En évoquant le mois de Ramadhan, on ne manque pas de l'associer aux bonnes actions, sous toutes leurs formes, ce qui est somme toute parfaitement logique. Mois de piété et d'entraide, dit-on... Mais aussi paradoxal que celui puisse paraître, en ce mois dédié à Dieu les vols et agressions se multiplient gravement. Hier encore une dame empruntant les escaliers menant de la rue Didouche-Mourad vers Télemly, s'est vu violemment dépouiller de sa chaîne en or, cela au vu et au su de tout le monde. L'adolescent auteur du méfait s'est ensuite volatilisé dans la nature. La dame encore sous le choc nous avoue qu'elle tenait beaucoup à ce bijou, qu'elle ne quittait, nous dit-elle, pratiquement jamais, non pour son prix, mais parce qu'il a une grande valeur sentimentale pour elle. Une autre dame, cette fois-ci juste à l'entrée de son immeuble, a dû se defendre, mercredi dernier, pour protéger son sac que tentait de lui arracher des mains un malfrat. Elle n'a dû son salut qu'au fait qu'elle était à proximité de son domicile, ses cris ayant alerté les voisins, ce qui a incité l'individu à fuir au plus vite. Les exemples de ce genre sont malheureusement légion et mieux vaut ne pas s'aventurer seul en des endroits isolés ou encore surpeuplés, lesquels sont hantés par ce genre de faune. À l'approche de l'Aïd El fitr, la vigilance est plus que jamais de mise, d'autant que les citoyens devant effectuer leurs achats sont contraints d'avoir sur eux des sommes conséquentes, les chèques n'étant toujours pas accepté par les commerçants. Bien de parents se sont vu dépouiller des économies de plusieurs mois au moment où ils s'apprêtaient à effectuer les achats de l'Aid pour leurs enfants. Et aucun recours dans ces cas là, il ne leur reste que leurs yeux pour pleurer. Ainsi le mois de Ramadhan est le mois de tous les excès autant positifs que négatifs, et il met à nu les petits travers et exacerbe autant les défauts que les qualités de l'être humain. En évoquant le mois de Ramadhan, on ne manque pas de l'associer aux bonnes actions, sous toutes leurs formes, ce qui est somme toute parfaitement logique. Mois de piété et d'entraide, dit-on... Mais aussi paradoxal que celui puisse paraître, en ce mois dédié à Dieu les vols et agressions se multiplient gravement. Hier encore une dame empruntant les escaliers menant de la rue Didouche-Mourad vers Télemly, s'est vu violemment dépouiller de sa chaîne en or, cela au vu et au su de tout le monde. L'adolescent auteur du méfait s'est ensuite volatilisé dans la nature. La dame encore sous le choc nous avoue qu'elle tenait beaucoup à ce bijou, qu'elle ne quittait, nous dit-elle, pratiquement jamais, non pour son prix, mais parce qu'il a une grande valeur sentimentale pour elle. Une autre dame, cette fois-ci juste à l'entrée de son immeuble, a dû se defendre, mercredi dernier, pour protéger son sac que tentait de lui arracher des mains un malfrat. Elle n'a dû son salut qu'au fait qu'elle était à proximité de son domicile, ses cris ayant alerté les voisins, ce qui a incité l'individu à fuir au plus vite. Les exemples de ce genre sont malheureusement légion et mieux vaut ne pas s'aventurer seul en des endroits isolés ou encore surpeuplés, lesquels sont hantés par ce genre de faune. À l'approche de l'Aïd El fitr, la vigilance est plus que jamais de mise, d'autant que les citoyens devant effectuer leurs achats sont contraints d'avoir sur eux des sommes conséquentes, les chèques n'étant toujours pas accepté par les commerçants. Bien de parents se sont vu dépouiller des économies de plusieurs mois au moment où ils s'apprêtaient à effectuer les achats de l'Aid pour leurs enfants. Et aucun recours dans ces cas là, il ne leur reste que leurs yeux pour pleurer. Ainsi le mois de Ramadhan est le mois de tous les excès autant positifs que négatifs, et il met à nu les petits travers et exacerbe autant les défauts que les qualités de l'être humain.