Aïn Benian connaît ces dernières semaines un important afflux de véhicules vers ses plages même si ces dernières manquent de plusieurs commodités pour assurer le bien-être des baigneurs. Le manque de sécurité sur les routes nuit également à la quiétude des estivants et des riverains. La RN11 reliant Alger-Aïn Benian, connaît en effet une absence flagrante de sécurité : aucun point de police ou barrage de sûreté ni de gendarmerie n'existe tour au long de cette route pourtant très fréquentée par les estivants qui affluents vers les plages situées tout le long de cette route nationale. Les habitants des agglomérations urbaines à proximité de cette route ne sont pas logées à meilleure enseigne et ne cessent de réclamer l'installation de ralentisseurs pour diminuer les accidents de la route qui sont pratiquement quotidien lors des saisons estivales. Il est à noter que les agglomérations urbaines qui se trouve aux abords de la route ne sont pas dotées de passerelles pour la protection des citoyens qui sont contraints de slalomer entres des véhicules lancés à toute vitesse. Devant cette situation, les habitants, n'ont qu'a relevé leur appel encore une autre fois aux services concernés pour intervenir et trouver des solutions fiables à leurs problèmes. Pas très loin de là un autre problème se pose aussi et cette fois à l'intérieur de la commune de Ain Beniane, au quartier 11-Décembre-1958, où le projet d'un marché couvert est en cours de réalisation, un projet qui semble beaucoup déranger les habitants. Cet établissement pourtant de grande utilité dans une agglomération urbaine aussi grande, suscite l'appréhension des familles qui redoutent certains aléas véhiculés en général par ce genre d'infrastructures : insalubrité, nuisances, le commerce informel qui s'y greffe inévitablement et bien d'autres maux encore. Il faut dire que l'APC face à la levée des boucliers des citoyens a décidé d'arrêter les travaux depuis maintenant plus d'un an. Les familles contestent également le fait que ce projet soit situé à proximité d'une école primaire. «Le rendement des élèves se trouve compromis au sein des écoles se trouvant à proximité de marchés», nous dira une mère de famille faisant partie des nombreux citoyens qui s'élèvent contre ce projet. Il est donc prévu le transfert de ce marché vers un autre site et reconvertir le chantier en cours en un projet d'utilité publique. Aïn Benian connaît ces dernières semaines un important afflux de véhicules vers ses plages même si ces dernières manquent de plusieurs commodités pour assurer le bien-être des baigneurs. Le manque de sécurité sur les routes nuit également à la quiétude des estivants et des riverains. La RN11 reliant Alger-Aïn Benian, connaît en effet une absence flagrante de sécurité : aucun point de police ou barrage de sûreté ni de gendarmerie n'existe tour au long de cette route pourtant très fréquentée par les estivants qui affluents vers les plages situées tout le long de cette route nationale. Les habitants des agglomérations urbaines à proximité de cette route ne sont pas logées à meilleure enseigne et ne cessent de réclamer l'installation de ralentisseurs pour diminuer les accidents de la route qui sont pratiquement quotidien lors des saisons estivales. Il est à noter que les agglomérations urbaines qui se trouve aux abords de la route ne sont pas dotées de passerelles pour la protection des citoyens qui sont contraints de slalomer entres des véhicules lancés à toute vitesse. Devant cette situation, les habitants, n'ont qu'a relevé leur appel encore une autre fois aux services concernés pour intervenir et trouver des solutions fiables à leurs problèmes. Pas très loin de là un autre problème se pose aussi et cette fois à l'intérieur de la commune de Ain Beniane, au quartier 11-Décembre-1958, où le projet d'un marché couvert est en cours de réalisation, un projet qui semble beaucoup déranger les habitants. Cet établissement pourtant de grande utilité dans une agglomération urbaine aussi grande, suscite l'appréhension des familles qui redoutent certains aléas véhiculés en général par ce genre d'infrastructures : insalubrité, nuisances, le commerce informel qui s'y greffe inévitablement et bien d'autres maux encore. Il faut dire que l'APC face à la levée des boucliers des citoyens a décidé d'arrêter les travaux depuis maintenant plus d'un an. Les familles contestent également le fait que ce projet soit situé à proximité d'une école primaire. «Le rendement des élèves se trouve compromis au sein des écoles se trouvant à proximité de marchés», nous dira une mère de famille faisant partie des nombreux citoyens qui s'élèvent contre ce projet. Il est donc prévu le transfert de ce marché vers un autre site et reconvertir le chantier en cours en un projet d'utilité publique.