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Abdoun Djamal : «J'attends avec impatience les explications du coach»
Publié dans Le Buteur le 04 - 10 - 2011


«Que celui qui a un problème avec moi le dise»
«Boudebouz est un génie du football, il mérite plus d'égards»
«Je n'ai rien fait de mal pour mériter cette mise à l'écart»
Heureuse a été la fin pour tous les présents au stade Karaiskaki, sauf pour l'équipe visiteuse qui a perdu son match et son «honneur» dans ce derby. Après la douche, Rafik Djebbour déambulait avec un ami au milieu des supporteurs qui le soutenaient de loin, sans oser l'approcher. Djamel Abdoun a pris la voie normale, passant par la zone mixte où on l'attendait. Au départ très réticent «à cause de toutes les bêtises qu'on a écrites sur moi en Algérie», puis, s'ouvrant peu à peu, détendu au fil de la discussion. Le moins que l'on puisse dire est qu'il a fallu un gros bras de fer pour faire réagir Abdoun. Mais il a fini par parler, tout en espérant ne pas l'avoir «trop ouverte». Il faut dire que tout ce qu'il dit en ce moment pourrait se retourner contre lui. Surtout la veille de la conférence de presse de Vahid Halilhodzic…
Comment allez-vous dans votre nouvel environnement ?
Ça va très bien, hamdoulillah. J'ai opté pour le plus grand club de Grèce et l'un des plus grands d'Europe. Je ne m'en plains pas. Les gens m'ont très bien accueilli et mon intégration se fait de la meilleure des manières. Je connaissais déjà quelques joueurs et cela m'a facilité les choses. Je retrouve la forme peu à peu, je m'entraîne très dur afin de rattraper le retard que j'ai pris dans la préparation d'avant-saison. Je suis resté cinq mois sans rien faire, donc j'essaie d'enchaîner les matchs et le coach me fait souffler un peu en me faisant jouer quelques minutes. Il faut dire que ça n'a pas été facile pour moi, après tout ce qui s'est passé à Kavala. J'ai dû patienter longtemps avant de pouvoir être libre de m'engager avec l'Olympiacos. Aujourd'hui, tout est rentré dans l'ordre. Il suffit que je retrouve ma forme un peu plus pour être prêt à 100%.
Vous ne vous sentez donc pas prêt à 100% ?
Non, pas pour l'instant. Je ne me sens pas encore prêt. Je dois encore bosser quelque temps pour être au top. D'ici trois ou quatre matchs, je pense pouvoir revenir à mon vrai niveau. La saison est très longue et comme on dit, «c'est à la fin du bal qu'on paie les musiciens». Je n'ai encore rien montré ici, même si on a déjà une idée de ce que je peux faire sur le terrain. Les dirigeants de l'Olympiacos m'ont bien suivi la saison dernière et c'est pour cette raison qu'ils m'ont engagé.
Comment avez-vous vécu toute cette histoire à Kavala ?
Je suis resté tranquille dans mon coin et j'attendais. A la fin, j'ai eu raison d'avoir confiance en Allah, comme toujours.
A quand remontent les contacts avec l'Olympiacos ?
A la saison dernière. Je savais bien qu'ils me suivaient et qu'ils me voulaient. Il y avait juste mon contrat avec Kavala qui pouvait gêner les négociations. Sinon, un club comme l'Olympiacos ne se refuse. C'est le meilleur du championnat grec et l'ambiance y est extraordinaire, comme vous l'avez vu ce soir dans le stade.
C'est vrai que c'est une ambiance de folie. Et si on vous demandait de la comparer à ce que vous avez connu ailleurs ?
C'est inégalable tout simplement. Les gens ici sont de vrais passionnés du football. Ils aiment l'Olympiacos comme on aime quelqu'un de très cher. C'est incroyable l'engouement qu'il y a autour du club et des joueurs. Le seul public auquel on peut comparer celui de l'Olympiacos est celui de l'Algérie. Mais, entre nous, on est un peu plus chauds que les Grecs (il rigole). Chez nous aussi, les supporteurs sont de vrais passionnés. Non, je plaisante, je dirais que c'est différent de ce qu'on connaît en Algérie, mais c'est vraiment chaud à l'Olympiacos. C'est l'une des meilleures d'Europe en tout cas.
Restons en Algérie et parlons un peu de l'Equipe nationale…
Franchement, parfois je me dis que je n'ai plus envie de parler de l'Equipe nationale. Je me dis que quoi que je dise, les gens vont mal interpréter mes propos. Si c'est pour aggraver les choses, ça ne sert à rien d'en parler.
Les choses sont-elles aussi graves ?
Je ne sais pas. Sincèrement, je n'en sais rien. Je sais juste que certains ne me veulent pas dans cette sélection.
Certains… qui selon vous ?
Qu'est-ce que j'en sais moi ! Il y a juste un constat clair que je peux faire au même titre que tous les supporteurs des Verts. Les listes défilent depuis quelques mois et mon nom n'y figure toujours pas. Une fois, ça passe, on essaie de justifier son absence comme on peut. Mais quand on voit que la liste a été élargie à 33 et que Djamel Abdoun n'y est pas, je crois que je suis dans mon droit de me poser des questions. Ce n'est pas normal, non ?
Tout à fait. Les supporteurs tout comme les journalistes ne comprennent toujours rien à votre mise à l'écart. Quelle explication pourriez-vous donner à cela ?
Vraiment, je suis fatigué de tenter d'analyser bêtement ce que les autres pensent. Ça ne sert strictement à rien. C'est à ceux qui font bouger les choses qu'il faudra poser cette question, pas à moi. Vous croyez que je n'ai pas tenté de me l'expliquer ? J'ai ressassé cela en long et en large, sans pouvoir percer ce mystère.
Qui vous en veut à ce point ?
Je n'en sais absolument rien ! De mon côté, il n'y a aucune raison valable pour qu'on m'écarte de l'Equipe nationale. Je n'ai rien fait de mauvais pour mériter un tel sort. Parfois, j'essaie d'imaginer ce qui aurait pu déclencher tout cela, mais impossible de trouver la faille. Pour moi, le mystère reste entier.
Avez-vous eu des problèmes relationnels avec quelqu'un en particulier ?
Jamais ! Je n'ai que des amis dans cette équipe.
On dit que vous aviez eu des soucis avec Karim Ziani. Vous répondez quoi à cette rumeur ?
Karim ? Mais je l'ai eu hier au téléphone. On a rigolé un bon moment ensemble. Karim, c'est mon frère, comment voulez-vous que j'aie des problèmes avec lui ? C'est insensé ! Du grand n'importe quoi, même. Les gens ne trouvent rien à me reprocher et ils essaient de colporter des bobards de ce genre. Vous savez, la meilleure preuve, vous la trouverez chez Karim Ziani. Vous n'avez qu'à lui poser la question, c'est tout simple.
D'autres avancent une histoire de concurrence et de jalousie entre vous et Riad Boudebouz. Vous répondez quoi à cela ?
C'est tout simplement idiot. Riad est aussi mon petit frère et un vrai pote. On est très liés lui et moi. Mais attendez un peu, vous ne remarquez pas qu'il y a un truc bizarre dans ces rumeurs… D'abord Ziani, puis maintenant Boudebouz. Et comme par hasard, nous sommes tous les trois écartés de l'Equipe nationale. Vous ne trouvez pas cela un peu bizarre ?
En effet, bien vu de votre part. Mais il doit bien y avoir une raison à cela, non ?
Vous savez, Allah ne laissera pas de telles injustices passer comme ça. Je crois en Lui et Il sera encore là pour me protéger. J'ai une foi inébranlable en Dieu, Soubhanouhou wa Taâla. Vous allez voir, je triompherai tôt ou tard contre les médisants. Aujourd'hui, je les laisse colporter les rumeurs qu'ils veulent, mais un jour, toutes ces machinations seront révélées par Dieu. Vous allez voir…
On reste dans les rumeurs, ça ne vous gêne pas ?
Allez y ! Dites-moi tout ce qui se dit derrière mon dos par ces gens qui sont fiers d'inventer des ragots. Il en faudra beaucoup plus pour me déstabiliser.
On dit aussi que Vahid Halilhodzic aurait été briefé par les dirigeants de Nantes, qui n'auraient pas digéra le fait de vous voir quitter le club sans contrepartie. De fait, ils lui ont dit que vous seriez un joueur ingérable. Quelles sont vos relations avec le FC Nantes au jour d'aujourd'hui ?
Contrairement à ce qu'on veut laisser entendre, elles sont excellentes. A Nantes, je n'ai laissé que des amis. Vous n'avez qu'à leur demander et ils vous répondront. Nantes restera à vie dans mon cœur. Je suis fier d'avoir joué pour ce club prestigieux. Nul ne pourra nous enlever nos souvenirs communs. Vous voyez donc bien que rien ne justifie un tel acharnement. A chaque fois, on cherche à me trouver des ennemis imaginaires. A qui le tour maintenant ? (Il sourit de manière narquoise). Ce n'est pas possible, tous ces bobards.
Avez-vous eu affaire par le passé à Vahid Halilhodzic ?
On n'a jamais travaillé ensemble. Il ne me connait pas, et moi je ne le connais qu'à travers la presse et ses exploits à Nantes en tant que joueur.
Halilhodzic affirme qu'il s'est installé aux commandes de l'EN et que personne ne s'immisce dans ses choix. Comment donc a-t-il décidé de vous écarter de l'Equipe sans même vous connaître ?
C'est une très bonne question, mais qu'il faudra lui poser à lui, pas à moi. Je serais ravi d'entendre sa réponse. J'attends cela avec impatience. Personnellement, je ne pense pas que le coach soit responsable de ma mise à l'écart, du moment qu'il ne me connaît même pas. J'aurais bien aimé qu'il décide de cela tout seul. Il n'y a pas mieux que lui pour juger si je suis bon ou pas, gérable ou non dans un groupe. Il ne faut pas qu'il écoute ce qu'on lui raconte.
Vous lui avez déjà parlé ?
Jamais.
Quelles sont vos relations avec le président de la FAF, El Hadj Raouraoua ?
Très bonnes. Je ne pense pas que je lui ai manqué de respect une seule fois. Je le respecte trop pour que cela puisse arriver. Non, je suis sûr que ça n'a rien à voir avec mes relations avec le président.
Avec qui avez-vous donc eu des problèmes pour qu'on puisse vous bannir de la sorte de l'Equipe nationale ?
Vous savez, je vais être très clair avec vous et l'ensemble des Algériens qui liront cette interview. Je n'ai pas eu de problème avec Saâdane, ni avec Benchikha, ni avec aucun joueur ou dirigeant de l'EN. Je n'ai pas eu non plus de soucis avec le staff médical, ni le garde-matériel ou même le cuisinier. Qu'y a-t-il donc ? Les ballons et le gazon ? Eux non plus, je n'ai jamais eu de pépins avec eux. Que voulez-vous que je vous dise d'autres ? Que celui qui a eu le moindre problème avec Djamel Abdoun le dise pour qu'on puisse enfin percer ce mystère. Je sais juste qu'avec le temps, c'est moi qui aurai raison. Je ne m'inquiète donc pas. Je suis dans un grand club et je viens d'enchaîner quelques matchs en Champion's League, à l'Emirate Stadium contre Arsenal, contre Marseille aussi. Je suis encore jeune, j'ai 25 ans et j'ai tout l'avenir devant moi, incha Allah.
Riad Boudebouz est également sanctionné. Vous en avez parlé entre vous ?
Oui, on en a parlé bien évidemment. Et je peux vous assurer qu'il est profondément triste de ne pas pouvoir revêtir le maillot de l'Equipe nationale. Vous savez, Riad est un vrai génie du football et les génies sont toujours incompris. On n'a pas le droit de le mettre à l'écart. Il est très jeune et il a besoin plutôt d'être encouragé à son âge. A chaque fois qu'il en parle je le sens blessé par toute cette histoire.
Une tristesse partagée entre vous ?
Effectivement. On est tous les deux tristes de subir tout cela. Franchement, on ne mérite pas tant d'acharnement. On s'est donné à fond pour l'Equipe nationale et voilà aujourd'hui qu'on veut nous reprocher je ne sais trop quoi. Forcément, ce n'est pas réjouissant. On n'aime pas rester à l'écart de la sélection d'Algérie.
Vous êtes pourtant l'avenir de cette équipe avec Boudebouz…
Oui, on est encore jeunes. Moi j'ai 25 ans et Riad en a à peine 21. L'avenir nous appartient alhamdouli Allah. J'espère que les choses vont s'améliorer dans le futur pour le bien de l'Equipe nationale.
Qu'est-ce que ça vous a fait d'apprendre la non-convocation de Karim Ziani pour ce stage des Verts ?
J'ai été choqué comme tout le monde. Je ne pouvais pas imaginer qu'il allait être traité de la sorte. Il ne faut pas oublier ce qu'il a fait pour l'Equipe nationale. Il est dans cette sélection depuis 8 ans. Il a tout donné pour le pays avec des hauts et des bas, mais il a toujours été là quand l'Algérie a eu besoin de lui. Maintenant, il y a un sélectionneur en place et c'est lui qui décide. On doit tous respecter ses choix.
Qu'est-ce que ça vous fait de savoir que les supporteurs algériens vous réclament ?
Ça me fait chaud au cœur de lire certains commentaires me concernant sur Internet. Je ne les remercierai jamais assez pour tout leur soutien. Ils ont toujours été avec moi, depuis le premier jour de mon arrivée en Equipe nationale.
Et si on vous demandait de vous adresser directement aux supporteurs, vous leur diriez quoi ?
D'abord merci pour toutes les marques de sympathie que vous m'adressez à travers les sites Internet. Votre soutien m'aide beaucoup à garder le moral malgré tout ce qui se dit à mon sujet. Je voudrais que vous sachiez surtout que je n'ai rien fait de mal pour mériter cette mise à l'écart. Et aussi que je ne suis pas décideur dans ce qui m'arrive, mais que je serai toujours disponible pour défendre les couleurs de mon pays. Maintenant, s'ils veulent se passer de moi tant pis pour eux.
Est-ce vrai que vous aviez failli signer au Qatar, vous aussi ?
Oui, c'est vrai. J'ai eu des offres très intéressantes au Qatar et en Arabie Saoudite. Franchement, ça ne me gênerait pas d'aller jouer dans cette région. La culture me va parfaitement d'un point de vue religieux. Le cadre de vie aussi est parfait. Mais comme j'ai eu la chance d'être sollicité par un grand club, je n'ai pas refusé. J'ai en plus signé un long contrat (3 ans). Je suis donc très heureux de jouer à l'Olympiacos. Ma famille aussi se sent bien à Athènes. C'est une belle ville avec un climat idéal, comme celui d'Alger. A moi donc de travailler et d'être sérieux et je n'ai rien à envier à personne dans ce sens. Je ne m'inquiète donc vraiment pas, alhamdoulillah.
Un dernier mot pour la fin, de préférence sur l'Equipe nationale…
C'est sûr que l'Equipe nationale me manque beaucoup. J'ai vécu des moments très forts, que ce soit avec mes coéquipiers ou les supporteurs. J'espère que la vérité sera connue très bientôt pour qu'on puisse juger si j'ai mérité cette mise à l'écart. De mon côté, je resterai toujours disponible pour servir le football de mon pays. Si on m'appelle maintenant, je viendrai en courant pour honorer le maillot des Verts. Il s'agit des couleurs de notre drapeau, bon sang ! On ne peut pas refuser un tel honneur.


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