L'ancien journaliste Abdelhak Bouatoura est décédé, hier, à l'âge de 59 ans, à la clinique Al Azhar (Alger), des suites d'une maladie gastrique, a-t-on appris auprès de ses proches. Le défunt a travaillé à l'hebdomadaire Algérie Actualité avant de passer au quotidien Horizons où il a exercé pendant de longues années. Feu Bouatoura avait occupé le poste de chargé de la communication au ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pendant une dizaine d'années. Le défunt sera enterré, aujourd'hui, au cimetière de Garidi, à Alger. Ses anciens collègues se souviennent d'un homme affable L'ancien journaliste Abdelhak Bouatoura est décédé, hier, à l'âge de 59 ans, à la clinique Al Azhar (Alger) des suites d'une maladie gastrique. Le défunt a travaillé à Révolution africaine, à Horizons puis à Algérie Actualité. Bouatoura a occupé le poste de chargé de la communication au ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pendant une dizaine d'années. Ses anciens collègues d'Horizons gardent de lui l'image d'un homme jovial et professionnel. « C'était mon chef de rubrique lorsque j'ai commencé à Horizons au début des années 1990. Je garde de lui l'image d'un homme qui avait le sens de l'humour. Il avait cette capacité à détendre l'atmosphère, chose dont on a toujours besoin dans notre profession. Il avait le don de dédramatiser des situations à l'apparence compliquée », dira Saïd C.. Pour notre interlocuteur, « Bouatoura, affable, écoutait les propositions de ses éléments pour la confection du menu et ne mettait jamais des œillères ou des balises dans le travail ». Un autre ancien du quotidien Horizons, Mokhtar B., garde l'image « d'un homme très détendu, toujours souriant ». De son côté, Larbi L., photographe de presse, se souvient d'un « chargé de la communication au ministère de l'Intérieur très sociable facilitant le travail des médias. Sa nomination à ce poste s'est faite à une période très difficile mais cela n'a point affecté ses relations avec les professionnels de la presse ». Le défunt sera enterré aujourd'hui au cimetière de Garidi à Alger.
