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Spectacle. Le cirque Amar
Sous le plus grand chapiteau du monde
Publié dans El Watan le 30 - 08 - 2007

Voici un cirque qui passe de père en fils depuis six générations : Il Florilegio ou communément baptisé cirque Amar. Créé en 1872, le cirque Amar est, après le retrait du père converti sur le tard à la politique (il est actuellement ministre en Italie, selon l'aîné de ses enfants), aux mains de Max. Son frère Stève, 29 ans, est dompteur. Métier périlleux où le cirque est omniprésent.
La preuve, le jeune homme, dont la musculature tout en finesse n'est pas sans rappeler celle des félins dont il a choisi de partager la destinée, qui est de vivre dans un cirque, l'arbore sur la lèvre supérieure sous forme d'une égratignure faite par la patte d'un tigre, et sur le bras gauche, sous forme d'une large coupure (ancienne celle-là), causée par un coup de griffes léonines. Le cirque Amar, ou Il Florilegio, emploie actuellement 100 personnes dont 50% de nationalité algérienne. L'autre moitié est composée de 12 nationalités dont des Belges, des Français et des Hollandais, selon Max, l'aîné, âgé de 32 ans. Il Florilegio, qui effectue, cette année, sa quatrième tournée en Algérie, séjournera deux semaines à Bouira avant de se rendre à Alger où il offrira au public algérois un spectacle de qualité. Au sujet de la prestation, le cirque Amar n'a qu'un rival en Italie d'après son jeune patron, le cirque Américano, appartenant à l'oncle Tony. Bien que Max affirme que, pour ce qui est de la qualité des spectacles, son cirque vient après celui de son oncle Tony. Il déclare, cependant, qu'il n'y a pas de cirque plus grand que d'autres : « C'est une affaire d'appréciation personnelle. » Et à titre illustratif : « C'est comme pour les journaux. En connaissez-vous un qui soit plus grand que les autres ? » Comparant son cirque à une ville, Max affirme que pour le gérer de façon irréprochable, il est obligé de faire en sorte qu'il ne manque ni d'eau ni d'électricité, ni de main d'œuvre pour l'exécution d'une multitude de tâches nécessaires à la vie courante. Max et Tony Stène, qui possèdent deux autres cirques en tournée actuellement dans les pays arabes, en l'Iran et en Italie, se félicitent de l'accueil enthousiaste rencontré en Algérie. Pendant que l'entretien se déroulait devant le chapiteau vieux de près d'un siècle et demi, celui-ci bruyait des cris d'admiration arrachés à la foule par les premiers numéros exécutés à Bouira. « Un cirque demande beaucoup d'énergie et d'argent pour fonctionner », conclut Max pour montrer que c'est un métier usant.

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