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Un procédé fatal
Publié dans Info Soir le 24 - 01 - 2008

Interrogation n «Au lieu de faire la dialyse péritonéale (au niveau de l'abdomen), pourquoi ne leur place-t-on pas de fistule ?», s'interroge le secrétaire général de la Fédération et président de l'association d'aide aux insuffisants rénaux de Tipaza.
«Cette fistule est actuellement gratuite à Blida mais reste toujours payante dans d'autres localités à un prix allant jusqu'à 3 000 DA» a ajouté Aziz Rahni. «Pourquoi doit-on forcer les malades dans les CHU à faire la Dialyse péritonéale (DP) ?» s'interroge encore M. Rahni. «C'est criminel car beaucoup en meurent. Les médecins savent que le meilleur moyen est la dialyse, mais imposent la DP aux malades. On ne nie pas qu'il y a certainement des cas qui nécessitent cliniquement la DP. «Tous ceux qui ont subi la dialyse péritonéale ont péri selon lui. Nous ne l'acceptons pas chez nous, car le cathéter est détruit en l'espace de 5 ans et met la vie du malade en péril et les conduites d'hygiène familiale sont inexistantes chez nous. Certains malades sont jetés dans les hôpitaux. Nous savons que cette technique est bonne, mais le niveau social actuel et réel ne le permet pas. Cette technique ne convient pas à notre mode ou niveau de vie car elle nécessite une chambre isolée, des moyens stériles. Cette DP conviendrait-elle aux malades de l'intérieur du pays ? Les démunis qui n'ont même pas le strict minimum de vie décente ? La DP convient pour ceux qui ont les moyens et une vie de confort non pas pour ceux qui occupent des gourbis. Il faut cesser de charcuter les malades. Les exemples sont bien explicatifs, les malades qui ont été en DP sont en majorité décédés. On pourrait accepter une DP pour le malade, mais pas plus de six mois pour la remplacer directement par une greffe mais celle-ci est-elle toujours possible ?» s'interroge encore M. Rahni, avant d'ajouter : «Mon fils a été dialysé en péritonéale, mais il a souffert le martyre et nous aussi. Cette procédure demande beaucoup de moyens et d'entretien et une hygiène de vie spéciale et beaucoup d'argent. On lui ramenait jusqu'à 25 cartons de poches tous les 15 jours qu'on faisait monter au 5e étage. Cette technique demande des chambres isolées et des véhicules pour le transport à chaque fois des cartons de poches utilisées à raison de 4 poches par jour». Par ailleurs, M. Boukhers énumèrera ce qui a été fait au profit des malades : «L'amélioration du protocole de traitement par l'introduction du bicarbonate poudré du capillaire stérilisé à la vapeur qui évite au malade des nausées lors de la dialyse, l'Epo qui a remplacé la crise du sang, le fer injectable (une substance qui développe les globules rouges) qui sera disponible à partir de février sur le marché et la reprise de la transplantation rénale à laquelle un fort budget lui est alloué en 2006-2007 puisque la séance de dialyse chez le privé coûte 6 500 DA la séance à multiplier par 12 séances pour tout le mois.»

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