Selon la Direction des services agricoles (DSA), une production de 564.755 quintaux de pomme de terre a été récoltée dans la wilaya de Chlef, au titre de l'actuelle campagne de récolte. Ces quantités ont été récoltées sur une superficie de 2.245 hectares, soit près de 90% de la superficie estimée à 2.273 ha consacrée à la culture de pomme de terre dans la wilaya, a indiqué la même source qui prévoit une production totale d'environ 580 mille quintaux avec un rendement de 251 quintaux à l'hectare. Les superficies destinées à la culture de la pomme de terre sont concentrées dans les zones de la plaine du Chélif, comme Boukadir, Oued Fodda, Chlef et Ouled Farès ; des zones où cette spéculation est pratiquée à grande échelle. La DSA, qui fait état d'une moyenne de production annuelle de 1,3 million de quintaux dans la wilaya, relève qu'une certaine stabilité de la production est enregistrée ces dernières années grâce au suivi technique et au traitement phytosanitaire des superficies après les pertes énormes causées par la maladie du ''mildiou'' en 2006 où plus d'un millier d'hectares ont été ravagés par cette maladie. K. H. Selon la Direction des services agricoles (DSA), une production de 564.755 quintaux de pomme de terre a été récoltée dans la wilaya de Chlef, au titre de l'actuelle campagne de récolte. Ces quantités ont été récoltées sur une superficie de 2.245 hectares, soit près de 90% de la superficie estimée à 2.273 ha consacrée à la culture de pomme de terre dans la wilaya, a indiqué la même source qui prévoit une production totale d'environ 580 mille quintaux avec un rendement de 251 quintaux à l'hectare. Les superficies destinées à la culture de la pomme de terre sont concentrées dans les zones de la plaine du Chélif, comme Boukadir, Oued Fodda, Chlef et Ouled Farès ; des zones où cette spéculation est pratiquée à grande échelle. La DSA, qui fait état d'une moyenne de production annuelle de 1,3 million de quintaux dans la wilaya, relève qu'une certaine stabilité de la production est enregistrée ces dernières années grâce au suivi technique et au traitement phytosanitaire des superficies après les pertes énormes causées par la maladie du ''mildiou'' en 2006 où plus d'un millier d'hectares ont été ravagés par cette maladie. K. H.
