Depuis quelques mois, on assiste à des redditions en cascade de terroristes du GPPC/AQMI. Si cela renseigne sur le déclin des hordes terroristes qui peuplent les maquis, il n'en demeure pas moins que ça illustre les efforts fournis par les différents services de sécurité, notamment l'ANP en matière de lutte antiterroriste. En effet, les groupuscules d'activistes qui persistent dans leur besogne depuis la promulgation de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, deviennent de plus en plus affaiblis. D'où la reddition de plusieurs éléments depuis, de surcroît «grosses têtes» de l'organisation terroriste. Tout récemment, l'émir Abou El-Abbès, l'actuel officier exégète de la zone Centre et membre du conseil des notables (madjles el-Ayan) au sein de la chefferie du GSPC/AQMI, s'est rendu le 25 mai dernier aux services de sécurité, ont indiqué des sources sécuritaires, avait rapporté l'APS. «Les services de sécurité ont réussi le 25 mai 2010 à obtenir la reddition de l'actuel officier exégète de la zone centre, membre du conseil des notables au sein de la chefferie du GSPC/AQMI et chef de la commission légiste», a-t-on précisé. Il s'agit du terroriste Touati Athmane, alias Abou El-Abbès, originaire de Bordj Menaïl (Boumerdès), qui a rallié les groupes armés depuis 1993, a-t-on ajouté. «Cette reddition a été rendue possible grâce au concours de son épouse qui a réussi à convaincre son mari d'abandonner la horde criminelle et rentrer auprès des siens», a-t-on poursuivi. La même source a révélé qu' «au cours de la même journée, les services de sécurité ont enregistré le repentir du terroriste Grig-Ahsine Abdelhalim, dit Abdelkader, natif d'Alger, membre de la sarya d'Aïn El Hammam du GSPC/zone Centre», précisant qu'«il a rejoint les maquis terroristes en 1994 après s'être évadé de la prison de Tazoult/Batna». «Ainsi, en l'espace de deux mois, c'est un troisième pion, vecteur essentiel de l'échiquier de Droudkel qui lui fausse compagnie», a-t-on fait savoir. «En effet, Mansouri Ahmed, dit Abdeldjebbar, ex-émir de la phalange El-Farouk, s'est rendu en date du 16 avril 2010 avec armes et bagages et a communiqué de précieux renseignements sur ses ex-complices», a encore indiqué la même source. «Le 18 avril 2010, l'ex-chef de la commission médicale du GSPC/zone Centre, le nommé Mokadem Lounis, alias Abou Naâmane, au maquis depuis 1996, s'est rendu aux mêmes services de sécurité et a, comme son acolyte, spontanément communiqué de précieux renseignements sur sa phalange d'appartenance», a-t-on ajouté. La défection de ces quatre «vétérans» des groupes armés, considérés comme des tenants de la ligne radicale du GSPC/AQMI, reflète «l'état de délabrement et de débandade que vivent les hordes criminelles, situation plutôt proche du sauve-qui-peut», a expliqué la même source. Il faut dire également que l'armée a davantage resserré l'étau autour des terroristes en activité. Des efforts qui ont permis d'abattre au début du mois de mai dernier trois terroristes notoires au centre-ville de Draâ El-Mizan (Tizi-Ouzou), dont l'un n'est autre que le redoutable émir de la phalange de Takhoukht. Depuis quelques mois, on assiste à des redditions en cascade de terroristes du GPPC/AQMI. Si cela renseigne sur le déclin des hordes terroristes qui peuplent les maquis, il n'en demeure pas moins que ça illustre les efforts fournis par les différents services de sécurité, notamment l'ANP en matière de lutte antiterroriste. En effet, les groupuscules d'activistes qui persistent dans leur besogne depuis la promulgation de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, deviennent de plus en plus affaiblis. D'où la reddition de plusieurs éléments depuis, de surcroît «grosses têtes» de l'organisation terroriste. Tout récemment, l'émir Abou El-Abbès, l'actuel officier exégète de la zone Centre et membre du conseil des notables (madjles el-Ayan) au sein de la chefferie du GSPC/AQMI, s'est rendu le 25 mai dernier aux services de sécurité, ont indiqué des sources sécuritaires, avait rapporté l'APS. «Les services de sécurité ont réussi le 25 mai 2010 à obtenir la reddition de l'actuel officier exégète de la zone centre, membre du conseil des notables au sein de la chefferie du GSPC/AQMI et chef de la commission légiste», a-t-on précisé. Il s'agit du terroriste Touati Athmane, alias Abou El-Abbès, originaire de Bordj Menaïl (Boumerdès), qui a rallié les groupes armés depuis 1993, a-t-on ajouté. «Cette reddition a été rendue possible grâce au concours de son épouse qui a réussi à convaincre son mari d'abandonner la horde criminelle et rentrer auprès des siens», a-t-on poursuivi. La même source a révélé qu' «au cours de la même journée, les services de sécurité ont enregistré le repentir du terroriste Grig-Ahsine Abdelhalim, dit Abdelkader, natif d'Alger, membre de la sarya d'Aïn El Hammam du GSPC/zone Centre», précisant qu'«il a rejoint les maquis terroristes en 1994 après s'être évadé de la prison de Tazoult/Batna». «Ainsi, en l'espace de deux mois, c'est un troisième pion, vecteur essentiel de l'échiquier de Droudkel qui lui fausse compagnie», a-t-on fait savoir. «En effet, Mansouri Ahmed, dit Abdeldjebbar, ex-émir de la phalange El-Farouk, s'est rendu en date du 16 avril 2010 avec armes et bagages et a communiqué de précieux renseignements sur ses ex-complices», a encore indiqué la même source. «Le 18 avril 2010, l'ex-chef de la commission médicale du GSPC/zone Centre, le nommé Mokadem Lounis, alias Abou Naâmane, au maquis depuis 1996, s'est rendu aux mêmes services de sécurité et a, comme son acolyte, spontanément communiqué de précieux renseignements sur sa phalange d'appartenance», a-t-on ajouté. La défection de ces quatre «vétérans» des groupes armés, considérés comme des tenants de la ligne radicale du GSPC/AQMI, reflète «l'état de délabrement et de débandade que vivent les hordes criminelles, situation plutôt proche du sauve-qui-peut», a expliqué la même source. Il faut dire également que l'armée a davantage resserré l'étau autour des terroristes en activité. Des efforts qui ont permis d'abattre au début du mois de mai dernier trois terroristes notoires au centre-ville de Draâ El-Mizan (Tizi-Ouzou), dont l'un n'est autre que le redoutable émir de la phalange de Takhoukht.