Depuis le retour du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika au pays, tous les coups de force e envisagés par les uns et les autres sont tombés à l'eau. Mieux encore, il est constaté, même un relâchement dans l'attitude de certains qui sont en train de récupérer les fruits amers de leur propagande. La reprise par les médias nationaux de l'agenda qui est entre les mains du chef de l'Etat, ne fait qu'officialiser et renforcer, encore, son retour en force à El-Mouradia pour trancher sur plusieurs dossiers. Après qu'une certaine opposition et autres personnalités politiques ont occupé le terrain durant la convalescence du chef de l'Etat, tout indique qu'aujourd'hui, les rôles seront inversés: c'est le président Abdelaziz Bouteflika, avec son agenda politique et économique, qui occupera l'actualité nationale, notamment pour la préparation des thèmes de la prochaine rentrée politique et sociale, la tripartite singulièrement. D'ores et déjà, des sources concordantes soulignent que le chef de l'Etat est en train de passer en revue toutes les questions, les problèmes et les résultats enregistrés durant son absence, On parle à ce sujet, d'un compte rendu bien ficelé que lui aurait remis le Premier ministre, M. Abdelmalek Sellal et qui toucherait à tous les secteurs, suite notamment à la synthèse de ses visites de travail et d'inspection effectuées à travers nombre de wilayas. Un document, indiquent, nos sources, qui a retenu toute l'attention du premier magistrat du pays. Une base de données, associée à celle des autres rapports qui est de nature à pousser le chef de l'Etat à prendre des initiatives et des mesures allant dans le sens de combler certains déficits et autres lacunes soulevées par ces rapports. C'est dire que ces comptes rendus remis au Président sans la moindre complaisance sont à même de prouver que l'Algérie dispose de tous les atouts politiques et économiques pour franchir cette étape le plus normalement possible. Une question de principe qui comme toujours à l'aval et l'adhésion de l'écrasante majorité du peuple. Le Premier ministre, M. Sellal qui a inauguré son plan d'action avec la stricte référence au programme politique du président Abdelaziz Bouteflika, est en train de remporter des victoires sans précédent sur les adversaires de ce programme. Jouant le jeu de la transparence et de la franchise, M. Sellal accroit, chaque jour, les chances de remporter son pari et d'où le crédit du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika s'en trouve renforcé, y compris dans les rangs de ses adversaires. Il reste bien sûr que la reprise de " travail " du Président et, surtout, les mesures qu'il prendra à la lumière de ces rapports et compte-rendu, apporteront les réponses claires que le peuple attend de lui, surtout que la situation politique à tendance à s'aggraver par le fait d'un paysage en baisse de productivité pour l'intérêt mais en hausse de la critique destructive. Ce " périmètre " restreint de politiciens qui ont jugé que les conditions étaient mûres pour tenter un coup de force au sommet de l'Etat, se trouvent aujourd'hui retranchés dans le camp des perdants. Conscients qu'ils sont en train de perdre du terrain partout où ils se déplacent, ils ont cette fois engrangés une nouvelle offensive en règle contre tout ce qui correspond à la stabilité du pays, faisant une fois de plus passer leurs intérêt, avant ceux de la Nation, s'érigeant en outre en " démocrates" face au programme politique parce que celui-ci avec le soutien du peuple s'exerce au détriment de leurs intérêts et leurs visées. C'est dire que pour faire face et surtout traverser ces temps difficiles imposés par des politiques à la recherche de l'inconnu, le pays et le président Abdelaziz Bouteflika ont besoin d'une cohésion unie et forte plus que jamais nécessaire, en tant que pôle essentiel et primordial de stabilité sociale et politique. Et pour tirer les leçons de ce bouillonnement politicien, rien de mieux que de rappeler l'adage populaire de chez nous : " Il m'a frappé et s'est mis à pleurer et il m'a précédé pour porter plainte ".
