya de Mostaganem a enregistré une baisse sensible de 14% au cours des dix premiers mois de l'année en cours, avec 55 personnes tuées, soit 44 de moins par rapport à la même à période de 2015 et 351 blessés contre 411, a-t-on appris lors de la campagne de sensibilisation au profit des usagers de la route, organisée par le groupement de la Gendarmerie nationale du 4 au 17 décembre, sous le slogan : «Tous ensemble pour une meilleure sécurité routière». Comme on apprend que les conducteurs disposant d'un permis de conduire de moins de cinq ans représentent plus de 40% des personnes impliquées dans les accidents de la route. Pour réduire le nombre d'accidents de la circulation, plusieurs campagnes de sensibilisation ont été organisées au profit des usagers de la route, les appelant au respect du code de la route et à davantage de vigilance pour la sécurité de tous. L. H. Deux enfants meurent noyés à Sig Deux enfants, âgés de 11 et 12 ans, ont péri, noyés, avant-hier, dans un bassin d'irrigation agricole de la ferme Si Zaghloul, dans la commune de Sig, à 45 km de Mascara. Alertés par un citoyen, les sapeurs-pompiers ont repêché les deux corps sans vie des enfants pour les transférer à la morgue de l'hôpital de Sig. Selon les premières informations, les deux enfants auraient décidé de se baigner en dépit du mauvais temps. En attendant les résultats de l'enquête des gendarmes. A. S. Carences dans les infrastructures sportives à Béchar Que ce soit l'auberge des jeunes de 50 lits, dans la commune de Beni Ounif (110 km au nord de Béchar), ou au stade gazonné de Béchar Djédid, réalisé sans la mise en place des caniveaux et le fonctionnement de l'éclairage public, ou encore les salles spécialisées de gymnastique, salles de boxe, etc., la situation est la même, malgré les efforts consentis en faveur des jeunes. Les gestionnaires de ces structures sont majoritairement issus du dispositif du filet social et manquent cruellement de personnel pédagogique. Certains travaillent depuis plusieurs années, mais n'ont jamais été intégrés. C'est le constat relevé, jeudi, à Béchar, par le ministre de la Jeunesse et des Sports, qui a inspecté les structures relevant de son département. Mais les carences les plus criantes qui ont retenu l'attention sont situées au niveau du projet de réalisation de la piscine olympique de 1600 places, la première à l'échelle nationale, dit-on. Inscrite en 2007, son démarrage n'a été effectif qu'en 2011, subissant les contrecoups de multiples arrêts et reprises de travaux dus à l'instabilité du groupe Bâtimétal en charge du projet. S'ajoute à cette instabilité, la révision de l'emplacement de la charpente métallique. Le retard du projet a induit des réévaluations de l'autorisation de programme, passant initialement de 250 à 593 millions de dinars. En outre, la piscine semi-olympique de Kenadsa (20 km à l'ouest de Béchar) confiée à la même entreprise, a subi également le même retard de plusieurs années. Mais les travaux de finition de cette dernière seront achevés au cours du 1er trimestre 2017, avec toutefois une réévaluation estimée à 300 928 millions de dinars, alors qu'initialement elle était à 120 millions de dinars. En outre, 5 stades communaux de la wilaya ont bénéficié d'une opération de couverture avec gazon synthétique, dont le montant global s'élève à 30 milliards de centimes. Le deuxième stade communal de Béchar a abrité, à cette occasion, la finale de la 4e édition de la coupe d'Algérie interquartiers, lancée en janvier dernier, qui a regroupé plus de 80 000 jeunes. Le coup d'envoi a été donné par la délégation ministérielle. M. N.
