Les citoyens qui ont eu, ces derniers jours, à se déplacer au service d'état civil d'El Biar ont été désagréablement surpris par l'anarchie y régnant. En effet un nombre impressionnant de citoyens s'agglutine devant l'entrée du siège de l'APC avant même son ouverture. Hier déjà à 7h du matin des dizaines de citoyens étaient massés sur les marches du siège de l'APC mais inutile d'être là aux aurores puisqu'à l'ouverture des portes c'est les plus forts et les plus rapides qui ont eu droit aux premiers tickets distribués... par l'agent de sécurité. Qu'importe si pour être parmi les premiers on doit pour cela piétiner personnes âgées ou malades, toute civilité est mise entre parenthèse pour pouvoir accéder aux guichets et se faire délivrer son précieux document. Une pagaille sans nom régnait sur les lieux, le hall de l'état civil pourtant assez grand s'est remplit rapidement et ceux qui n'ont pas eu l'heur d'y accéder restent sur les marches extérieures. Le temps passe lentement, trop lentement au gré des personnes parqués sur les marches, mais leur calvaire est loin d'être fini puisqu'un agent de sécurité s'adressant à eux leur dira de se déplacer pour laisser la femme de ménage faire son travail. Un vieux monsieur, refusant d'obtempérer, se verra traiter de tous les noms avant de se voir carrément déverser, par l'irascible agent, sur les pieds le seau d'eau de la malheureuse femme de ménage qui aurait certainement préféré être ailleurs. Après ce geste malheureux le vieux monsieur outré et touché dans son amour-propre en viendra presque aux mains avec son agresseur, les citoyens, comme de juste, prendront faits et cause pour leur compagnon de malheur. S'ensuivra une scène de chaos où invectives, insultes pleuvaient de partout. Les plus timorés ont préféré fuir cette foire d'empoigne en faisant l'impasse sur les documents et avec le fol espoir que ce genre de scènes, malheureusement régulières, fassent réagir les autorités compétentes et qu'ils interviennent pour la réorganisation de ce service qui va en eau de boudin. Les citoyens qui ont eu, ces derniers jours, à se déplacer au service d'état civil d'El Biar ont été désagréablement surpris par l'anarchie y régnant. En effet un nombre impressionnant de citoyens s'agglutine devant l'entrée du siège de l'APC avant même son ouverture. Hier déjà à 7h du matin des dizaines de citoyens étaient massés sur les marches du siège de l'APC mais inutile d'être là aux aurores puisqu'à l'ouverture des portes c'est les plus forts et les plus rapides qui ont eu droit aux premiers tickets distribués... par l'agent de sécurité. Qu'importe si pour être parmi les premiers on doit pour cela piétiner personnes âgées ou malades, toute civilité est mise entre parenthèse pour pouvoir accéder aux guichets et se faire délivrer son précieux document. Une pagaille sans nom régnait sur les lieux, le hall de l'état civil pourtant assez grand s'est remplit rapidement et ceux qui n'ont pas eu l'heur d'y accéder restent sur les marches extérieures. Le temps passe lentement, trop lentement au gré des personnes parqués sur les marches, mais leur calvaire est loin d'être fini puisqu'un agent de sécurité s'adressant à eux leur dira de se déplacer pour laisser la femme de ménage faire son travail. Un vieux monsieur, refusant d'obtempérer, se verra traiter de tous les noms avant de se voir carrément déverser, par l'irascible agent, sur les pieds le seau d'eau de la malheureuse femme de ménage qui aurait certainement préféré être ailleurs. Après ce geste malheureux le vieux monsieur outré et touché dans son amour-propre en viendra presque aux mains avec son agresseur, les citoyens, comme de juste, prendront faits et cause pour leur compagnon de malheur. S'ensuivra une scène de chaos où invectives, insultes pleuvaient de partout. Les plus timorés ont préféré fuir cette foire d'empoigne en faisant l'impasse sur les documents et avec le fol espoir que ce genre de scènes, malheureusement régulières, fassent réagir les autorités compétentes et qu'ils interviennent pour la réorganisation de ce service qui va en eau de boudin.
