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Sécurité et immigration clandestine au cœur des débats
Fin du sommet de concertation du groupe du 5+5 à tripoli
Publié dans Le Midi Libre le 04 - 09 - 2010

Une délégation algérienne conduite par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia a participé, jeudi, au sommet de concertation du groupe du 5+5 qui s'est ouvert mercredi soir à Tripoli (Libye) sous la présidence du Guide de la Révolution libyenne, le colonel Mâammar El Gueddafi. Les travaux de ce sommet se sont déroulés à huis clos. A l'issue de ses travaux, le groupe du 5+5 a souligné l'importance de dynamiser le dialogue entre leurs pays qu'unissent une histoire et des civilisations communes ainsi que des aspirations pour la réalisation de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans la région ouest-méditerranéenne. Ils réaffirment et considère cette région comme un cadre régional de coopération et de concertation dans l'intérêt de leurs peuples respectifs et insistent sur l'important rôle joué par ce cadre pour l'instauration d'un véritable partenariat entre l'Afrique et l'Union européenne pour la généralisation des avantages communs, issus de ce dialogue, à tous les peuples des deux continents. Les pays membres du groupe 5+5 expriment leur volonté commune de dynamiser ce dialogue à travers la réaffirmation de la tenue du deuxième sommet des pays engagés dans ce dialogue au début de l'année 2011 dans la République de Malte et leur désir de faire réussir cette rencontre. Le sommet de concertation du groupe 5+5 exprime son souhait de voir examiner lors du prochain sommet le projet de création d' un secrétariat permanent du dialogue 5+5. Il se dit favorable à la création d'un mécanisme pour la préservation de l'environnement au niveau de la Méditerranée, tout comme inscrire dans son agenda l'examen de la proposition de la Grande Jamahiriya consistant à lui accorder une aide pour lui permettre de faire face à la migration clandestine. L'élargissement du groupe pour qu'il englobe la Grèce et l'Egypte, en tant que dernière opération d'élargissement du groupe est aussi dans l'ordre du jour. Il propose la tenue du prochain sommet dans la République de Malte et recommande la périodicité des sommets. Enfin les pays membres du sommet expriment leur satisfaction pour la tenue de cette rencontre et leur engagement de renforcer le dialogue "5+5", conformément à l'esprit des déclarations de Rome en 1990, d'Alger, en 1991, de Lisbonne, en 2001 et de Tunis en 2003. D'autre part, dans une déclaration à la presse à l'issue de cette réunion, le ministre libyen des Affaires étrangères, Moussa Koussa a indiqué que les pays membres du groupe ont convenu de développer davantage ce cadre de concertation et de mettre en place des mécanismes de coopération à même de servir les intérêts des peuples des pays membres, assurant que les participants ont eu à se concerter sur plusieurs questions, notamment, la pollution dans la Méditerranée et l'immigration clandestine, ajoutant que les pays membres ont décidé de tenir la prochaine réunion au sommet du groupe à Malte.
Ce sommet du groupe 5+5 a été organisé à l'initiative de la Libye qui assure la présidence de l'Union du Maghreb arabe (Uma), sachant que le groupe du 5+5 n'a tenu qu'une seule réunion au sommet, à savoir celle tenue en 2003 en Tunisie.
Lancé en 1990, le groupe du 5+5 tient, depuis 2001, régulièrement des réunions, essentiellement à un niveau ministériel, et différents secteurs sont sujets de concertation entre les pays membres, notamment ceux de l'environnement, la défense, l'éducation et le transport. Le groupe du 5+5 comprend les cinq pays de l'Union du Maghreb arabe (Uma), à savoir l'Algérie, la Libye, le Maroc, la Tunisie et la Mauritanie, et cinq pays européens de la rive nord de la Méditerranée, la France, l'Espagne, l'Italie, le Portugal et Malte.
Une délégation algérienne conduite par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia a participé, jeudi, au sommet de concertation du groupe du 5+5 qui s'est ouvert mercredi soir à Tripoli (Libye) sous la présidence du Guide de la Révolution libyenne, le colonel Mâammar El Gueddafi. Les travaux de ce sommet se sont déroulés à huis clos. A l'issue de ses travaux, le groupe du 5+5 a souligné l'importance de dynamiser le dialogue entre leurs pays qu'unissent une histoire et des civilisations communes ainsi que des aspirations pour la réalisation de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans la région ouest-méditerranéenne. Ils réaffirment et considère cette région comme un cadre régional de coopération et de concertation dans l'intérêt de leurs peuples respectifs et insistent sur l'important rôle joué par ce cadre pour l'instauration d'un véritable partenariat entre l'Afrique et l'Union européenne pour la généralisation des avantages communs, issus de ce dialogue, à tous les peuples des deux continents. Les pays membres du groupe 5+5 expriment leur volonté commune de dynamiser ce dialogue à travers la réaffirmation de la tenue du deuxième sommet des pays engagés dans ce dialogue au début de l'année 2011 dans la République de Malte et leur désir de faire réussir cette rencontre. Le sommet de concertation du groupe 5+5 exprime son souhait de voir examiner lors du prochain sommet le projet de création d' un secrétariat permanent du dialogue 5+5. Il se dit favorable à la création d'un mécanisme pour la préservation de l'environnement au niveau de la Méditerranée, tout comme inscrire dans son agenda l'examen de la proposition de la Grande Jamahiriya consistant à lui accorder une aide pour lui permettre de faire face à la migration clandestine. L'élargissement du groupe pour qu'il englobe la Grèce et l'Egypte, en tant que dernière opération d'élargissement du groupe est aussi dans l'ordre du jour. Il propose la tenue du prochain sommet dans la République de Malte et recommande la périodicité des sommets. Enfin les pays membres du sommet expriment leur satisfaction pour la tenue de cette rencontre et leur engagement de renforcer le dialogue "5+5", conformément à l'esprit des déclarations de Rome en 1990, d'Alger, en 1991, de Lisbonne, en 2001 et de Tunis en 2003. D'autre part, dans une déclaration à la presse à l'issue de cette réunion, le ministre libyen des Affaires étrangères, Moussa Koussa a indiqué que les pays membres du groupe ont convenu de développer davantage ce cadre de concertation et de mettre en place des mécanismes de coopération à même de servir les intérêts des peuples des pays membres, assurant que les participants ont eu à se concerter sur plusieurs questions, notamment, la pollution dans la Méditerranée et l'immigration clandestine, ajoutant que les pays membres ont décidé de tenir la prochaine réunion au sommet du groupe à Malte.
Ce sommet du groupe 5+5 a été organisé à l'initiative de la Libye qui assure la présidence de l'Union du Maghreb arabe (Uma), sachant que le groupe du 5+5 n'a tenu qu'une seule réunion au sommet, à savoir celle tenue en 2003 en Tunisie.
Lancé en 1990, le groupe du 5+5 tient, depuis 2001, régulièrement des réunions, essentiellement à un niveau ministériel, et différents secteurs sont sujets de concertation entre les pays membres, notamment ceux de l'environnement, la défense, l'éducation et le transport. Le groupe du 5+5 comprend les cinq pays de l'Union du Maghreb arabe (Uma), à savoir l'Algérie, la Libye, le Maroc, la Tunisie et la Mauritanie, et cinq pays européens de la rive nord de la Méditerranée, la France, l'Espagne, l'Italie, le Portugal et Malte.


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