«Il est vrai que le marché de la viande est régulé par certains barons. Mais de là à dire que les spéculations se passent au niveau des abattoirs, c?est faux, croyez-moi», affirme un chevillard au niveau de l?abattoir de Chéraga. Selon lui, les «affaires» se négocient en dehors des abattoirs . «Il faut voir du côté de ceux qui abattent des bêtes?souvent des espèces interdites à l?abattage? clandestinement», dit-il.