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Prochainement, J'ai vu tuer Ben Barka
CYCLE FILMS POLITIQUES au CCFA
Publié dans Le Midi Libre le 01 - 02 - 2010

Dan le cadre de sa manifestation cinématographique «Cycle films politiques », le Centre culturel français d'Alger organise le mercredi 3 février prochain, de 15 heures à 18H30, la projection du long métrage J'ai vu tuer Ben Barka de De Serge Le Péron.
Produit en 2005 avec la participation de Charles Berling, Simon Abkarian, Josiane Balasko, Jean-Pierre Léaud, Fabienne Babe, Mathieu Amalric, ce film d'un grand trait historique abordera, comme son titre l'indique, l'un des plus grands scandales en France, l'affaire Ben Barka.
D'une durée de 100 minutes, les événements du film se déroulent en janvier 1966. Dans un meublé parisien, la police découvre le cadavre de Georges Figon, l'homme qui a fait éclater le scandale de l'affaire Ben Barka et ébranlé le pouvoir gaulliste.
Un an plus tôt, Figon, lassé des affaires douteuses et des escroqueries minables, est à la recherche d'un coup juteux. Proche du «milieu» depuis ses années de prison, il se voit confier une mission de grande envergure : produire un documentaire sur la décolonisation, écrit par Marguerite Duras et réalisé par Georges Franju, avec l'aide du célèbre opposant marocain Mehdi Ben Barka, engagé comme conseiller historique. Néanmoins, ce projet de film s'avère être un véritable piège...
Concernant la genèse de ce film, le réalisateur avoue à travers le site de cinéma allocine que : «J'ai vu tuer Ben Barka est né d'une situation très précise : il y a quatre ans, une amie cinéphile, Frédérique Moreau, m'a raconté un dîner qu'elle partagea avec Franju à la fin de sa vie, au cours duquel il lui avait confié avoir arrêté l'alcool suite à un événement tragique qui l'avait profondément marqué : l'enlèvement de Ben Barka qui se produisit – dit-il – sous ses propres yeux, alors qu'il avait rendez-vous avec l'opposant marocain à la Brasserie Lipp».
Qui est donc ce Ben Barka ? Président de la première Assemblée Nationale du Maroc en 1956, Mehdi Ben Barka sera un des plus virulents opposants au régime de Hassan II, roi du Maroc en 1961. Condamné à mort par contumace, par une cour marocaine, en 1963, Ben Barka part en exil à Alger puis au Caire. Il sera enlevé à Paris en octobre 1965, son corps ne sera jamais retrouvé. R. C.
Dan le cadre de sa manifestation cinématographique «Cycle films politiques », le Centre culturel français d'Alger organise le mercredi 3 février prochain, de 15 heures à 18H30, la projection du long métrage J'ai vu tuer Ben Barka de De Serge Le Péron.
Produit en 2005 avec la participation de Charles Berling, Simon Abkarian, Josiane Balasko, Jean-Pierre Léaud, Fabienne Babe, Mathieu Amalric, ce film d'un grand trait historique abordera, comme son titre l'indique, l'un des plus grands scandales en France, l'affaire Ben Barka.
D'une durée de 100 minutes, les événements du film se déroulent en janvier 1966. Dans un meublé parisien, la police découvre le cadavre de Georges Figon, l'homme qui a fait éclater le scandale de l'affaire Ben Barka et ébranlé le pouvoir gaulliste.
Un an plus tôt, Figon, lassé des affaires douteuses et des escroqueries minables, est à la recherche d'un coup juteux. Proche du «milieu» depuis ses années de prison, il se voit confier une mission de grande envergure : produire un documentaire sur la décolonisation, écrit par Marguerite Duras et réalisé par Georges Franju, avec l'aide du célèbre opposant marocain Mehdi Ben Barka, engagé comme conseiller historique. Néanmoins, ce projet de film s'avère être un véritable piège...
Concernant la genèse de ce film, le réalisateur avoue à travers le site de cinéma allocine que : «J'ai vu tuer Ben Barka est né d'une situation très précise : il y a quatre ans, une amie cinéphile, Frédérique Moreau, m'a raconté un dîner qu'elle partagea avec Franju à la fin de sa vie, au cours duquel il lui avait confié avoir arrêté l'alcool suite à un événement tragique qui l'avait profondément marqué : l'enlèvement de Ben Barka qui se produisit – dit-il – sous ses propres yeux, alors qu'il avait rendez-vous avec l'opposant marocain à la Brasserie Lipp».
Qui est donc ce Ben Barka ? Président de la première Assemblée Nationale du Maroc en 1956, Mehdi Ben Barka sera un des plus virulents opposants au régime de Hassan II, roi du Maroc en 1961. Condamné à mort par contumace, par une cour marocaine, en 1963, Ben Barka part en exil à Alger puis au Caire. Il sera enlevé à Paris en octobre 1965, son corps ne sera jamais retrouvé. R. C.


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