Hadj Belhajar Abdenaceur est président du comité d'un grand quartier de Mansourah. Une ville du grand Tlemcen, riche par ses ruines et son pôle universitaire, un véritable joyau moderne. Le président, un fonctionnaire, la cinquantaine, tient à son quartier comme à la prunelle de ses yeux… Savez-vous que les ruines de Mansourah sont menacées ? C'est terrible, des constructions illicites ont été érigées à proximité des ruines, alors que les lois l'interdisent. Nous n'avons cessé d'interpeller les responsables concernés sur cette mascarade et nous sommes en train d'interpeller les nouveaux élus qui en sont conscients et prêts à réagir. A propos d'élus, il semble que rien ne va plus à l'APC de Mansourah ?! Sans entrer dans une polémique stérile, nous souhaitons que nos élus soient unis pour l'intérêt de la population, surtout qu'ils sont de bonne famille. Avec eux, nous espérons que les citoyens sentent le changement et que les promesses faites lors de la campagne soient tenues. Même le wali a déclaré qu'il aiderait les APC qui travaillent. Une APC qui a du pain sur la planche… En effet, la saleté inonde le quartier, certaines cités sont sans gaz, sans éclairage public, sans routes bitumées. Le parc communal manque de matériels et de personnel. Nous avons un très bon chef de Daïra qui a besoin d'élus studieux. Mansourah peut se targuer d'avoir un des meilleurs pôles universitaires du pays, à nous tous d'être à la hauteur…
