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Le parc immobilier en nette dégradation
Publié dans Info Soir le 14 - 12 - 2003

Budget En 1995, 11,6 milliards de dinars ont été nécessaires à la réhabilitation de 16 vieilles bâtisses dans le cadre du volet «réhabilitation du vieux bâti».
Encore fallait-il trouver l?entreprise qui voudrait prendre en charge une tutelle opération dans le vieux bâti d?Oran du siècle dernier.
Car il n?est pas uniquement question de restauration de bâtisses sous l?angle «préservation de monuments historiques», il ne s?agit ni plus ni moins, dans la quasi-totalité des cas (Derb par exemple) de prolonger la durée de vie de bâtiments près de s?écrouler.
A côté de ces extrêmes, il n?existe que deux facteurs entrant en jeu, à savoir la nature du terrain et l?âge des bâtisses.
Il y a, en effet, pire : l?urbanisation d?un autre âge qui impose ses propres caractéristiques.
Lorsque la bâtisse n?a pas été élevée sur le flanc d?une colline qui en a offert l?assiette, elle sert de structure de soutènement au bâtiment voisin dont les fuites d?eaux usées n?ont pu épargner les fondations.
A la rue de Philippe, par exemple, des bâtisses aux flancs dénudés à la suite d?effondrement menacent non seulement les riverains, mais même les passants.
Il y a eu des esquisses dans les années 1980, mais qui ne touchaient qu?aux formes des ensembles dans le cadre du programme préconisant la restauration qui va de la Calère, à l?ancien centre-ville de Sidi El-Houari, jusqu?au boulevard de Mascara.
Sur un autre registre, un nombre impressionnant de nos immeubles sont sales, mal entretenus et repoussants. Mais a-t-on idée des querelles renvoyant dos à dos locataires, concierges et responsables de l?Opgi ? Les assertions des uns et des autres ne manquent pas. Devant cette situation, il se trouve des responsables de l?Opgi qui vous disent tranquillement qu?ils ne contrôlent plus les immeubles parce qu?ils en ont marre de recevoir les «chikayate» des uns et des autres et même de se faire traiter de «profiteurs» et de «tire-au-flanc». Au niveau de l?Unité générale de service (UGS) de l?Opgi chargée de l?organisation et du suivi de l?entretien des immeubles, le problème ne semble pas se poser outre mesure. Les concierges des immeubles relevant de l?Opgi sont rémunérées par les locataires, ce qui est prélevé automatiquement, chaque fin de mois, de leur loyer.
Quant aux concierges qui ne sont pas rémunérées par l?Opgi, l?appréciation est laissée aux copropriétaires. Cependant, 80 % de ces derniers sont réticents à l?égard de leurs concierges. L?on peut alors aisément imaginer le pourquoi, entre autres, de la situation actuelle du parc immobilier.
En définitive, si les sommes à engager seront d?égale importance, alors la «réhabilitation» ne prend plus qu?un aspect secondaire quand on sait que des moyens énormes ont été mis dans la restauration du vieux parc immobilier.


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