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Les autorités locales luttent contre l'informel
Réghaia, éradication du grand marché Senestal
Publié dans Le Midi Libre le 21 - 08 - 2010

En l'absence de projets viables et structurés les les vendeurs à la sauvette font fi des mises en garde et réoccupent, sitôt l'alerte passée, les trottoirs et chaussées. Il n'est pas une seule place dans la capitale qui soit épargnée par le phénomène du commerce informel qui recule parfois pour mieux se réinstaller.
En l'absence de projets viables et structurés les les vendeurs à la sauvette font fi des mises en garde et réoccupent, sitôt l'alerte passée, les trottoirs et chaussées. Il n'est pas une seule place dans la capitale qui soit épargnée par le phénomène du commerce informel qui recule parfois pour mieux se réinstaller.
Les communes algéroises intensifient leur lutte contre le commerce informel ayant atteint, en dépit des efforts consentis par la wilaya d'Alger, une ampleur inquiétante, notamment dans la banlieue algéroise et les communes de l'est de la capitale où l'informel a nuit gravement à l'image des villes et au tissu urbain en général.
Un marché-bidonville, nommé Senestal
La commune de Réghaïa à l'est de la capitale, qui connaît une grave émergence de ce phénomène, a mis fin à l'un des plus grands marchés informels de la région, en l'occurence le marché Senestal de Réghaïa qui abritait, jusque là, des centaines de commerçants. Un marché-bidonville qui nuisant grandement à l'esthétique de la ville de Réghaïa. Tous les espaces ont été il y quelques semaines seulement, investis par des commerçants illégaux.
Ce marché sévissait depuis des décennies devant l'incapacité des responsables locaux à y mettre fin face à l'engouement des citoyens pour cet espace réputé pour les prix très abordables qui y sont appliqués et la disponibilité de tous genres de marchandises. Installé à l'entrée même de la commune de Réghaïa le marché informel Senestal, pourtant informel, a fini par prendre le statut de marché communal même si dépourvu de toute commodité. Après son éradication les autorités locales s'attèlent, selon un responsable de la commune, à empêcher le retour des étals anarchiques en procédant au transfert des commerçants informels au sein des marchés de proximité et des espaces commerciaux ouvert à travers la commune. Il a été fait appel à l'intervention de la police urbaine afin de surveiller et interdire la réapparition de tout commerce informel. Il est à noter que l'éradication de ce genre de commerce entre dans le cadre d'une politique nationale et un dispositif législatif et réglementaire a été mis en place pour mettre fin à ce problème qui porte égalemnt une grave atteinte à l'économie nationale. Donc et devant le danger que les marchés parallèles représentent pour les commerçants qui s'acquittent de leurs impôts rubis sur l'ongle, les pouvoirs publics ont mis en place une solution de rechange : après lééradication de ces espaces commerciaux illicites les jeunes chômeurs sont orientés vers les programmes des "100 locaux commerciaux par commeune" qui, selon un responsable de la commune de Réghaïa, «très bien avancé sur le territoire de la commune».
Quid des 100 locaux...
Il est à noter que la Direction du commerce d'Alger (DCA), de son côté, active en collaboration avec les responsables locaux des communes algéroises afin de mettre fin à ce phénomène et ce en fermant plus de quatre vingt-deux (82) marchés informels à travers la capitale dans les communes, entre autres, de Mohammadia, Zéralda, El-Achour, Bouzaréah, Rouiba, Réghaïa, Bab El-Oued, El-Harrach, Hussein Dey, Gué-de-Constantine, Hraoua et Souidania.., elle a ouvert également au cours de ces quelques dernières années plus de cinquante-sept (57) marchés de proximité, couverts et espaces commerciaux réguliers et ce dans le but d'éliminer ces marchés tout en assurant du travail aux chômeurs et assurant des prestations de qualité aux citoyens. Il est à noter que dans le but d'éviter la réapparition des commerces anarchiques, les surfaces récupérées ont été transformées en espaces verts et aires de jeu.
C. K.
Les communes algéroises intensifient leur lutte contre le commerce informel ayant atteint, en dépit des efforts consentis par la wilaya d'Alger, une ampleur inquiétante, notamment dans la banlieue algéroise et les communes de l'est de la capitale où l'informel a nuit gravement à l'image des villes et au tissu urbain en général.
Un marché-bidonville, nommé Senestal
La commune de Réghaïa à l'est de la capitale, qui connaît une grave émergence de ce phénomène, a mis fin à l'un des plus grands marchés informels de la région, en l'occurence le marché Senestal de Réghaïa qui abritait, jusque là, des centaines de commerçants. Un marché-bidonville qui nuisant grandement à l'esthétique de la ville de Réghaïa. Tous les espaces ont été il y quelques semaines seulement, investis par des commerçants illégaux.
Ce marché sévissait depuis des décennies devant l'incapacité des responsables locaux à y mettre fin face à l'engouement des citoyens pour cet espace réputé pour les prix très abordables qui y sont appliqués et la disponibilité de tous genres de marchandises. Installé à l'entrée même de la commune de Réghaïa le marché informel Senestal, pourtant informel, a fini par prendre le statut de marché communal même si dépourvu de toute commodité. Après son éradication les autorités locales s'attèlent, selon un responsable de la commune, à empêcher le retour des étals anarchiques en procédant au transfert des commerçants informels au sein des marchés de proximité et des espaces commerciaux ouvert à travers la commune. Il a été fait appel à l'intervention de la police urbaine afin de surveiller et interdire la réapparition de tout commerce informel. Il est à noter que l'éradication de ce genre de commerce entre dans le cadre d'une politique nationale et un dispositif législatif et réglementaire a été mis en place pour mettre fin à ce problème qui porte égalemnt une grave atteinte à l'économie nationale. Donc et devant le danger que les marchés parallèles représentent pour les commerçants qui s'acquittent de leurs impôts rubis sur l'ongle, les pouvoirs publics ont mis en place une solution de rechange : après lééradication de ces espaces commerciaux illicites les jeunes chômeurs sont orientés vers les programmes des "100 locaux commerciaux par commeune" qui, selon un responsable de la commune de Réghaïa, «très bien avancé sur le territoire de la commune».
Quid des 100 locaux...
Il est à noter que la Direction du commerce d'Alger (DCA), de son côté, active en collaboration avec les responsables locaux des communes algéroises afin de mettre fin à ce phénomène et ce en fermant plus de quatre vingt-deux (82) marchés informels à travers la capitale dans les communes, entre autres, de Mohammadia, Zéralda, El-Achour, Bouzaréah, Rouiba, Réghaïa, Bab El-Oued, El-Harrach, Hussein Dey, Gué-de-Constantine, Hraoua et Souidania.., elle a ouvert également au cours de ces quelques dernières années plus de cinquante-sept (57) marchés de proximité, couverts et espaces commerciaux réguliers et ce dans le but d'éliminer ces marchés tout en assurant du travail aux chômeurs et assurant des prestations de qualité aux citoyens. Il est à noter que dans le but d'éviter la réapparition des commerces anarchiques, les surfaces récupérées ont été transformées en espaces verts et aires de jeu.
C. K.


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