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Histoires vraies
Pleine lune (4e partie et fin)
Publié dans Info Soir le 03 - 05 - 2006

Résumé de la 3e partie n Trois enfants ont été affreusement massacrés et sacrifiés sur l?autel d?une croyance satanique? Est-ce le début d?une série de crimes ?
L'autopsie pousse l'horreur à son comble. Non seulement les trois petits ont été tués mais, auparavant, on les a torturés, violés, assommés à coups de gourdin. L'un d'eux a même été émasculé... L'épouvante saisit la ville. Les mères, légitimement inquiètes, accompagnent les enfants jusqu'à l'école, les pères les récupèrent. Chacun regarde ses voisins d'un drôle d'air. La police examine les faits avec logique. Les psychologues analysent les blessures, les mutilations. On pense alors aux méfaits d'une secte. On s'intéresse bien vite aux «satanistes» ; l'ombre de Manson, l'assassin de Sharon Tate, immense, s'étend sur toute la région. A l'école, les sièges vides de Christopher, John et Steve sont couverts de bouquets et de dessins d'enfants.
Fatalement, les policiers finissent par resserrer le cercle des présomptions autour des adolescents «lucifériens» du campus. Ils surveillent Michael, Jesse et Charles. Ceux-ci protestent de leur innocence, se fournissent mutuellement un alibi pour la nuit du crime... Mais Jesse, les nerfs plus fragiles, finit par craquer et il raconte, d'un seul flot, sans s'arrêter, la nuit d?horreur. Il raconte le rapt des petits cyclistes, la cérémonie démoniaque en plein bois, loin de tout, près d'une grotte sauvage où ils ont coutume de dissimuler leurs motos. Il raconte les chants destinés à évoquer l'Ange des Ténèbres. Il avoue la soûlerie à la bière, les danses, la manière dont ils se roulent nus dans la poussière la frénésie sexuelle qui les saisit tous les trois. Il fait revivre, si l'on peut dire, les trois enfants, ligotés, jetés dans un coin, terrorisés, incapables de comprendre ce qui les attend, comme des agneaux destinés au sacrifice. Il avoue les tortures sadiques, le viol des trois innocents. Il décrit Michael, le visage défiguré par de grands dessins noirs en forme de larmes, transformé en grand prêtre satanique, hurlant : «Le moment est venu, Satan veut du sang !» Jesse, aujourd'hui effondré, décrit les coups sur les crânes qui éclatent, le couteau de Michael tranchant dans le bas-ventre sanglant. Il raconte comment Michael, le lendemain, l'appelle chez ses parents pour lui demander le silence total sur la nuit démoniaque, sous peine de mort. Jesse, claquant des dents, dit qu'il ne comprend pas ce qui les a pris. Il parIe d'une force inconnue qui les poussait, sans l'aide d'aucune drogue, ce soir-là, à se transformer en «bouchers de l'enfer», lui qui, l'après-midi même du crime, gardait, comme il en a l'habitude, les enfants de voisins...


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