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Il est synonyme chez nous de dilettante
Le temps, c'est vraiment de l'argent ?
Publié dans Info Soir le 20 - 03 - 2010

Phénomène n Le non-respect du temps est une règle dans tous les secteurs d'activité, dans les différents segments de la société ainsi que dans la vie de tous les jours dans notre pays.
C'est se bercer d'illusions que d'espérer trouver des administrations, des hôpitaux, mairies ou autres services publics qui respectent leurs horaires d'ouverture, de fermeture, de travail et même de repos.
Il est ainsi devenu une règle chez nous que les différents services publics tels que les hôpitaux, les postes, les services communaux et autres n'ouvrent leurs portes qu'à partir de 8h 30 dans le meilleur des cas. Les retards d'ouverture peuvent atteindre parfois plus d'une heure et ainsi causer de nombreux désagréments aux personnes qui peuvent perdre des journées entières dans le va-et-vient entre les différents services publics, sans régler leurs problèmes. Ainsi une administration qui doit, selon les normes, commencer son activité à 8h, ne le fait qu'à partir de 8h 30, voire 9h, laissant se former de longues files d'attente à l'extérieur. Cette image est constatée pendant toutes les saisons, et aux quatre coins du pays au vu et au su des responsables qui ne bougent pas le petit doigt pour mettre fin à cette démonstration d'un laisser-aller flagrant. Dans les grandes villes, les services publics essaient, tant bien que mal, de respecter les horaires, car ils sont obligés, vu le nombre impressionnant de citoyens qui viennent quotidiennement régler un problème ou un autre, et Dieu sait qu'ils ne manquent pas en Algérie.
Ainsi, à Alger par exemple certains bureaux de poste ouvrent leurs portes jusqu'à 18h pour permettre à ceux qui travaillent de régler leurs factures ou retirer de l'argent, alors que dans les régions reculées, ces services dépendent souvent de l'humeur de leurs gestionnaires. Les retards les plus fréquents dans notre pays, sont ceux enregistrés dans les différents moyens de transport. Les citoyens peuvent attendre jusqu'à trois quarts d'heure et même plus à des arrêts ne disposant ni d'abribus ni de bancs. Beaucoup de gens se lèvent tôt pour éviter les embouteillages et ainsi ne pas arriver en retard au travail, mais cela n'est pas toujours possible. «Ce qui me fait vraiment mal c'est le fait de me lever à 5h tous les jours sans pour autant arriver à l'heure à mon travail.
Et c'est la faute aux bus, notamment les privés qui n'ont pas d'horaires fixes. Il m'arrive d'attendre 45 minutes à l'arrêt du Bois-des-Cars (Dély-Ibrahim)», témoigne un employé travaillant à Hussein-dey.


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