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Ça sent déjà la fête !
Les boutiques de vêtements prises d'assaut
Publié dans Le Midi Libre le 31 - 08 - 2010

Coïncidant avec la rentrée scolaire, l'Aïd 2010 est placé sous le signe des dépenses. Les commerçants sont ainsi à la fête bien avant l'heure en voyant leurs recettes quotidiennes littéralement exploser.
Coïncidant avec la rentrée scolaire, l'Aïd 2010 est placé sous le signe des dépenses. Les commerçants sont ainsi à la fête bien avant l'heure en voyant leurs recettes quotidiennes littéralement exploser.
A l'approche de l'Aïd el-fitr qui arrivera dans une dizaine de jours, les magasins de la capitale restent ouverts jusqu'à des heures tardives en ce Ramadan et l'ambiance de la fête commence à se se faire sentir déjà. Des couples accompagnées de leurs enfants, depuis quelques jours déjà, prennent d'assaut pour faire leurs emplettes en cette occasion sacrée de l'Aïd.
Coïncidant avec la rentrée scolaire, l'Aïd de cette année ne sera pas comme les précédents puisque les dépenses augmentent et les prix aussi. Tout est plus cher en cette période, les commerçants étant persuadés que les parents n'ont d'autre choix que d'acheter, même à des prix élevés, n'ayant pas vraiment le choix. Ainsi la cherté de la vie et la flambée des prix de ces derniers jours est durement ressentie par les petites bourses et les familles démunies aussi, celles qui restent les plus touchées par ce phénomène de la hausse des prix à l'approche de chaque occasion un tant soit peu spéciale.
Un quotidien géré par des dépenses non stop
Au crépuscule d'un été brûlant, les familles se plaignent de dépenses très lourdes à assumer pour faire face aux dépenses d'un mois autant béni que ruineux et où les caprices culinaires gèrent seules le quotidien. des algérois et aujourd'hui encore quelques joues seulement les séparent de la fête de l'Aïd et de ses inévitables dépense.
A une dizaine de jours de l'Aïd, certains parents vont encore s'endetter pour permettre à leur progéniture de passer la fête, vêtus de nouveaux vêtements achetés aux prix de sacrifices. Cette année des milliers d'Algérois démunis n'auront plus le recours à la fripe, une décision d'interdire ce genre de commerce a été adoptée cette année. La course contre la montre a donc commencé pour pouvoir tout acheter et éviter les deux derniers jours du mois sacré où les prix flambent encore plus, « il vaut mieux acheter ces jours-ci et même avant pour éviter la flambée subite des prix au derniers jours du mois sacré», nous explique-t-on. D'autre part aussi, la course aux achats s'explique, selon certaines familles algéroises, par l'éventail du choix qui se réduit au fur et à mesure que la fête se rapproche, autrement dit, les premiers arrivés sont les premiers servis puisque les meilleurs produits et même les moins chers seront pris. Il est à noter que les grands espaces commerciaux de la capitale ne sont pas les seuls endroits envahis par les familles ces jours-ci, mais aussi les grands marchés anarchiques de la capitale aussi. El Djorf à Bab Ezzouar, Bachdjarrah, marché Tnach à Belcourt, D15 à El Harrach, le marché de Boumâati et pleins d'autres attirent, ces jours-ci, des milliers d'Algérois à la recherche des meilleurs prix des vêtements, mais aussi des affaires scolaires notamment les tabliers scolaires. Aussi toutes les boutiques spécialisées dans l'article pour enfant ou pour bébé au centre de la capitale dans les communes d'Alger-Centre, Hydra et El Biar sont de leur côté, prises d'assaut avant et après la rupture du jeûne. Un monde fou dans tous ces magasins surpeuplés même de parents et d'enfants qui choisissent eux-mêmes leurs habits, leurs affaires scolaires et même leurs jouets, attirés pas les multiples couleurs qui décorent les vitrines et aussi par les photos des petits mannequins, installés à l'entrée de chaque magasin, ce qui attire davantage les petits Algérois qui ne manquent pas d'être attirés par tout ce qui est tendance. Pour les parents, il va falloir racler les fonds de tiroirs pour satisfaire les envies des enfants, les prix affichés n'étant sûrement pas à la portée de toutes les bourses. Entre les produits locaux et ceux étrangers ou ceux «made in», les prix restent très élevés.
Le "Made in..." hors de portée des petites bourses
Des chaussures pour un enfant de trois ans sont cédé à 2 mille dinars au moins, ceux importés d'Italie atteignent jusqu'à 4 mille dinars.
Les prix ne sont pas moins chers pour ce qui concerne l'habillement puisqu'il est difficile, pour ne pas dire impossible de trouver un ensemble pour enfants à moins de 4 mille dinars. Les produits locaux sont plus ou moins abordables. Les parents, pour faire plaisir à leurs enfants, ne manquent pas de faire un tour dans les magasins de jouets. Puisque l'Aïd est placé sous le signe du contentement des chers petits qui s'attendent à être inondés de petits cadeaux le jour de l'Aïd pour que leur joie soit totale. Il est à noter à cet effet que nombreux sont ces jeunes, qui profitant de cette aubaine, se sont reconvertis, ces derniers temps, en vendeurs de jouets (bon marché) sur les trottoirs de la capitale au grand bonheur des petites bourses.
A l'approche de l'Aïd el-fitr qui arrivera dans une dizaine de jours, les magasins de la capitale restent ouverts jusqu'à des heures tardives en ce Ramadan et l'ambiance de la fête commence à se se faire sentir déjà. Des couples accompagnées de leurs enfants, depuis quelques jours déjà, prennent d'assaut pour faire leurs emplettes en cette occasion sacrée de l'Aïd.
Coïncidant avec la rentrée scolaire, l'Aïd de cette année ne sera pas comme les précédents puisque les dépenses augmentent et les prix aussi. Tout est plus cher en cette période, les commerçants étant persuadés que les parents n'ont d'autre choix que d'acheter, même à des prix élevés, n'ayant pas vraiment le choix. Ainsi la cherté de la vie et la flambée des prix de ces derniers jours est durement ressentie par les petites bourses et les familles démunies aussi, celles qui restent les plus touchées par ce phénomène de la hausse des prix à l'approche de chaque occasion un tant soit peu spéciale.
Un quotidien géré par des dépenses non stop
Au crépuscule d'un été brûlant, les familles se plaignent de dépenses très lourdes à assumer pour faire face aux dépenses d'un mois autant béni que ruineux et où les caprices culinaires gèrent seules le quotidien. des algérois et aujourd'hui encore quelques joues seulement les séparent de la fête de l'Aïd et de ses inévitables dépense.
A une dizaine de jours de l'Aïd, certains parents vont encore s'endetter pour permettre à leur progéniture de passer la fête, vêtus de nouveaux vêtements achetés aux prix de sacrifices. Cette année des milliers d'Algérois démunis n'auront plus le recours à la fripe, une décision d'interdire ce genre de commerce a été adoptée cette année. La course contre la montre a donc commencé pour pouvoir tout acheter et éviter les deux derniers jours du mois sacré où les prix flambent encore plus, « il vaut mieux acheter ces jours-ci et même avant pour éviter la flambée subite des prix au derniers jours du mois sacré», nous explique-t-on. D'autre part aussi, la course aux achats s'explique, selon certaines familles algéroises, par l'éventail du choix qui se réduit au fur et à mesure que la fête se rapproche, autrement dit, les premiers arrivés sont les premiers servis puisque les meilleurs produits et même les moins chers seront pris. Il est à noter que les grands espaces commerciaux de la capitale ne sont pas les seuls endroits envahis par les familles ces jours-ci, mais aussi les grands marchés anarchiques de la capitale aussi. El Djorf à Bab Ezzouar, Bachdjarrah, marché Tnach à Belcourt, D15 à El Harrach, le marché de Boumâati et pleins d'autres attirent, ces jours-ci, des milliers d'Algérois à la recherche des meilleurs prix des vêtements, mais aussi des affaires scolaires notamment les tabliers scolaires. Aussi toutes les boutiques spécialisées dans l'article pour enfant ou pour bébé au centre de la capitale dans les communes d'Alger-Centre, Hydra et El Biar sont de leur côté, prises d'assaut avant et après la rupture du jeûne. Un monde fou dans tous ces magasins surpeuplés même de parents et d'enfants qui choisissent eux-mêmes leurs habits, leurs affaires scolaires et même leurs jouets, attirés pas les multiples couleurs qui décorent les vitrines et aussi par les photos des petits mannequins, installés à l'entrée de chaque magasin, ce qui attire davantage les petits Algérois qui ne manquent pas d'être attirés par tout ce qui est tendance. Pour les parents, il va falloir racler les fonds de tiroirs pour satisfaire les envies des enfants, les prix affichés n'étant sûrement pas à la portée de toutes les bourses. Entre les produits locaux et ceux étrangers ou ceux «made in», les prix restent très élevés.
Le "Made in..." hors de portée des petites bourses
Des chaussures pour un enfant de trois ans sont cédé à 2 mille dinars au moins, ceux importés d'Italie atteignent jusqu'à 4 mille dinars.
Les prix ne sont pas moins chers pour ce qui concerne l'habillement puisqu'il est difficile, pour ne pas dire impossible de trouver un ensemble pour enfants à moins de 4 mille dinars. Les produits locaux sont plus ou moins abordables. Les parents, pour faire plaisir à leurs enfants, ne manquent pas de faire un tour dans les magasins de jouets. Puisque l'Aïd est placé sous le signe du contentement des chers petits qui s'attendent à être inondés de petits cadeaux le jour de l'Aïd pour que leur joie soit totale. Il est à noter à cet effet que nombreux sont ces jeunes, qui profitant de cette aubaine, se sont reconvertis, ces derniers temps, en vendeurs de jouets (bon marché) sur les trottoirs de la capitale au grand bonheur des petites bourses.


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