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Israël doit rendre des comptes sur la tragédie palestinienne
Crimes de guerre israeliens durant son agression contre Ghaza l'hiver dernier
Publié dans Le Midi Libre le 28 - 02 - 2010

L'ONU a exigé hier d'enquêter de manière crédible sur les crimes de guerre commis durant l'agression israélienne contre Ghaza l'hiver dernier (27 décembre—18 janvier). 1.450 Palestiniens avaient été tués, en majorité des civils dont plus de 300 enfants contre 13 Israéliens dont 9 soldats.
L'ONU a exigé hier d'enquêter de manière crédible sur les crimes de guerre commis durant l'agression israélienne contre Ghaza l'hiver dernier (27 décembre—18 janvier). 1.450 Palestiniens avaient été tués, en majorité des civils dont plus de 300 enfants contre 13 Israéliens dont 9 soldats.
L'Assemblée était invitée à voter sur un projet de résolution arabe, appelant de nouveau les deux parties à ouvrir de telles enquêtes et leur donnant cette fois cinq mois pour le faire. L'Assemblée générale, où siègent les 192 Etats membres de l'ONU, a adopté la proposition arabe par 98 voix contre 7, avec 31 abstentions. Israël et son principal allié, les Etats-Unis, ont voté contre, ainsi que le Canada, Panama, Nauru, la Micronésie et la Macédoine. La Chine a voté pour, la Russie s'est abstenue. Seize pays de l'Union européenne sur 27, dont la France et la Grande-Bretagne, ont voté pour, les autres comme l'Allemagne et l'Italie se sont abstenus. Bien que plus consensuelle que celle de novembre, la nouvelle résolution a été adoptée à une majorité plus modeste, 98 voix pour au lieu de 114 initialement. L'observateur permanent de la Palestine à l'ONU, Riyad Mansour, a expliqué ce recul par la tempête de neige qui sévissait vendredi sur New York, perturbant gravement la circulation. De fait, seuls 136 Etats sur 192 ont participé au vote, contre 176 en novembre. Par ailleurs, la résolution recommande de nouveau au gouvernement suisse, dépositaire de la Convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre, de réunir une conférence des parties contractantes à cette Convention, sur "les mesures à prendre pour faire respecter celle-ci dans les territoires occupés, y compris à Jérusalem-est". La résolution, non contraignante, demande à Israël et aux Palestiniens d'ouvrir des enquêtes "indépendantes, crédibles et conformes aux critères internationaux" sur les "graves violations du droit international humanitaire et des droits de l'Homme" dont ils ont été accusés. Elle donne virtuellement cinq nouveaux mois aux deux parties pour s'exécuter puisqu'elle demande au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, de lui faire rapport dans ce délai sur la mise en œuvre de ces exigences. L'observateur permanent de la Palestine auprès de l'ONU, Riyad Mansour, auteur de la nouvelle résolution, a exprimé sa gratitude pour "un vote écrasant contre l'impunité et pour l'établissement de responsabilités". L'Assemblée plénière de l'ONU avait déjà demandé de telles enquêtes, le 5 novembre dernier, donnant trois mois aux deux parties pour les mener à bien. Dans cette résolution adoptée à une large majorité le 5 novembre 2009 malgré un lobbying intense de la part d'Israël pour le mettre en échec, l'Assemblée générale de l'ONU avait donné trois mois à Israël et aux Palestiniens pour ouvrir des enquêtes "crédibles" sur les allégations de crimes de guerre commis lors du conflit de Ghaza, contenues dans le rapport de la Commission d'enquête du juge Goldstone. A l'échéance de ce délai, le 5 février, M. Ban avait remis un rapport dans lequel il déclarait n'être pas en mesure de déterminer si Israël et les Palestiniens s'étaient conformés à l'exigence formulée par l'Assemblée en novembre. A ce stade, "aucune détermination" ne pouvait être faite "sur la mise en œuvre par les parties concernées de la résolution" 64/10 de l'Assemblée notait-il. Fin janvier, M. Ban avait reçu de l'Autorité palestinienne un rapport préliminaire sur la façon dont elle prévoyait d'enquêter sur la guerre à Ghaza. Il avait reçu également un rapport officiel du gouvernement israélien dans lequel celui-ci se défendait d'avoir violé les lois de la guerre et s'efforçait de réfuter les accusations de la commission Goldstone. Vantant « l'impartialité » et « l'indépendance » de son système judiciaire, appelant à la rescousse l'argument éculé de « l'auto-défense », Israël habitué à violer impunément les lois internationales, n'a pas cessé d'utiliser tous ses arguments fallacieux pour tenter de dénigrer le rapport Goldstone qu'il juge "inique, saugrenu et unilatéral", « partiel et malhonnête ».. Le gouvernement israélien craint que ses responsables politiques et militaires ne soient poursuivis par la justice internationale et éventuellement condamnés. En décembre, Tzipi Livni, chef de la diplomatie durant l'agression israélienne, s'était retrouvée en janvier sous le coup d'un mandat d'arrêt international emis par un tribunal londonien. Le gouvernement britannique avait dû intervenir pour l'y soustraire. Refusant pour l'heure de créer une commission d'enquête comme le somme de le faire les instances internationales, il s'est borné, dans une tentative pitoyable de faire diversion, à infliger un blâme à deux officiers supérieurs pour des tirs d'obus au phosphore contre un bâtiment de l'ONU lors de l'offensive à Ghaza, parce qu'ils étaient dirigés vers une zone habitée. Le Hamas s'est absout de tout crime de guerre en soutenant que sa branche armée avait frappé "des cibles militaires et évité les cibles civiles" israéliennes. 13 Israéliens avaient péri dans ce conflit dont 9 militaires. Le rapport Goldstone, commissionné par l'ONU, recommande la saisine de la Cour pénale internationale (CPI) si Israël et les Palestiniens n'annoncent pas leur intention de mener des enquêtes "crédibles" sur la conduite du conflit. Les accusations de crimes de guerre étaient contenues dans le rapport de la commission du juge sud-africain Richard Goldstone, qui avait été chargée par l'ONU d'enquêter sur la manière dont s'était déroulée l'agression contre la bande de Ghaza. Le texte adopté hier était crédité d'un large soutien, y compris celui de plusieurs pays européens tant l'opinion publique internationale avait été choquée par l'ampleur de l'agression infligée sans discrimination à la population palestinienne. La disproportion inadmissible et éloquente entre le nombre de victimes palestiniennes et israeliennes a amorcé un tournant favorable à la cause palestinienne. Un mouvement s'affirme de plus en plus pour soumettre Israël qui en était complaisamment soustrait jusque-là de répondre de ses violations au droit international. Ainsi, les députés européens se sont déclarés à Bruxelles en faveur d'une position commune ferme de l'Union européenne (UE) concernant la suite à donner au rapport d'enquête de l'ONU sur l'agression israélienne. Cette position commune, votée jeudi à main levée, va être portée à la 13e session du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU, prévue à Genève du 1er au 26 mars prochain. Lors de leur session plénière, les eurodéputés ont demandé "la mise en œuvre des recommandations de ce rapport et de responsabilisation pour toutes les violations du droit international". "Le rapport du juge Goldstone témoigne des crimes effroyables et des violations du droit international et du droit international humanitaire commis par Israël contre le peuple palestinien", a déclaré le député Kyriacos Triantaphyllides du Groupe confédéral de la Gauche Unitaire Européenne/Gauche Verte Nordique (GUE-NGL). "Le respect du droit international des droits de l'Homme et du droit international humanitaire par toutes les parties et en toutes circonstances est une condition essentielle pour parvenir à une paix juste et durable au Moyen-Orient", ont estimé les députés. Ils ont insisté sur leur obligation de faire pression pour une solution juste au Proche-Orient, le rapport Goldstone devant à cet effet être utilisé pour y parvenir. "Aucun Etat démocratique ne peut se permettre de transgresser le droit international sans avoir de compte à rendre. Ce Parlement ne se laissera pas intimider. Il continuera à demander à ce que toute la lumière soit faite sur la tragédie de Ghaza, sans acharnement, mais avec détermination", avait affirmé l'eurodéputée belge Véronique de Kayser, également vice-présidente de l'Alliance Progressiste des Socialistes et Démocrates du Parlement européen. L'eurodéputée belge assistera à Barcelone aux travaux du Tribunal Russell pour la Palestine initié par des personnalités internationales à l'image du tribunal Russel pour le Vietnam. N. S.
L'Assemblée était invitée à voter sur un projet de résolution arabe, appelant de nouveau les deux parties à ouvrir de telles enquêtes et leur donnant cette fois cinq mois pour le faire. L'Assemblée générale, où siègent les 192 Etats membres de l'ONU, a adopté la proposition arabe par 98 voix contre 7, avec 31 abstentions. Israël et son principal allié, les Etats-Unis, ont voté contre, ainsi que le Canada, Panama, Nauru, la Micronésie et la Macédoine. La Chine a voté pour, la Russie s'est abstenue. Seize pays de l'Union européenne sur 27, dont la France et la Grande-Bretagne, ont voté pour, les autres comme l'Allemagne et l'Italie se sont abstenus. Bien que plus consensuelle que celle de novembre, la nouvelle résolution a été adoptée à une majorité plus modeste, 98 voix pour au lieu de 114 initialement. L'observateur permanent de la Palestine à l'ONU, Riyad Mansour, a expliqué ce recul par la tempête de neige qui sévissait vendredi sur New York, perturbant gravement la circulation. De fait, seuls 136 Etats sur 192 ont participé au vote, contre 176 en novembre. Par ailleurs, la résolution recommande de nouveau au gouvernement suisse, dépositaire de la Convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre, de réunir une conférence des parties contractantes à cette Convention, sur "les mesures à prendre pour faire respecter celle-ci dans les territoires occupés, y compris à Jérusalem-est". La résolution, non contraignante, demande à Israël et aux Palestiniens d'ouvrir des enquêtes "indépendantes, crédibles et conformes aux critères internationaux" sur les "graves violations du droit international humanitaire et des droits de l'Homme" dont ils ont été accusés. Elle donne virtuellement cinq nouveaux mois aux deux parties pour s'exécuter puisqu'elle demande au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, de lui faire rapport dans ce délai sur la mise en œuvre de ces exigences. L'observateur permanent de la Palestine auprès de l'ONU, Riyad Mansour, auteur de la nouvelle résolution, a exprimé sa gratitude pour "un vote écrasant contre l'impunité et pour l'établissement de responsabilités". L'Assemblée plénière de l'ONU avait déjà demandé de telles enquêtes, le 5 novembre dernier, donnant trois mois aux deux parties pour les mener à bien. Dans cette résolution adoptée à une large majorité le 5 novembre 2009 malgré un lobbying intense de la part d'Israël pour le mettre en échec, l'Assemblée générale de l'ONU avait donné trois mois à Israël et aux Palestiniens pour ouvrir des enquêtes "crédibles" sur les allégations de crimes de guerre commis lors du conflit de Ghaza, contenues dans le rapport de la Commission d'enquête du juge Goldstone. A l'échéance de ce délai, le 5 février, M. Ban avait remis un rapport dans lequel il déclarait n'être pas en mesure de déterminer si Israël et les Palestiniens s'étaient conformés à l'exigence formulée par l'Assemblée en novembre. A ce stade, "aucune détermination" ne pouvait être faite "sur la mise en œuvre par les parties concernées de la résolution" 64/10 de l'Assemblée notait-il. Fin janvier, M. Ban avait reçu de l'Autorité palestinienne un rapport préliminaire sur la façon dont elle prévoyait d'enquêter sur la guerre à Ghaza. Il avait reçu également un rapport officiel du gouvernement israélien dans lequel celui-ci se défendait d'avoir violé les lois de la guerre et s'efforçait de réfuter les accusations de la commission Goldstone. Vantant « l'impartialité » et « l'indépendance » de son système judiciaire, appelant à la rescousse l'argument éculé de « l'auto-défense », Israël habitué à violer impunément les lois internationales, n'a pas cessé d'utiliser tous ses arguments fallacieux pour tenter de dénigrer le rapport Goldstone qu'il juge "inique, saugrenu et unilatéral", « partiel et malhonnête ».. Le gouvernement israélien craint que ses responsables politiques et militaires ne soient poursuivis par la justice internationale et éventuellement condamnés. En décembre, Tzipi Livni, chef de la diplomatie durant l'agression israélienne, s'était retrouvée en janvier sous le coup d'un mandat d'arrêt international emis par un tribunal londonien. Le gouvernement britannique avait dû intervenir pour l'y soustraire. Refusant pour l'heure de créer une commission d'enquête comme le somme de le faire les instances internationales, il s'est borné, dans une tentative pitoyable de faire diversion, à infliger un blâme à deux officiers supérieurs pour des tirs d'obus au phosphore contre un bâtiment de l'ONU lors de l'offensive à Ghaza, parce qu'ils étaient dirigés vers une zone habitée. Le Hamas s'est absout de tout crime de guerre en soutenant que sa branche armée avait frappé "des cibles militaires et évité les cibles civiles" israéliennes. 13 Israéliens avaient péri dans ce conflit dont 9 militaires. Le rapport Goldstone, commissionné par l'ONU, recommande la saisine de la Cour pénale internationale (CPI) si Israël et les Palestiniens n'annoncent pas leur intention de mener des enquêtes "crédibles" sur la conduite du conflit. Les accusations de crimes de guerre étaient contenues dans le rapport de la commission du juge sud-africain Richard Goldstone, qui avait été chargée par l'ONU d'enquêter sur la manière dont s'était déroulée l'agression contre la bande de Ghaza. Le texte adopté hier était crédité d'un large soutien, y compris celui de plusieurs pays européens tant l'opinion publique internationale avait été choquée par l'ampleur de l'agression infligée sans discrimination à la population palestinienne. La disproportion inadmissible et éloquente entre le nombre de victimes palestiniennes et israeliennes a amorcé un tournant favorable à la cause palestinienne. Un mouvement s'affirme de plus en plus pour soumettre Israël qui en était complaisamment soustrait jusque-là de répondre de ses violations au droit international. Ainsi, les députés européens se sont déclarés à Bruxelles en faveur d'une position commune ferme de l'Union européenne (UE) concernant la suite à donner au rapport d'enquête de l'ONU sur l'agression israélienne. Cette position commune, votée jeudi à main levée, va être portée à la 13e session du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU, prévue à Genève du 1er au 26 mars prochain. Lors de leur session plénière, les eurodéputés ont demandé "la mise en œuvre des recommandations de ce rapport et de responsabilisation pour toutes les violations du droit international". "Le rapport du juge Goldstone témoigne des crimes effroyables et des violations du droit international et du droit international humanitaire commis par Israël contre le peuple palestinien", a déclaré le député Kyriacos Triantaphyllides du Groupe confédéral de la Gauche Unitaire Européenne/Gauche Verte Nordique (GUE-NGL). "Le respect du droit international des droits de l'Homme et du droit international humanitaire par toutes les parties et en toutes circonstances est une condition essentielle pour parvenir à une paix juste et durable au Moyen-Orient", ont estimé les députés. Ils ont insisté sur leur obligation de faire pression pour une solution juste au Proche-Orient, le rapport Goldstone devant à cet effet être utilisé pour y parvenir. "Aucun Etat démocratique ne peut se permettre de transgresser le droit international sans avoir de compte à rendre. Ce Parlement ne se laissera pas intimider. Il continuera à demander à ce que toute la lumière soit faite sur la tragédie de Ghaza, sans acharnement, mais avec détermination", avait affirmé l'eurodéputée belge Véronique de Kayser, également vice-présidente de l'Alliance Progressiste des Socialistes et Démocrates du Parlement européen. L'eurodéputée belge assistera à Barcelone aux travaux du Tribunal Russell pour la Palestine initié par des personnalités internationales à l'image du tribunal Russel pour le Vietnam. N. S.


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