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Criminels de légende : Tueurs en série
L?assassin des femmes âgées (3e partie)
Publié dans Info Soir le 04 - 06 - 2004

Résumé de la 2e partie Délaissant de plus en plus ses études, il ne passa pas ses CAP. Pendant quelque temps, il vivota en faisant du porte-à-porte pour vendre des tableaux.
A sa sortie, les parachutistes du 14e Rpcs ne souhaitant plus l'accueillir parmi eux à nouveau, il se porta volontaire dans la Marine à Paris. Mais on ne voulut pas plus de lui. Il finit cependant par rentrer à l'Ecole des fusiliers marins à Lorient, d'où il fut vite renvoyé, non sans être devenu «matelot breveté», ce qui lui permit d'être affecté à la base aéronavale de Toussus-le-Noble, dans les Yvelines. Il y tondit les pelouses...
Entre-temps, Monette, la mère de Paulin, avait rallié, elle aussi, la métropole et s'était installée à Nanterre. A la fin de sa période militaire, début 1983, Thierry réintégra donc la cellule familiale.
Il fut bientôt familier des milieux homosexuels parisiens et parvint à se faire embaucher au Paradis Latin, près du Quartier-Latin, un cabaret pour touristes dont le spectacle faisait la part belle aux travestis. Thierry Paulin pensa sans doute approcher son rêve : il fréquentait enfin un milieu qui l'acceptait. C'était alors un garçon athlétique, toujours vêtu à la dernière mode, un diamant à l'oreille, et il arborait une coupe de cheveux à la Carl Lewis.
Il racontait à qui voulait l'entendre qu'il était chef de rang, voire qu'il faisait partie de la troupe du spectacle. Mais en fait, son travail consistait surtout à desservir les tables.
C'est au Paradis-Latin qu'il rencontra Jean-Thierry Mathurin, un Guyanais au rang plus élevé que le sien dans la hiérarchie du cabaret. Les deux hommes ressentirent très vite, l?un pour l?autre, une grande attirance. C'est sans doute de cette époque que date leur rêve d'ouvrir leur propre cabaret. En attendant, Thierry Paulin se produisit lui-même de temps à temps dans un numéro de travesti au Rocambole, une boîte de nuit de Villecresnes, dans le Val-de-Marne, au sein d'une revue d'amateurs. Un jour, il invita même sa mère à assister au spectacle, mais celle-ci, choquée de voir son fils travesti en chanteuse de charme, sortit avant la fin du tableau.
Pendant la brève période où Paulin habita chez sa mère, ce ne furent que conflits et cris. Ne travaillant pas pendant la journée, il traînait à la maison, y amenait ses amis. La situation devint vite insupportable. Elle explosa le jour où il menaça sa mère de mort parce qu'elle refusait de lui signer un chèque pour une opération de chirurgie esthétique qui lui aurait permis d'effacer une cicatrice à la lèvre. Monette prévint la police. (à suivre...)


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