Dans l'intention de s'assurer que les mosquées puissent exercer les mêmes influences chez les fidèles, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah a affirmé qu'elles doivent être «gérées de manière uniformisée». Le ministre a expliqué, lors d'une cérémonie en l'honneur d'une promotion de récitants du Saint Coran sortie de l'école coranique "Abou Zeyd el Kaïraouani" de Rouiba, que l'une des conditions pour assurer l'uniformisation de la gestion des mosquées a trait à la nécessité d'uniformiser l'enseignement dispensé par les instituts islamiques repartis à travers le territoire national. Dans ce cadre, il a indiqué, rapporte l'APS, que les récitants du Saint Coran, même s'ils n'ont pas le niveau universitaire requis, peuvent rejoindre ces instituts islamiques dans le but de postuler à la fonction d'imam. Selon M. Ghlamallah, une période comprise entre six mois et une année leur sera consacrée dans le but d'apprendre les différentes techniques relatives à la gestion d'une mosquée. Il a souligné que la gestion des mosquées ne pourra être uniforme si la vision des uns et des autres diverge, ajoutant que l'uniformisation de la gestion des mosquées influe sur l'unité nationale. Tout en indiquant que l'islam en Algérie est "authentique", M. Ghlamallah a, par ailleurs, mis en garde contre "certaines tendances" qui préconisent le recours à des courants étrangers à la culture et à l'identité de l'Algérien. "Nous avons en Algérie des oulémas et des exégètes qui ont abordé divers domaines. C'est de ceux-là qu'ils vous faut vous inspirer", a-t-il lancé à l'adresse des étudiants de l'école coranique. Parlant des écoles coraniques, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs a affirmé que son département leur accordait l'importance qui se doit. Pour lui, le saint Coran a unifié les Algériens, 130 ans durant, en dépit de certaines différences d'ordres culturel et tribal, a-t-il tenu à rappeler. Par la suite, les récitants du Saint Coran ont été récompensés. Les meilleurs d'entre eux se verront totalement pris en charge lors de l'accomplissement de la Omra aux Lieux-Saints de l'Islam. I. A. Dans l'intention de s'assurer que les mosquées puissent exercer les mêmes influences chez les fidèles, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah a affirmé qu'elles doivent être «gérées de manière uniformisée». Le ministre a expliqué, lors d'une cérémonie en l'honneur d'une promotion de récitants du Saint Coran sortie de l'école coranique "Abou Zeyd el Kaïraouani" de Rouiba, que l'une des conditions pour assurer l'uniformisation de la gestion des mosquées a trait à la nécessité d'uniformiser l'enseignement dispensé par les instituts islamiques repartis à travers le territoire national. Dans ce cadre, il a indiqué, rapporte l'APS, que les récitants du Saint Coran, même s'ils n'ont pas le niveau universitaire requis, peuvent rejoindre ces instituts islamiques dans le but de postuler à la fonction d'imam. Selon M. Ghlamallah, une période comprise entre six mois et une année leur sera consacrée dans le but d'apprendre les différentes techniques relatives à la gestion d'une mosquée. Il a souligné que la gestion des mosquées ne pourra être uniforme si la vision des uns et des autres diverge, ajoutant que l'uniformisation de la gestion des mosquées influe sur l'unité nationale. Tout en indiquant que l'islam en Algérie est "authentique", M. Ghlamallah a, par ailleurs, mis en garde contre "certaines tendances" qui préconisent le recours à des courants étrangers à la culture et à l'identité de l'Algérien. "Nous avons en Algérie des oulémas et des exégètes qui ont abordé divers domaines. C'est de ceux-là qu'ils vous faut vous inspirer", a-t-il lancé à l'adresse des étudiants de l'école coranique. Parlant des écoles coraniques, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs a affirmé que son département leur accordait l'importance qui se doit. Pour lui, le saint Coran a unifié les Algériens, 130 ans durant, en dépit de certaines différences d'ordres culturel et tribal, a-t-il tenu à rappeler. Par la suite, les récitants du Saint Coran ont été récompensés. Les meilleurs d'entre eux se verront totalement pris en charge lors de l'accomplissement de la Omra aux Lieux-Saints de l'Islam. I. A.
