Le choix des mesures de relance, mis en marche depuis quelques années par l'Etat en vue de répondre à toutes les préoccupations, constitue une approche qui s'inscrit dans un courant poussant à l'harmonisation d'un développement qui intègre le lien unissant l'élaboration de solutions viables en conformité avec les besoins et les intérêts de la population. En complément à cette voie, il est indispensable que tous les efforts se joignent pour mettre en avant un développement harmonieux et équitable en parallèle avec l'augmentation des multiplicateurs de création de richesses pour alléger les éventuelles hypothèques qui peuvent survenir. La promotion et la protection de l'économie nationale peuvent dans ces conditions se hisser pour porter des expressions communes et des identités diversifiées à tous les échelons. Une " clause " d'exception économique à laquelle devraient souscrire tout le monde pour maintenir la " vitalité " menant à la confiance dans l'avenir. A ce sujet, le gouvernement a, dès lors, la mission et l'objectif de tout percevoir simultanément afin de rendre tangible et efficace son programme. Ce dernier en se voulant un " plan " de développement, décide donc de l'avenir économique et social, répertorie sans nuance et préserve ses subtilités d'un " sommeil ". Un bien vital dans un style aussi clairvoyant que vivant, visant aussi à créer les conditions essentielles à l'instauration du retour à la confiance et de la stabilité. Deux fondamentaux à conforter et à consolider dans une véritable démarche d'intégration sociale et d'une politique économique inclusive, et ce dans l'esprit d'une " veille " sans relâche aux besoins des générations actuelles et à venir par la mise en œuvre de plans et d'initiatives programmés dans la finalité d'absorber tous les retards et tous les déficits, mais également de rechercher à l'avenir de nouvelles lignes indispensables et visiblement empreintes du principe de la continuité sous l'ombre propice de la réconciliation nationale, qui désormais exprime la pérennité nationale et le critère de la stabilité.
