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Des centaines de harragas détenus en Grèce
Halim Benatallah impute cette situation au laxisme des autorités turques
Publié dans Le Midi Libre le 20 - 09 - 2010

Halim Benattalah a affirmé que l'ambassade d'Algérie en Grèce va être instruite pour vérifier auprès des autorités grecques si effectivement des centaines d'Algériens entrés clandestinement dans ce pays sont en détention. Si les faits sont confirmés, l'Etat prendra les dispositions nécessaires.
Halim Benattalah a affirmé que l'ambassade d'Algérie en Grèce va être instruite pour vérifier auprès des autorités grecques si effectivement des centaines d'Algériens entrés clandestinement dans ce pays sont en détention. Si les faits sont confirmés, l'Etat prendra les dispositions nécessaires.
Le secrétaire d'Etat auprès du ministère des Affaires étrangères, chargé de la Communauté nationale à l'étranger, approché par le Midi Libre au sujet des clandestins algériens détenus en Grèce, et dont le nombre dépasserait les neuf cents (900), a déclaré tout ignorer de cette histoire. Rencontré samedi soir au Théâtre national algérien (TNA) en marge de la première mondiale du spectacle de Nya, Halim Benattalah a affirmé que l'ambassade d'Algérie en Grèce va être instruite pour vérifier auprès des autorités grecques si effectivement des centaines d'Algériens entrés clandestinement dans ce pays sont en détention.
Si les faits sont confirmés, a-t-il déclaré, l'Etat prendra les dispositions nécessaires. « Nous allons demander à notre ambassade de vérifier avec les autorités grecques. Si cela venait à se confirmer, nous prendrons les mesures nécessaires pour pallier ce problème ».
il faut savoir que de nombreux jeunes Algériens qui se rendent légalement en Turquie choisissent la Grèce comme voie de passage pour se rendre clandestinement dans les pays de l'Union européenne. Il dira que « ces –haraggas- choisissent de se rendre en Turquie dans l'espoir d'accéder, par la suite, aux pays de l'UE ». Le phénomène, qui prend de plus en plus d'ampleur, est loin d'être aisé à traiter, mais il n'est pas méconnu, a-t-il affirmé.
Le secrétaire d'Etat auprès du ministère des Affaires étrangères, chargé de la communauté nationale à l'étranger laisse entendre que les autorités turques sont, quelque peu, complices puisqu'ils expulsent ces jeunes, en situation irrégulière de leur territoire vers la Grèce.
« On a connaissance de cet état de fait, ce phénomène existe bel et bien », a-t-il reconnu, avant d'ajouter qu'« il existe, du côté turc une filière qui organise tous ces débarquements clandestins ». Il faut reconnaître, par ailleurs, la responsabilité des autorités turques dans l'affaire, a-t-il fait entendre. « Quelque part, il est clair que les Turcs ont leur part de responsabilité. Ils y a une forme de laxisme du côté des autorités turques », a-t-il expliqué.
Pour rappel, il y aurait plus de neuf cents clandestins algériens dans les prisons grecques sur un total avoisinant les cinq mille personnes vivant en situation irrégulière sur le territoire grec.
L'information est relayée par plusieurs médias, entre autres étrangers. Elle a été donnée en fin de semaine dernière, mais reste encore non confirmée. Ces mêmes médias citent une étude qui a été financée par l'Union européenne et conduite par un nombre important de chercheurs universitaires issus de plusieurs nationalités, notamment algérienne, espagnole, française et italienne.
Le secrétaire d'Etat auprès du ministère des Affaires étrangères, chargé de la Communauté nationale à l'étranger, approché par le Midi Libre au sujet des clandestins algériens détenus en Grèce, et dont le nombre dépasserait les neuf cents (900), a déclaré tout ignorer de cette histoire. Rencontré samedi soir au Théâtre national algérien (TNA) en marge de la première mondiale du spectacle de Nya, Halim Benattalah a affirmé que l'ambassade d'Algérie en Grèce va être instruite pour vérifier auprès des autorités grecques si effectivement des centaines d'Algériens entrés clandestinement dans ce pays sont en détention.
Si les faits sont confirmés, a-t-il déclaré, l'Etat prendra les dispositions nécessaires. « Nous allons demander à notre ambassade de vérifier avec les autorités grecques. Si cela venait à se confirmer, nous prendrons les mesures nécessaires pour pallier ce problème ».
il faut savoir que de nombreux jeunes Algériens qui se rendent légalement en Turquie choisissent la Grèce comme voie de passage pour se rendre clandestinement dans les pays de l'Union européenne. Il dira que « ces –haraggas- choisissent de se rendre en Turquie dans l'espoir d'accéder, par la suite, aux pays de l'UE ». Le phénomène, qui prend de plus en plus d'ampleur, est loin d'être aisé à traiter, mais il n'est pas méconnu, a-t-il affirmé.
Le secrétaire d'Etat auprès du ministère des Affaires étrangères, chargé de la communauté nationale à l'étranger laisse entendre que les autorités turques sont, quelque peu, complices puisqu'ils expulsent ces jeunes, en situation irrégulière de leur territoire vers la Grèce.
« On a connaissance de cet état de fait, ce phénomène existe bel et bien », a-t-il reconnu, avant d'ajouter qu'« il existe, du côté turc une filière qui organise tous ces débarquements clandestins ». Il faut reconnaître, par ailleurs, la responsabilité des autorités turques dans l'affaire, a-t-il fait entendre. « Quelque part, il est clair que les Turcs ont leur part de responsabilité. Ils y a une forme de laxisme du côté des autorités turques », a-t-il expliqué.
Pour rappel, il y aurait plus de neuf cents clandestins algériens dans les prisons grecques sur un total avoisinant les cinq mille personnes vivant en situation irrégulière sur le territoire grec.
L'information est relayée par plusieurs médias, entre autres étrangers. Elle a été donnée en fin de semaine dernière, mais reste encore non confirmée. Ces mêmes médias citent une étude qui a été financée par l'Union européenne et conduite par un nombre important de chercheurs universitaires issus de plusieurs nationalités, notamment algérienne, espagnole, française et italienne.


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