En recevant le club congolais du TP Mazembe pour le compte de la dernière journée de la phase de poules de la Ligue africaine des champions, l'Entente de Sétif, encore sous le coup de l'élimination à l'issue du match précédent face à l'Espérance de Tunis, se devait avant tout de sauver l'honneur. Cependant l'image des gradins du stade du 8-Mai 45 archi vides s'est vite répercutée sur le moral des joueurs et leur rendement face à l'adversaire du jour, qualifié pour les demi-finales mais qui s'est produit à Sétif pour la forme. L'Entente de Sétif qui est sortie de la compétition africaine par la petite porte compte au total 6 points au classement général (3 nuls, 2 défaites dont une à domicile et 1 victoire à domicile). Selon les premières impressions recueillies auprès des dirigeants, et en premier lieu le président Serar, la déroute sétifienne en compétition africaine tire ses origines de la première défaite concédée à Sétif au mois de juillet dernier face au club tunisien de l'EST. Et, comme argument, le président des Noir et Blanc évoque la préparation intempestive du club dirigé par l'entraîneur limogé Nouredine Zekri. « J'aurai dû prendre les mesures qui s'imposent dès le départ, avant même de constater la catastrophe », regrette le président Serrar. Du côté de l'effectif ententiste, le club a payé un lourd tribut d'abord eu égard à la déception suscitée par cette confrontation sur laquelle misaient plus de 8 mille supporters qui ont effectué le déplacement de Tunis, et ensuite eu égard au nombre de blessés qui remplissent actuellement l'infirmerie du club en raison de l'importance de l'enjeu de ce match qualificatif pour les demi-finales. Delhoum, Belkaïd et Bouazza, indisponibles pour quelques temps sont considérés comme des pièces maîtresses de l'équipe. Même si la sortie imprévisible du superchampion de la coupe de l'Unaf de l'édition 2010 a fait tache d'huile dans le milieu sportif de la ville de Sétif, le nouvel entraîneur Giovani Solinas persiste à témoigner des prédispositions demeurées « intactes » de son club qui est prêt à aborder sous de bons augures le championnat national ainsi que les compétitions internationales inscrites dans son calendrier. Des propos rassurants de l'ex-préparateur physique de l'Entente aux côtés de Nouredine Zekri, mais qui doivent tout de même confirmer ses capacités à faire oublier ce dernier, qui est auteur de trois titres consécutifs depuis son débarquement d'Italie (coupe Arabe, Coupe de l'Unaf et coupe d'Algérie). Le dernier match de l'Entente de Sétif face au redoutable club de Mazembe du Congo a mis à nu le manque flagrant de conviction des joueurs, notamment Hadj Aïssa, Lemouchia et Chaouchi qui nourrissaient l'espoir pour rejoindre le nouvel effectif national composé par Benchikha. Cependant à quelques heures du match seulement, l'information qui fait état de la convocation du seul joueur ententiste Djabou n'a guère été du goût des principaux animateurs du jeu sétifien. Une information recueillie des vestiaires au milieu du climat de consternation qu'ont vécu les Noir et Blanc à la suite de l'élimination en Ligue des champions. En recevant le club congolais du TP Mazembe pour le compte de la dernière journée de la phase de poules de la Ligue africaine des champions, l'Entente de Sétif, encore sous le coup de l'élimination à l'issue du match précédent face à l'Espérance de Tunis, se devait avant tout de sauver l'honneur. Cependant l'image des gradins du stade du 8-Mai 45 archi vides s'est vite répercutée sur le moral des joueurs et leur rendement face à l'adversaire du jour, qualifié pour les demi-finales mais qui s'est produit à Sétif pour la forme. L'Entente de Sétif qui est sortie de la compétition africaine par la petite porte compte au total 6 points au classement général (3 nuls, 2 défaites dont une à domicile et 1 victoire à domicile). Selon les premières impressions recueillies auprès des dirigeants, et en premier lieu le président Serar, la déroute sétifienne en compétition africaine tire ses origines de la première défaite concédée à Sétif au mois de juillet dernier face au club tunisien de l'EST. Et, comme argument, le président des Noir et Blanc évoque la préparation intempestive du club dirigé par l'entraîneur limogé Nouredine Zekri. « J'aurai dû prendre les mesures qui s'imposent dès le départ, avant même de constater la catastrophe », regrette le président Serrar. Du côté de l'effectif ententiste, le club a payé un lourd tribut d'abord eu égard à la déception suscitée par cette confrontation sur laquelle misaient plus de 8 mille supporters qui ont effectué le déplacement de Tunis, et ensuite eu égard au nombre de blessés qui remplissent actuellement l'infirmerie du club en raison de l'importance de l'enjeu de ce match qualificatif pour les demi-finales. Delhoum, Belkaïd et Bouazza, indisponibles pour quelques temps sont considérés comme des pièces maîtresses de l'équipe. Même si la sortie imprévisible du superchampion de la coupe de l'Unaf de l'édition 2010 a fait tache d'huile dans le milieu sportif de la ville de Sétif, le nouvel entraîneur Giovani Solinas persiste à témoigner des prédispositions demeurées « intactes » de son club qui est prêt à aborder sous de bons augures le championnat national ainsi que les compétitions internationales inscrites dans son calendrier. Des propos rassurants de l'ex-préparateur physique de l'Entente aux côtés de Nouredine Zekri, mais qui doivent tout de même confirmer ses capacités à faire oublier ce dernier, qui est auteur de trois titres consécutifs depuis son débarquement d'Italie (coupe Arabe, Coupe de l'Unaf et coupe d'Algérie). Le dernier match de l'Entente de Sétif face au redoutable club de Mazembe du Congo a mis à nu le manque flagrant de conviction des joueurs, notamment Hadj Aïssa, Lemouchia et Chaouchi qui nourrissaient l'espoir pour rejoindre le nouvel effectif national composé par Benchikha. Cependant à quelques heures du match seulement, l'information qui fait état de la convocation du seul joueur ententiste Djabou n'a guère été du goût des principaux animateurs du jeu sétifien. Une information recueillie des vestiaires au milieu du climat de consternation qu'ont vécu les Noir et Blanc à la suite de l'élimination en Ligue des champions.
