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«La dimension linguistique est un élément de compétence dans le milieu bancaire»
Selon le délégué général de l'ABEF :
Publié dans La Tribune le 16 - 02 - 2009

Sans aucun doute, le secteur bancaire est le plus mondialisé. En effet, les institutions bancaires à travers le monde sont les mieux connectées entre elles, notamment à travers les réseaux sur lesquels des flux et, par ricochet, des payements, des transactions commerciales se font régler. De ce fait, les règlements et lois des banques doivent être aux mêmes normes. La question suivante revient tout bêtement à l'esprit : dans quelle langue se font ces opérations commerciales ? La réponse est aussi simple que l'interrogation : on utilise les langues les plus parlées au monde ou les langues internationales. Sur ce point, l'utilisation, puis la maîtrise des langues étrangères devient, dans ce secteur, aussi importante que les concepts et lois bancaires. Sollicité à ce sujet, le délégué général de l'association des banques ABEF, M. Benkhelfa, nous a fait savoir d'emblée que l'utilisation des langues étrangères revêt une importance capitale. Mieux, leur maîtrise devient une nécessité absolue. Pour lui, la dimension linguistique est un élément de compétence dans ce milieu. Ce constat trouve son essence, selon la même source, par le fait que les réglementations bancaires appliquées en Algérie «sont maintenant harmonisées au niveau mondial». «Une partie de la réglementation du secteur bancaire possède une dimension internationale ou des questions de sécurité mondiale. Donc, nous sommes mondialisés sur les règlements et sur les concepts. En matière de commerce international, il y a ce qu'on appelle les incoterms qui sont des termes et des concepts utilisés partout à travers le monde et qui signifient la même chose et font même l'objet de ce qu'on appelle des règles universelles qui sont dans la Chambre internationale de commerce», explique-t-il. Et d'ajouter que l'Algérie ne peut pas déroger à cette règle, «même si elle transpose dans la réglementation nationale», d'autant que le dénominateur reste mondialement commun. Ainsi, pour
M. Benkhelfa, toutes ces raisons font que l'usage des langues étrangères, synonyme d'une maîtrise par les personnels de chaque établissement bancaire ou financier, devient une nécessité. «L'usage des langues universellement utilisées, notamment l'anglais dans ce secteur, nous impose de prendre des cours au niveau de nos établissements», souligne-t-il. «Les cours de langues étrangères mais surtout l'anglais sont considérés aussi importants que les cours sur les techniques bancaires. Au sein des banques, nous avons des écoles et nous avons régulièrement des agents, des centaines de cadres qui perfectionnent leur anglais», ajoute-t-il. La même source fait savoir que la maîtrise d'une langue étrangère, en plus du français et de l'arabe, est un élément de développement des carrières, et elle fait partie des priorités en termes de formation, car «nous sommes les plus exposés». «Pour mener à bien sa carrière et aller loin dans sa vie professionnelle, il fait avoir au minimum un SNMG linguistique», soutient ce responsable, pour qui les cadres et les dirigeants de ces institutions financières et bancaires «sont évalués en termes de maîtrise technique mais aussi de capacité linguistique».

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