Un RDV était prévu hier à 19 heures avec l'agent de Lang Comme annoncé dans l'une de nos précédentes livraisons, le patron du GSP, Mohamed Djouad, qui prépare son retour à la présidence du club, veut en effet s'attacher les services d'un entraîneur de renom et qui jouit d'une riche expérience pour bâtir une grande équipe e prévision de la saison prochaine. Résolument contre le maintien de l'actuel entraîneur, Djouad est en train de chercher un successeur au Français Alain Michel. Selon une source bien informée, il s'agirait de l'ex-entraîneur de la JS Kabylie, Jean-Christian Lang. N'ayant pas trouvé un terrain d'entente avec le club phare de Kabylie, ce dernier se serait dit intéressé de son côté par l'idée de rejoindre le Mouloudia. D'ailleurs, il a déclaré texto dans ces mêmes colonnes : «Si mon manager trouve un terrain d'entente avec les dirigeants du Mouloudia, j'entraînerai bien cette équipe.» Déjà, la réunion prévue hier après-midi entre les dirigeants et le coach, qui devait être conscarée au renouvellement du contrat de ce dernier, a été annulée à la dernière minute. Une source autorisée nous a révélé que les actuels dirigeants attendent une réponse claire, ce qui explique l'annulation de ladite réunion. Autrement dit, Alain Michel est indésirable à la barre technique du MCA. Une information dont tout le monde a déjà connaissance au Mouloudia. Un RDV était prévu hier à 19 heures avec l'agent de Lang Selon une source bien informée, un rendez-vous était prévu hier entre le probable futur président du club phare de la capitale, Mohamed Djouad, et le manager de l'ex- coach de la JSK, Jean-Christian Lang. Djouad avait déjà pris le soin de faire une proposition financière à l'agent de Lang qui devait rendre une réponse définitive hier aux environ de 19 heures. Dans ce registre, on croit savoir que l'offre mouloudéenne se situerait autour de 12 000 euros mensuels. Ce rendez-vous avait donc valeur de round de négociations décisif pour les dirigeants qui doivent désigner un successeur à Michel dans les plus brefs délais. Nous y reviendrons. H. R.
