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Criminels de légende : Tueurs en série
L?étrangleur de Boston (9e partie)
Publié dans Info Soir le 10 - 12 - 2004

Résumé de la 8e partie Durant deux mois, aucun autre meurtre de l?étrangleur n?eut lieu. La police en profita pour analyser tous les meurtres depuis le début.
Les Bostoniens, eux, pensèrent que les meurtres avaient été commis par le même homme et l?opinion publique se déchaîna contre l?apparente inefficacité de la police. Le préfet de police McNamara répliqua en annonçant que la police avait contrôlé plus de 5 000 personnes coupables d?agressions sexuelles, interrogé des milliers de personnes et questionné plus de 400 suspects.
Durant deux mois, aucun autre meurtre de l?étrangleur n?eut lieu. La police en profita pour analyser tous les meurtres depuis le début. Les enquêteurs interrogèrent toutes les personnes que les victimes avaient pu connaître et se rendirent dans tous les endroits qu?elles avaient pu fréquenter. Sans résultats.
Le 8 mai 1963, Beverly Samans, une musicothérapeute de 23 ans, manqua son cours de chant à l?église unitaire de Boston. Son fiancé se rendit à son appartement du 4 University Road et y entra grâce à la clé qu?elle lui avait donnée.
Dès qu?il ouvrit la porte, il la vit allongée sur le divan convertible, les jambes écartées, attachées aux supports du divan. Ses mains étaient liées dans son dos par l?une de ses écharpes. Deux bas nylon et une écharpe blanche noués ensemble étaient serrés autour de son cou.
Il semblait que Beverly Samans avait été étranglée, mais, en fait, sa mort était due à quatre coups de couteau portés à sa gorge. On l?avait frappée 22 fois en tout, 17 coups ayant été portés sur son sein gauche, sans doute alors qu?elle était déjà morte. Les liens autour de son cou étaient «décoratifs» et n?étaient pas assez serrés pour l?étrangler. Le couteau ensanglanté qui l?avait frappée fut découvert dans la cuisine, sans aucune empreinte. Le médecin légiste releva également des traces de morsures sur ses seins, son ventre et ses cuisses. Il estima qu?elle avait été assassinée 48 heures plus tôt, le 6 mai.
Dans son appartement régnait un grand désordre, des coussins étaient éparpillés partout, son sac à main était ouvert, des livres et des vêtements avaient été jetés sur le plancher?
Mezzo soprano, Beverly Samans avait l?intention de devenir chanteuse d?opéra et voulait tenter sa chance au Metropolitan Opera de New York cette année. La police émit l?hypothèse selon laquelle son entraînement au chant aurait musclé son cou. Le tueur aurait alors eu beaucoup de mal à l?étrangler et aurait fini par la poignarder? En fait, il s?avéra qu?elle avait supplié son agresseur de ne pas la violer et lui avait répété qu?il était mauvais, qu?il était pire qu?un animal. Pris de rage, l?étrangleur l?avait poignardée pour qu?elle cesse de lui parler.
La police commençait vraiment à désespérer.
De nouveau, aucun meurtre n?eut lieu durant l?été 1963. Juin, juillet et août passèrent sans qu?un meurtre puisse être attribué à l?étrangleur et l?on espéra de nouveau qu?il s?était arrêté. Les femmes recommencèrent à sortir le soir et à prendre moins de précaution. (à suivre...)


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