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Les dangers de la surenchère
Publié dans Le Maghreb le 21 - 08 - 2017

La persistance et l'insistance que certaines voix expriment depuis un certain temps à ennuyer le Président Abdelaziz Bouteflika pendant toute une période montrent que l'on attendait qu'il se décide à partir. La chansonnette, tout le monde l'a connaît : " une période de transition démocratique " qui ouvrirait la voie à ses " demandeurs " de prendre le pouvoir avec la bénédiction de l'ANP et sans l'aval du peuple. Mais c'était sans compter sur le niet républicain du Haut-Commandement de l'institution militaire qui tient aux prérogatives qui lui sont assignées par la loi fondamentale du pays. Une campagne à travers laquelle certains recherchent à intoxiquer, à faire peur en pratiquant un discours politique violent. Et cela n'a rien donné. Alors certains envisagent de passer à une autre phase, mais si cette phase dérape, car actuellement elle semble déraper, elle a du mal à s'enclencher, à se mettre en place, compte tenu de son rejet et de sa dénonciation par la quasi-totalité des Algériens qui ne tiennent plus à un recul en arrière et à ne plus croire aux " sauces politiciennes " que d'aucuns tiennent à leur faire avaler. D'un autre côté, on peut également craindre que l'on emploie à nouveau de nouvelles méthodes et de nouvelles manipulations. C'est pourquoi à la veille de la rentrée sociale et politique qu'il importe de prendre très au sérieux tout cela, et de considérer que ce n'est pas simplement une intimidation, mais une volonté effective de nuire et de détruire la cohésion nationale. La situation socio-politique du pays vit aujourd'hui des moments difficiles, sous le double effet de vives attaques contre le programme politique en vigueur et de profonds et violents discours politiques qui répondent aux ennemis de la Patrie, ceux qui rêvent de voir l'Algérie s'effondrer, ceux qui croient que leurs désirs vont devenir des réalités… et intensifient leurs efforts pour arriver à leurs fins : surenchères, manipulation, propagande, mensonge, agitation dans tous les sens, tension entretenue ou attisée. Tous ces efforts sont bien le signe que le programme politique du Président Abdelaziz Bouteflika gêne, qu'il représente un danger sérieux pour beaucoup de gens, pour nombreux politiques et pour les ennemis du pays.
Et, comme par hasard, on parle de moins en moins du très important facteur de la Réconciliation nationale qu'a pu constituer et continue toujours le rôle du Président Abdelaziz Bouteflika, on s'empresse d'oublier de reconnaître que Bouteflika a victorieusement guidé le peuple algérien vers l'entente nationale, la paix, la sécurité et le développement durable et ainsi, le retour prestigieux de l'Algérie dans le concert des nations. Depuis lors, Bouteflika a toujours été à l'écoute du peuple, toujours été au contact avec les besoins, avec les volontés de ce peuple, malgré sa maladie.
Dans beaucoup de situations, de domaines essentiels, il n'a pas seulement apporté une pensée personnelle, originale, mais il s'est comporté en Président porte-voix, répercutant celle du peuple algérien. Fort de la confiance des citoyens algériens, le Président Bouteflika continue son œuvre vers la réalisation simultanée de trois objectifs stratégiques : l'achèvement de la restauration de la paix civile à travers la réconciliation nationale, la poursuite des réformes de la gouvernance et la consolidation de l'Etat de droit à travers la nouvelle Constitution amendée, ainsi que le développement économique et social, gages et garants de la sécurité et de la stabilité du pays. Ce sont-là, aujourd'hui comme hier, les constantes du Président Bouteflika Des constantes qu'il approfondit et affine par étape, pour mettre définitivement l'Algérie à l'abri des tourmentes, toujours possibles, et dont certaines essaiment, çà et là, dans l'environnement immédiat de l'Algérie. Face à tout cela, le peuple algérien a toujours exprimé, et avec toute son énergie, son rejet de toute manipulation ainsi que son refus de toute tentative de porter atteinte aux institutions légitimes du pays, la fragilisation de l'Etat, de nuire à l'honorabilité de ses commis, ou de ternir l'image de l'Algérie sur le plan international.
Dans cette optique, le programme politique du président de la République, Mr. Abdelaziz Bouteflika est fortement soutenu par le Haut-Commandement de l'ANP qui inscrit son action dans le bien le plus précieux de l'Algérie et de son peuple : l'unité, la sécurité, la stabilité, la paix et la préservation de la souveraineté nationale. C'est là un substrat essentiel sans lequel aucun progrès économique, ni même destin national ne sauraient être envisagés. Ce défi majeur interpelle tous les Algériens plus que jamais au regard des bouleversements que connaît le monde, des signes d'instabilité que vit la région et des velléités d'atteinte à la souveraineté nationale. Ce défi se situe en droite ligne des priorités du chef de l'Etat. S'il paraît naturel à chacun de vivre rasséréné et en confiance dans une société sereine, régie par la Loi, et l'amélioration de la gouvernance, la batterie de réformes politiques et économiques lancées par le chef de l'Etat participent de cette volonté d'approfondir la bonne gouvernance, et d'élargir et de garantir les libertés publiques et les mécanismes démocratiques. Un tout qui est en train de se concrétiser à travers la reconstruction et la modernisation des bases matérielles du renouveau national, dans tous les domaines. Ces objectifs contenus dans le programme présidentiel se nourrissent les uns des autres, et leur finalité étant le bien-être de la population dans un environnement en mutation, l'orientation du développement vers la satisfaction des besoins sociaux des citoyens à travers la résolution de la crise du logement, la lutte contre le chômage, le maintien de la politique de justice sociale et de solidarité nationale. L'Algérie aujourd'hui, est appelée à aller de l'avant dans l'approfondissement du processus démocratique, le renforcement des bases de l'Etat de droit, la réduction des disparités et l'accélération du développement socio-économique. Cette mission " ambitieuse " et "décisive " pour l'avenir, comme souvent rappelée par le chef de l'Etat exige l'adhésion de la majorité, la participation de toutes les forces politiques et sociales et la contribution des compétences nationales. Elle requiert aussi un Etat fort capable d'instaurer une plus grande confiance entre l'administration et les citoyens. Un Etat reposant sur une administration compétente et crédible et un système judiciaire placé sous la seule autorité de la Loi.
" Nul n'a donc le droit de réinstaller, d'une façon ou d'une autre, la peur dans les familles algériennes, inquiètes pour la sécurité de leurs enfants ou de leurs biens ou, plus graves encore, l'inquiétude de toute la nation sur l'avenir de l'Algérie, son unité, son indépendance et sa souveraineté nationale ". (Dixit A. Bouteflika).


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