Des documents secrets de sociétés occidentales, dont certaines sont françaises, ayant des filiales en Algérie, ont révélé leur implication dans de vastes opérations d'espionnage qui se concentre en particulier sur les secteurs de sécurité, informatique et télécommunications. Des documents secrets de sociétés occidentales, dont certaines sont françaises, ayant des filiales en Algérie, ont révélé leur implication dans de vastes opérations d'espionnage qui se concentre en particulier sur les secteurs de sécurité, informatique et télécommunications. Le site web de Wikileaks a publié jeudi une nouvelle quantité de documents secrets de sociétés internationales de communication et d'informatique, montrant sa mainmise sur le monde des communications et des télécommunications, et d'espionnage sur tous les réseaux de communication dans le monde. Ces documents publiés par Wikileaks et qui risquent de faire scandale dans le monde, sont une liste des noms des sociétés spécialisées dans la sécurité informatique et les télécommunications. Parmi celle-ci, des sociétés françaises possédant des filiales en Algérie ayant reporté des marchés pour présenter des services à de nombreuses institutions algériennes, à l'instar de « Amisis » du groupe français Bill, représentée en Algérie par le neveu du colonel à la retraite Chouaïb Oultache, meurtrier du directeur général de la sûreté nationale. On trouve aussi sur la liste publié par Wikileaks, la société HP, connue dans le monde d'informatique, représentée elle aussi en Algérie par la société ABM. Concernant l'Algérie toujours, on trouve aussi la société Talas, chargée depuis deux semaines de la gestion des opérations d'étude de dossiers de demande de visa de l'espace Schengen, en Algérie. Ce qui veut dire que toutes les données personnelles des algériens demandeurs de visas d'entrée dans l'espace Schengen seront entre les mains d'une société d'espionnage.
