De report en report, le nouveau conseil d'administration du MSPB n'est semble-t-il pas prêt à voir le jour. Le principal intervenant. De report en report, le nouveau conseil d'administration du MSPB n'est semble-t-il pas prêt à voir le jour. Le principal intervenant, un certain Bouali, aucun lien de parenté avec l'ancien coach du Boubiya, aurait décidé de jeter l'éponge. Il ne veut plus constituer un conseil d'administration pas capable de gérer les affaires de la SSPA-MSPB. Selon toute vraisemblance les anciens membres du conseil d'administration constitué avant le début du championnat ne se seraient pas retirer complètement. On a laissé entendre que les anciens membres du comité Zidani auraient reçu des garanties au sujet de leur argent. Des sortes de reconnaissance de dettes. Les anciens membres du conseil d'administration avaient mis de l'argent de leur poche pour permettre au club de fonctionner. Cela s'est passé la saison dernière. Ainsi, et à tire d'exemple Hakou en arrivant au mercato de décembre 2009 s'était chargé du recrutement, en tout cinq recrues, parmi lesquelles Latrèche et Hafid. Le conseil d'administration qui risque de ne jamais voir le jour est derrière la promesse de payer les joueurs. En effet, Bouali avait contacté les joueurs et les avaient rassurés sur les trois mois de salaires qu'ils n'auraient pas touché. Avec ce retrait qui risque d'être définitif, c'est Zidani qui aura à affronter les problèmes financiers que vit le club. Vers le maintien de l'ancienne équipe du CA Tous les clubs populaires connaissent ce genre de soubresauts. Ce qui nous pousse à dire, que le MSPB ne pouvait pas ne pas être concerné. Des luttes intestines font mal au club. L'ancienne équipe, qui ne s'est pas complètement retirée des affaires du club après qu'elle eut reçu des garanties de Zidani au sujet des dettes, pourrait revenir aux affaires. On se dirige sans doute vers cette issue, l'ancienne équipe reviendrait à la direction du conseil d'administration. On en est encore là, les jours à venir vont nous éclairer.
