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L'impératif accroissement de la production de l'électricité
Vers la création d'un fonds spécial pour les énergies renouvelables
Publié dans Le Midi Libre le 30 - 08 - 2010

L'objectif essentiel consiste à accentuer la production électrique en Algérie en développant l'utilisation de l'énergie solaire dont le pays tire plus de 5 % de son énergie électrique de cette source d'énergie propre et inépuisable.
L'objectif essentiel consiste à accentuer la production électrique en Algérie en développant l'utilisation de l'énergie solaire dont le pays tire plus de 5 % de son énergie électrique de cette source d'énergie propre et inépuisable.
Entrant dans le cadre de la réalisation du plan quinquennal 2010-2014, les pouvoirs publics ont décidé de procéder à la création d'un fonds spécial destiné à préparer la période d'après- pétrole.
Il s'agit, en fait, de garantir l'augmentation de la production d'électricité pour promouvoir les énergies renouvelables sachant que le sud de l'Algérie dispose de plus de 3000 heures d'ensoleillement par an.
Ainsi, l'objectif essentiel consiste à accentuer la production électrique en Algérie en développant l'utilisation de l'énergie solaire dont le pays tire plus de 5 % de son énergie électrique de cette source d'énergie propre et inépuisable.
La société nationale d'électricité et du gaz, Sonelgaz, se chargera de construire trente centrales électriques qui seront, en principe, opérationnelles dès l'année 2012, et ce dans l'optique de mettre un terme au délestage et aux coupures du courant électrique qui mettent dans l'obscurité des milliers de familles dans plusieurs régions du pays.
Les responsables de Sonelgaz envisagent de suivre cette démarche afin de prévenir et limiter les pannes d'électricité et permettre aux nombreux foyers de se pourvoir en énergie électrique.
La modernisation des installations électriques nationales permettent notamment d'augmenter les capacités installées en électricité de l'ordre de près de 2500 mégawatts durant les trois prochaines années. Cela devra it résoudre le problème des coupures récurrentes de courant et éviter, ainsi, des désagréments et des risques domestiques résultant des opérations de délestage.
Alors qu'elle était estimée à 2543 mégawatts il y a deux années, la capacité installée d'électricité pouvait atteindre le volume de production de plus de 12 770 mégawatts en 2012.
L'Algérie, qui exporte des quantités appréciables d'électricité vers la Tunisie, pourrait optimiserdavantage ses exportations dans le cas où le développement des énergies renouvelables se matérialise plus rapidement. La coopé ration avec les firmes allemandes spécialisées dans les énergies renouvelables et le transfert de technologies des entreprises germaniques sont susceptibles de promouvoir, sans retard l'énergie solaire en Algérie.
Sachant que la production électrique sera en augmentation durant les trois prochaines années, pas moins de quinze centrales électriques seront en fonctionnement d'ici la fin de l'année en cours tout en accroissant la production de l'électricité de l'ordre de plus de 1720 mégawatts.
Au cours des deux prochaines années, treize autres centrales électriques assureront la production en élevant le niveau de génération électrique de l'ordre de plus de 2540 mégawatts. Malgré le taux appréciable d'électrification en Algérie qui atteint 98 %, beaucoup reste donc à faire concernant l'arrêt du délestage qui parait, aujourd'hui inévitable.
Entrant dans le cadre de la réalisation du plan quinquennal 2010-2014, les pouvoirs publics ont décidé de procéder à la création d'un fonds spécial destiné à préparer la période d'après- pétrole.
Il s'agit, en fait, de garantir l'augmentation de la production d'électricité pour promouvoir les énergies renouvelables sachant que le sud de l'Algérie dispose de plus de 3000 heures d'ensoleillement par an.
Ainsi, l'objectif essentiel consiste à accentuer la production électrique en Algérie en développant l'utilisation de l'énergie solaire dont le pays tire plus de 5 % de son énergie électrique de cette source d'énergie propre et inépuisable.
La société nationale d'électricité et du gaz, Sonelgaz, se chargera de construire trente centrales électriques qui seront, en principe, opérationnelles dès l'année 2012, et ce dans l'optique de mettre un terme au délestage et aux coupures du courant électrique qui mettent dans l'obscurité des milliers de familles dans plusieurs régions du pays.
Les responsables de Sonelgaz envisagent de suivre cette démarche afin de prévenir et limiter les pannes d'électricité et permettre aux nombreux foyers de se pourvoir en énergie électrique.
La modernisation des installations électriques nationales permettent notamment d'augmenter les capacités installées en électricité de l'ordre de près de 2500 mégawatts durant les trois prochaines années. Cela devra it résoudre le problème des coupures récurrentes de courant et éviter, ainsi, des désagréments et des risques domestiques résultant des opérations de délestage.
Alors qu'elle était estimée à 2543 mégawatts il y a deux années, la capacité installée d'électricité pouvait atteindre le volume de production de plus de 12 770 mégawatts en 2012.
L'Algérie, qui exporte des quantités appréciables d'électricité vers la Tunisie, pourrait optimiserdavantage ses exportations dans le cas où le développement des énergies renouvelables se matérialise plus rapidement. La coopé ration avec les firmes allemandes spécialisées dans les énergies renouvelables et le transfert de technologies des entreprises germaniques sont susceptibles de promouvoir, sans retard l'énergie solaire en Algérie.
Sachant que la production électrique sera en augmentation durant les trois prochaines années, pas moins de quinze centrales électriques seront en fonctionnement d'ici la fin de l'année en cours tout en accroissant la production de l'électricité de l'ordre de plus de 1720 mégawatts.
Au cours des deux prochaines années, treize autres centrales électriques assureront la production en élevant le niveau de génération électrique de l'ordre de plus de 2540 mégawatts. Malgré le taux appréciable d'électrification en Algérie qui atteint 98 %, beaucoup reste donc à faire concernant l'arrêt du délestage qui parait, aujourd'hui inévitable.


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