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Sensibiliser sur les dangers de l'automédication
6e congrès de lutte contre la douleur
Publié dans Le Midi Libre le 17 - 03 - 2010

Face à l'absence de centres de traitement de la douleur au niveau national et aux préoccupations des malades qui s'adonnent de plus en plus à l'automédication pour soulager leurs souffrances, la Société algérienne d'évaluation et du traitement de la douleur (SAETD), tient à attirer l'attention autour de cette situation préoccupante et surtout sensibiliser les malades sur les dangers de l'abus de traitement antidouleur, pris sans le moindre avis médical.
Face à l'absence de centres de traitement de la douleur au niveau national et aux préoccupations des malades qui s'adonnent de plus en plus à l'automédication pour soulager leurs souffrances, la Société algérienne d'évaluation et du traitement de la douleur (SAETD), tient à attirer l'attention autour de cette situation préoccupante et surtout sensibiliser les malades sur les dangers de l'abus de traitement antidouleur, pris sans le moindre avis médical.
Un thème qui va être traité lors du 6ème congrès national de lutte contre la douleur qui se déroulera vendredi et samedi prochains, à Alger. Cette rencontre scientifique réunira la famille médicale pour débattre les questions relatives à la douleur et ses traitements, à savoir, les douleurs induites (causée par les soins médicaux), les Céphalées (maux de tête) ainsi que les douleurs orofaciales (symptômes touchant la région des dents, la nuque, les oreilles…). En effet, ce genre de traitements spécifiques à la douleur constitue une réelle problématique en l'absence d'un centre spécialisé en Algérie. De plus en plus de malades s'adonnent ainsi à l'automédication, autrement dit, la prise de médicaments sans prescription médicale. Sans conscience du danger que cette pratique peut induire sur la santé, la prise de produits pharmaceutiques de façon irrationnelle et souvent abusive est devenue une pratique et une habitude presque «normale». Porter avec soi des antidouleurs pour soigner une crise de maux de tête ou atténuer un mal de dents est devenu un geste banal. Bon nombre de personnes pensent pouvoir poursuivre eux-mêmes un traitement lors d'un mal de gorge (angine), douleurs artérielle…etc, ce qui est fortement déconseillé. Les professionnels de la santé ont toujours mis en grade contre ces habitudes irrationnelles et recommandent le recours au médecin, le seul apte à définir la gravité de la maladie et du traitement à y apporter. Le moindre surdosage ou autre consommation incontrôlée d'antidouleurs, d'anti-inflammatoires et d'antalgiques peut conduire à des conséquences fâcheuses sur la santé. En outre, le recours à des antidouleurs de manière abusive sur une courte période mène également à des résultats contraires et parfois à des résultats plus graves pour l'organisme. Selon les spécialistes, prendre une dose élevée de médicaments peut être à l'origine de complications telles que les allergies, les éruptions cutanées et bien d'autres maladies. Ceci dit, il est, tout de même, recommandé de se limiter à un cachet d'aspirine en cas de léger mal de tête, sans pour autant dépasser les doses admises, alors que lire la notification d'un quelconque médicament avant sa consommation est plus qu'obligatoire. D'un autre coté, les médecins déconseillent fermement aux parents de soigner leurs enfants à domicile, de façon «clandestine». L'abus de médicaments pour les enfants est parfois fatal puisqu'ils sont plus sensibles aux produis chimiques que les adultes. A. B.
Un thème qui va être traité lors du 6ème congrès national de lutte contre la douleur qui se déroulera vendredi et samedi prochains, à Alger. Cette rencontre scientifique réunira la famille médicale pour débattre les questions relatives à la douleur et ses traitements, à savoir, les douleurs induites (causée par les soins médicaux), les Céphalées (maux de tête) ainsi que les douleurs orofaciales (symptômes touchant la région des dents, la nuque, les oreilles…). En effet, ce genre de traitements spécifiques à la douleur constitue une réelle problématique en l'absence d'un centre spécialisé en Algérie. De plus en plus de malades s'adonnent ainsi à l'automédication, autrement dit, la prise de médicaments sans prescription médicale. Sans conscience du danger que cette pratique peut induire sur la santé, la prise de produits pharmaceutiques de façon irrationnelle et souvent abusive est devenue une pratique et une habitude presque «normale». Porter avec soi des antidouleurs pour soigner une crise de maux de tête ou atténuer un mal de dents est devenu un geste banal. Bon nombre de personnes pensent pouvoir poursuivre eux-mêmes un traitement lors d'un mal de gorge (angine), douleurs artérielle…etc, ce qui est fortement déconseillé. Les professionnels de la santé ont toujours mis en grade contre ces habitudes irrationnelles et recommandent le recours au médecin, le seul apte à définir la gravité de la maladie et du traitement à y apporter. Le moindre surdosage ou autre consommation incontrôlée d'antidouleurs, d'anti-inflammatoires et d'antalgiques peut conduire à des conséquences fâcheuses sur la santé. En outre, le recours à des antidouleurs de manière abusive sur une courte période mène également à des résultats contraires et parfois à des résultats plus graves pour l'organisme. Selon les spécialistes, prendre une dose élevée de médicaments peut être à l'origine de complications telles que les allergies, les éruptions cutanées et bien d'autres maladies. Ceci dit, il est, tout de même, recommandé de se limiter à un cachet d'aspirine en cas de léger mal de tête, sans pour autant dépasser les doses admises, alors que lire la notification d'un quelconque médicament avant sa consommation est plus qu'obligatoire. D'un autre coté, les médecins déconseillent fermement aux parents de soigner leurs enfants à domicile, de façon «clandestine». L'abus de médicaments pour les enfants est parfois fatal puisqu'ils sont plus sensibles aux produis chimiques que les adultes. A. B.


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