«Kavala exige 2 millions d'euros pour libérer Abdoun» Dans une déclaration accordée au site «Sport Day», le manager du joueur international algérien de l'OC Kavala, Djamel Abdoun, a démenti tout contact provenant d'un club grec de première division, comme rapporté par plusieurs sites sportifs en milieu de semaine qui ont annoncé l'ex-joueur de Manchester City et Nantes en partance la saison prochaine vers l'Olympiakos Le Pirée ou le Panathinaïkos. A ce propos, Karim Aklil, l'agent d'Abdoun, a déclaré : «Abdoun n'a reçu aucune offre concrète grecque. Ni le Panathinaïkos ni l'Olympiakos n'ont pris attache avec nous pour demander de manière officielle les services d'Abdoun. Cela dit, on verra bien comment les choses vont avancer à l'avenir.» «On en a eu trois de clubs européens» Karim Aklil s'est longuement entretenu au site Internet «Sport Day». Il a notamment confié à la presse grecque que seuls trois clubs européens l'ont officiellement saisi pour racheter le contrat de Djamel Abdoun qui court jusqu'au mois de juin de l'année 2013 avec son club employeur, Kavala : «Après le match qui a opposé l'OC Kavala à l'AEK Athènes, il y a quelques semaines, j'ai reçu trois offres provenant de trois clubs européens qui ont émis le vœu d'enrôler Djamel. Je me suis déplacé en Grèce pour en discuter avec le président de Kavala, mais n'insistez pas, je ne donnerai pas les noms de ces équipes pour des raisons bien évidentes. Vous saurez tout au moment voulu.» «Kavala exige 2 millions d'euros pour libérer Abdoun» Poursuivant son intervention sur ce site spécialisé, très au fait des affaires des clubs grecs, Aklil a signifié que le président de l'OC Kavala, Psomiadis, serait prêt à céder Djamel Abdoun, si une bonne offre financière se présentait d'ici à la fin de l'exercice en cours. On croit savoir que la direction de Kavala exigerait 2 millions d'euros contre la libération de son joueur algérien : «Après avoir eu vent, le président de Kavala n'était pas contre une procédure de vente dans le cas où une bonne proposition se présenterait. Je me suis déplacé en Grèce pour discuter avec lui, mais à présent, rien n'a été décidé, tout se fera au moment opportun.»
