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JSK : Belkalem et Sandjak contre-attaquent
Publié dans Le Buteur le 23 - 04 - 2013

Belkalem : «Qu'il soit un homme et qu'il vienne m'affronter en direct à la Télévision !»
Belkalem : «Qu'il soit un homme et qu'il vienne m'affronter en direct à la Télévision !»
Avec tact, mais d'un ton ferme, Essaïd Belkalem est revenu, brièvement, sur les récentes déclarations du président de la JSK, Moh Chérif Hannachi, qui affirmait que le défenseur était encore sous contrat jusqu'en décembre 2013. Des affirmations que réfute catégoriquement Belkalem qui invite son président à une confrontation en direct à la Télévision. Ah, carrément !
Essaïd Belkalem, le président Moh-Chérif Hannachi a annoncé, dimanche, que vous étiez encore sous contrat avec la JSK jusqu'en décembre 2013, une déclaration qui va quand même à contre-courant de vos récentes affirmations. Qu'en est-il au juste ?
Cela m'a fait rire de lire cela dans la presse ce matin. (Entretien réalisé lundi après-midi, ndlr).
Et ...
Franchement, je n'ai même pas envie de polémiquer. J'ai l'impression que cette histoire ne se terminera jamais. J'en ai marre ! Pour couper court à la polémique, qu'il soit un homme une seule fois dans sa vie, et qu'il vienne m'affronter en direct sur un plateau de Télévision. Comme ça, tout le peuple algérien saura qui dit la vérité et qui ment.
Est-ce à dire que vous démentez être sous contrat à la JSK jusqu'en décembre 2013 ?
Que chacun ramène ses preuves. Moi, j'ai les miennes et je le défie de ramener les siennes.
Quel genre de preuve ?
Je ne veux pas étaler ça dans la presse. Au risque de me répéter, je l'invite à une confrontation en direct sur un plateau de Télévision. Comme ça, toute l'Algérie saura qui dit vrai.
Qu'en est-il des 650 millions que vous auriez, soi-disant, encaissés cette saison ?
Moi, je n'ai négocié avec personne. Je vous l'ai déjà dit, je n'ai fait que signer ma licence au Maroc. Moi, je m'inscrit en faux dans ce qu'il dit.
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Sandjak : «Que Hannachi sache que je suis un homme et je n'ai pas besoin que quelqu'un me nourrisse»
Au lendemain de la sortie médiatique du président de la SSPA-JSK, Mohand Cherif Hannachi, à travers laquelle il a encore porté des critiques contre son ex-entraineur, Nasser Sandjak, ce dernier a réagi hier soir en intervenant sur la chaîne Berbère TV et répond à son ex-président : «Franchement je suis écœuré, voire blessé dans mon amour-propre. Il a vraiment dit n'importe quoi à propos de la nourriture. Qu'il sache que je suis un homme capable d'assurer moi-même ma vie et je n'ai besoin de personne pour me nourrir. Hannachi a porté atteinte à ma personne et cela je ne l'accepte pas.»
«Ces propos dépassent le cadre sportif et cela est intolérable»
Commentant les déclarations de son ex-président, Sandjak dira : «Je pense qu'il est allé trop loin dans ses déclarations, il a dépassé le cadre sportif. Ce n'est vraiment pas professionnel de sa part de tenir un discours aussi bas.»
«L'appartement d'Alger est pris en charge par un ami commun et je n'ai pas attendu ça pour me loger»
Revenant sur l'histoire de l'appartement dont la direction a toujours dit qu'il lui a été pris en charge et ne l'a jamais occupé, Sandjak dira : «L'appartement sur lequel beaucoup d'encre a coulé a été pris en charge par un ami commun.» «Et puis je ne vois pas l'utilité de parler de ça, franchement c'est déplorable, aussi je veux qu'il sache que je n'ai pas attendu son soutien pour me loger. Je suis bien chez moi en Algérie, j'ai de la famille partout» a révélé Sandjak.
«S'il veut la polémique, moi aussi j'ai des choses à révéler»
Préférant ne pas donner trop de détails dans son intervention, Sandjak ajoute : «Je trouve que la polémique est inutile, s'il souhaite polémiquer au quotidien, je lui dirai que moi aussi j'ai des révélations à rendre publiques mais que je préfère pour l'instant m'en tenir à l'obligation de réserve.»
«Oui, les responsables viennent tous le jour du match mais jamais avant !»
A propos de l'absence des responsables que Sandjak a toujours déplorée et que Hannachi a démentie, Sandjak dira : «Oui, c'est vrai que, le jour du match, le vestiaire est pris d'assaut par les dirigeants. Ils sont tous présents lorsque la JSK livre un match mais, malheureusement, dans la semaine, nous sommes livrés à nous-mêmes, personne ne vient chercher après nous.»
«Il est le président d'un prestigieux club, il ne doit pas descendre le niveau aussi bas»
Regrettant à quel point la situation entre lui et son ex-président s'est détériorée, Sandjak enchaîne : «Je crois qu'il est le président de la JSK, un club prestigieux qui ne nécessite pas d'être présenté. A mon avis, il devrait surveiller son langage avant de prendre la parole car descendre le niveau comme ça est inacceptable.»
«Je ne discute pas les choix de Amrouche, je sais que la participation de Mekkaoui soulève des interrogations»
Invité à commenter les derniers changements opérés par son ex-assistant lors du match face à l'USMBA, notamment la participation de quelques joueurs pas alignés sous son ère, Sandjak dira : «Je ne discute pas les choix de mon ex-associé à la barre technique pour le précédent match face à l'USMBA, c'est lui qui a assuré les entraînements durant toute la semaine et connaît le degré de préparation de chacun des joueurs. Toutefois la remarque que je souhaite faire est que la participation de Mekkaoui à la place de Bencherifa qui se trouve sur la lancée soulève plusieurs interrogations, je dirai même qu'elle a été imposée d'en haut.»
«J'ai accepté que Amrouche reste car je savais qu'une personne se cachait dans les tribunes et ne guettait que notre départ pour venir»
Au sujet de la position qu'il a prise pour que Amrouche reste après son départ, Sandjak explique : «Oui c'est vrai que j'ai beaucoup défendu Amrouche lorsqu'il est venu m'épauler à la barre technique. J'ai dû même expliquer à quelques personnes venues l'empêcher de travailler qu'il doit rester avec nous, mais j'étais également pour son maintien après mon départ. Il est là, il connaît la maison et il doit continuer jusqu'à la fin. Je savais que dans les tribunes se trouvait une personne qui ne guettait que notre départ pour sauter sur l'occasion et venir prendre notre place.»
«Si j'avais été un si mauvais entraîneur pourquoi ne m'a-t-on pas limogé avant ?»
Sur les conditions de son départ, Sandjak n'a encore pas digéré son sort : «Je crois que le bilan réalisé et les chiffres parlent d'eux-mêmes, nous avons effectué un travail de fond, on a essayé de reprendre l'équipe qui a traversé une mauvaise période. Si j'étais aussi mauvais que ça, alors pourquoi a-t-on attendu le match du MCA pour me signifier mon départ ?»
«Avant le MCA, on m'a signifié que je devrais assurer le salaire d'un joueur»
Voilà ce qui risque de faire couler beaucoup d'encre. Sandjak a évoqué que l'administration de la JSK lui a exigé par le biais d'un courrier qu'il devait se charger du paiement du salaire d'un joueur que lui n'utilisait pas dans ses choix : «J'ai été informé par la direction à travers un fax que je devais assurer moi-même la prise en charge du salaire d'un joueur que je ne faisais pas jouer.»
«J'ignore la situation administrative de Belkalem, c'est un grand monsieur qui aime son club»
A propos de la situation de Belkalem vis-à-vis de la JSK Sandjak explique : «Personnellement j'ignore la situation exacte de Belkalem vis-à-vis de la JSK. Tout ce que je sais c'est qu'en venant prendre en main la JSK j'ai découvert en lui un grand monsieur, un joueur exemplaire qui a toutes les qualités. Dans l'équipe, il est une pièce maîtresse et son sérieux dans le travail est remarqué par tous. Il n'a pas besoin qu'on parle de lui, son travail est une preuve concrète de son sérieux. Il aime le club et son statut d'international est dignement mérité, il a sa place en Europe avec aisance.»
«Lorsque j'ai quitté Tizi, le stade était plein»
En conclusion, Sandjak revient sur le dernier match joué par la JSK devant des gradins vides et dira à ce propos : «Cela fait vraiment mal au cœur de voir la JSK jouer devant un stade vide. Les supporters sont très touchés par la situation actuelle. En tout cas, ce n'est pas la scène que j'ai laissée. Moi, lorsque j'ai quitté Tizi, j'ai laissé le stade plein.»
«Je l'invite à un face-à-face sur un plateau de télé, pour que tout soit connu des supporters»
Convaincu de la véracité des propos qu'il a tenus depuis qu'il a quitté la barre technique à propos des conditions de travail et autres dossiers, l'ex-entraineur lança : «J'invite le président de la JSK à venir m'affronter face à face et parler de tout pour que les supporters sachent exactement la vérité.»
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Iboud : «Il y a des investisseurs qui n'attendent que l'ouverture du capital pour prendre la JSK»
Miloud Iboud, ancien joueur et ex-président de la JS Kabylie, s'est exprimé hier sur la chaine Ennahar TV sur l'actualité du club kabyle, notamment après le départ de l'entraîneur Nacer Sandjak et les critiques proférées par des supporters à l'encontre du président Mohand Cherif Hannachi. Encore une fois, il a souligné que son opposition au patron de la JSK ne relève pas du règlement de comptes personnel : «Je n'ai rien contre la personne de Hannachi. Je conteste sa gestion du club, ce qui est différent. Je ne cesse de le répéter depuis des années : c'est la gestion du club que je dénonce, pas le président en tant que personne. Cette gestion fait que le club ne forme plus et les résultats ne sont pas au rendez-vous.»
«L'opposition n'a pas perturbé le club cette saison, mais les résultats n'ont pas été au rendez-vous»
Questionné sur l'absence de l'opposition sur le terrain pour constituer un contrepoids à Hannachi, contrairement à la saison passée, l'ancien capitaine de la JSK a expliqué : «Lorsque l'opposition s'était activée sur le terrain, des médias, que ce soit la télévision, la radio et même la presse écrite, nous avaient reproché de perturber l'équipe et de ne pas laisser la direction du club travailler tranquillement pour réaliser des résultats. Nous les avons pris au mot et nous nous sommes tus cette saison, afin de préserver la sérénité de l'équipe. On voit le résultat aujourd'hui : même sans opposition, la crise persiste et les résultats ne sont pas meilleurs et risquent même d'être pires la saison prochaine.»
«Cela fait 23 ans que la JSK n'a plus remporté la plus prestigieuse des coupes africaines»
A l'argument avancé par la direction du club concernant l'existence de résultats avec ce même mode de gestion, tels les trois Coupes de la CAF et les titres de champion d'Algérie remportés, Iboud oppose un constat chiffré : «Depuis 1990, la JSK n'a plus remporté la plus prestigieuse des coupes africaines, celle des clubs champions. Donc, cela fait 23 ans que ce trophée n'a pas été gagné, alors qu'il avait été remporté deux fois en dix ans dans les années 80. Quant aux titres de champion, le dernier remonte à 2007 (en fait, c'est en 2008 que la JSK a été sacrée championne d'Algérie pour la dernière fois, ndlr).»
«En 15 ans, je n'ai eu qu'un seul entraîneur alors que 45 coachs se sont succédé à la JSK avec Hannachi»
Poursuivant avec le langage des chiffres, l'ancien président du club a évoqué la valse des entraîneurs à la JSK : «J'ai entendu et lu dans les médias que pas moins de 45 entraîneurs se sont succédé à la tête de l'équipe depuis l'avènement de Hannachi à la présidence, soit en une vingtaine d'années. Moi, en 15 ans en tant que joueur seniors à la JSK, je n'ai eu que deux entraineurs, Khalef et Zywotko, et encore, je les considère comme un seul entraîneur puisqu'ils constituaient un duo, l'un comme coach et l'autre comme préparateur physique. Même si je comptais tous les entraîneurs que j'ai eus depuis que je jouais en minimes, leur nombre n'atteint pas 45 ! En tout cas, que ce soit Sandjak, X ou Y, aucun entraîneur n'a passé plus de 3 mois.»
«Il n'y a pas un club des Ligues 1 et 2 qui ne compte pas un joueur formé à la JSK»
Pour illustrer la mauvaise gestion du club, Iboud cite deux exemples. D'abord, la déperdition des jeunes. «Il n'y a pas un club, sur les 32 que renferment les Ligues 1 et 2, qui ne compte pas au moins un joueur formé à la JSK ou passé par ce club», fait-il remarquer. Ensuite, il évoquera la surévaluation des joueurs recrutés. «Un remplaçant qui touche 130 millions de centimes, c'est aberrant ! Cela renseigne sur la gestion irrationnelle qui règne dans le club», a-t-il insisté.
«Je ne suis pas un milliardaire, je ne peux pas prendre le club»
A-t-il l'intention de postuler à la présidence du club ? Sa réponse a été claire : «Je ne cours pas derrière la présidence du club. Je ne suis pas milliardaire, je ne peux donc pas présider la JSK. Cependant, si un président fait appel à moi pour donner un coup de main, je le ferai car la JSK est mon club. Je ne viens pas d'une autre planète : je suis un enfant de ce club, j'en ai été joueur, capitaine d'équipe, dirigeant et président. Je cumule une expérience que je peux mettre au service d'une direction forte. Cependant, je n'ai pas les moyens d'être président.»
«Hannachi doit remettre son mandat ou ouvrir le capital»
La solution à la crise, selon lui, est simple : «Soit la JSK est un club amateur, auquel cas Hannachi devra remettre son mandat à l'assemblée générale qui devra lui trouver un successeur, soit c'est un club professionnel, auquel cas il est dans l'obligation d'ouvrir le capital aux investisseurs qui voudront acheter des actions et mettre de l'argent. Il y a des gens qui n'attendent que l'ouverture du capital. Il n'y a pas d'autre alternative. C'est le seul moyen de permettre au club de retrouver son lustre d'antan.»
«Je n'accepte pas que d'autres présidents de club s'immiscent dans les affaires de la JSK !»
Miloud Iboud n'a pas manqué de répondre indirectement, sans le nommer, à Omar Ghrib, coordinateur général du MC Alger, qui avait apporté son soutien à Hannachi dans l'émission Djazaïria Foot, en soutenant qu'il n'y avait personne pour prendre la relève. «Je m'exprime en tant que personne, Miloud Iboud, enfant de la JSK, sans aucune affiliation politique, partisane, culturelle ou autre : que des présidents de club soutiennent Hannachi, c'est leur droit le plus absolu, mais qu'ils affirment qu'il doit rester en poste parce qu'il n'y a personne capable de lui succéder, c'est une chose que je ne permets pas ! L'Etat algérien refuse des ingérences de pays étrangers dans ses affaires intérieures et c'est un principe souverain. C'est la même chose entre les clubs : je refuse qu'un président d'un autre club s'immisce dans les affaires de la JSK. Que chacun s'occupe de son club !»


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