De nombreux fonctionnaires du Trésor, parmi eux des caissiers mais également des responsables, ont été entendus par les éléments de la brigade financière de la police dans le cadre de l'enquête sur l'affaire des 40 millions en fausses coupures de 1.000 DA découvete la semaine passée. Une scabreuse affaire qui a intrigué l'opinion publique qui n'arrive pas à comprendre comment a-t-on pu glisser de faux billets au niveau des caisses du Trésor, institution super protégée contre la fraude eu égard aux équipements de détection de faux billets dont elle dispose. Selon des sources concordantes proches de l'enquête, la police est en train de suivre une piste sérieuse pouvant aboutir rapidement à confondre 3 suspects figurant sur la liste des personnes ayant versé de l'argent la veille où le pot au roses a été découvert. Deux parmi les suspects auraient des antécédents judiciaires liés à des contentieux d'argent avec de tierces personnes. Toutefois, la thèse d'une complicité interne aux services du Trésor n'est pas non plus à écarter, explique-t-on. Par ailleurs, cette étrange affaire a créé une véritable alerte au niveau de plusieurs établissements financiers sur la place annabie. Les banques, les agences CNEP, restent sur le qui-vive et passent au peigne fin toutes les rentrées d'argent. «C'est pour parer à toute tentative de tricherie», affirme un responsable de la BEA sur le Cours de la Révolution. De nombreux fonctionnaires du Trésor, parmi eux des caissiers mais également des responsables, ont été entendus par les éléments de la brigade financière de la police dans le cadre de l'enquête sur l'affaire des 40 millions en fausses coupures de 1.000 DA découvete la semaine passée. Une scabreuse affaire qui a intrigué l'opinion publique qui n'arrive pas à comprendre comment a-t-on pu glisser de faux billets au niveau des caisses du Trésor, institution super protégée contre la fraude eu égard aux équipements de détection de faux billets dont elle dispose. Selon des sources concordantes proches de l'enquête, la police est en train de suivre une piste sérieuse pouvant aboutir rapidement à confondre 3 suspects figurant sur la liste des personnes ayant versé de l'argent la veille où le pot au roses a été découvert. Deux parmi les suspects auraient des antécédents judiciaires liés à des contentieux d'argent avec de tierces personnes. Toutefois, la thèse d'une complicité interne aux services du Trésor n'est pas non plus à écarter, explique-t-on. Par ailleurs, cette étrange affaire a créé une véritable alerte au niveau de plusieurs établissements financiers sur la place annabie. Les banques, les agences CNEP, restent sur le qui-vive et passent au peigne fin toutes les rentrées d'argent. «C'est pour parer à toute tentative de tricherie», affirme un responsable de la BEA sur le Cours de la Révolution.