Disposant d'un parc immobilier de 17.177 logements et 580 locaux commerciaux en location, les services de l'OPGI sont confrontés à un manque à gagner sans précédent, puisque seuls 6.024 locataires s'acquittent régulièrement de leurs charges. Ce manque de civisme a engendré plus de 32 milliards de centimes de créances et un taux de recouvrement atteignant péniblement les 34% au grand dam des gestionnaires qui ont entrepris une vaste opération de réhabilitation de leur patrimoine immobilier, nécessitant une enveloppe de dix milliards de centimes, à savoir cinq milliards provenant de la taxe d'habitation et cinq miliards sur fonds propres. Dans ce contexte, après l'élaboration d'un état des lieux minutieux établi par les services techniques, des entreprises de travaux publics soumissionnaires ont été déployées pour entreprendre des travaux de réhabilitation et de confortement, en l'occurence réfection de l'étanchéité, des cages d'escaliers, des façades, des rampes et autres. Des dizaines de bâtiments ont été ciblés dans les cités Aïn-Defla, Gahdour, Mekhancha, Mouloud-Feraoun à Guelma et au niveau des communes de Belkheïr, Bouchegouf, Héliopolis, Oued-Zénati, Khezaras, Dahouara et Tamlouka. Cela démontre que les responsables de l'OPGI ne baissent pas les bras puisque leur souci majeur est de préserver leur parc immobilier et, par voie de conséquence, la sécurité et le bien-être des locataires et de leurs familles. En parrallèle, une vaste opération de sensibilisation est initiée par la direction générale de l'OPGI afin de convaincre les mauvais payeurs de se mettre à jour, sachant qu'un échéancier avantageux leur est proposé. Pour préserver la dignité des débiteurs qui appréhendent les harcèlements intempestifs des agents de recouvrement, des brigades mixtes composées de psychologues et sociologues, recrutés à bon escient par l'OPGI, sont sur le terrain pour entreprendre un dialogue et des négociations pour convaincre les mauvais payeurs. Il est à noter que les irréductibles ont été poursuivis en justice et 312 affaires sur 987 en contentieux ont été réglées à l'amiable. De toute évidence, les responsables de l'OPGI, qui ne cessent de faire appel au civisme par le biais de Radio Guelma, saisissent cette opportunité pour inviter les locataires concernés à se rapprocher de leurs services pour une solution personnalisée et souple de leurs dettes. H. B. Disposant d'un parc immobilier de 17.177 logements et 580 locaux commerciaux en location, les services de l'OPGI sont confrontés à un manque à gagner sans précédent, puisque seuls 6.024 locataires s'acquittent régulièrement de leurs charges. Ce manque de civisme a engendré plus de 32 milliards de centimes de créances et un taux de recouvrement atteignant péniblement les 34% au grand dam des gestionnaires qui ont entrepris une vaste opération de réhabilitation de leur patrimoine immobilier, nécessitant une enveloppe de dix milliards de centimes, à savoir cinq milliards provenant de la taxe d'habitation et cinq miliards sur fonds propres. Dans ce contexte, après l'élaboration d'un état des lieux minutieux établi par les services techniques, des entreprises de travaux publics soumissionnaires ont été déployées pour entreprendre des travaux de réhabilitation et de confortement, en l'occurence réfection de l'étanchéité, des cages d'escaliers, des façades, des rampes et autres. Des dizaines de bâtiments ont été ciblés dans les cités Aïn-Defla, Gahdour, Mekhancha, Mouloud-Feraoun à Guelma et au niveau des communes de Belkheïr, Bouchegouf, Héliopolis, Oued-Zénati, Khezaras, Dahouara et Tamlouka. Cela démontre que les responsables de l'OPGI ne baissent pas les bras puisque leur souci majeur est de préserver leur parc immobilier et, par voie de conséquence, la sécurité et le bien-être des locataires et de leurs familles. En parrallèle, une vaste opération de sensibilisation est initiée par la direction générale de l'OPGI afin de convaincre les mauvais payeurs de se mettre à jour, sachant qu'un échéancier avantageux leur est proposé. Pour préserver la dignité des débiteurs qui appréhendent les harcèlements intempestifs des agents de recouvrement, des brigades mixtes composées de psychologues et sociologues, recrutés à bon escient par l'OPGI, sont sur le terrain pour entreprendre un dialogue et des négociations pour convaincre les mauvais payeurs. Il est à noter que les irréductibles ont été poursuivis en justice et 312 affaires sur 987 en contentieux ont été réglées à l'amiable. De toute évidence, les responsables de l'OPGI, qui ne cessent de faire appel au civisme par le biais de Radio Guelma, saisissent cette opportunité pour inviter les locataires concernés à se rapprocher de leurs services pour une solution personnalisée et souple de leurs dettes. H. B.
