Les chantiers du tramway sont bel et bien à l'arrêt depuis le début de semaine. Au niveau du boulevard de la Soummam, du côté de la cité Filali, ou même du stade Ben-Abdelmalek aucune activité n'est relevée. Sur ces chantiers qui font partie du grand projet du tramway, seuls les gardiens sont toujours présents sur les lieux depuis que les travailleurs ont déclenché un mouvement de grève en signe de protestation contre leurs mauvaises conditions socio-professionnelles depuis le lancement des travaux, il y a plusieurs mois. Ils sont ainsi quelque sept cents personnes à crier leur mécontentement, particulièrement en ce qui concerne les retards pour le réglement des salaires. Le ras-le-bol est monté d'un cran après l'épisode des avances, selon leurs dires. La ponction effectuée sur leur dernier salaire concernant une avance accordée par l'employeur, l'entreprise italienne Pizzarotti, à l'occasion des fêtes de l'Aïd, a été récupérée en une seule mensualité alors qu'il était convenu d'un échéancier. Dimanche dernier, les travailleurs ont battu le pavé devant la base de vie du site de Zouaghui pour dénoncer la précarité de leur situation. D'autres griefs sont également brandis, tels la suppression de la prime de restauration pour le mois de Ramadhan, celle de risque, jugée trop insignifiante, (40 dinars), ou encore les licenciements sans le moindre préavis. Le gel des travaux constitue un préjudice considérable pour le respect des délais de livraison, fixés à dans un an et demi. Les responsables, qui ont qualifié cette grève d'illégale, s'en seraient aisément passés, d'autant qu'elle occasionnera, encore une fois, du retard dans l'avancement du projet. Ce dernier, et pour des raisons géotechniques, n'a pas démarré à la date qui lui a été impartie. Des négociations seraient entamées pour décanter la situation et assurer la livraison du tramway dans les temps. Les chantiers du tramway sont bel et bien à l'arrêt depuis le début de semaine. Au niveau du boulevard de la Soummam, du côté de la cité Filali, ou même du stade Ben-Abdelmalek aucune activité n'est relevée. Sur ces chantiers qui font partie du grand projet du tramway, seuls les gardiens sont toujours présents sur les lieux depuis que les travailleurs ont déclenché un mouvement de grève en signe de protestation contre leurs mauvaises conditions socio-professionnelles depuis le lancement des travaux, il y a plusieurs mois. Ils sont ainsi quelque sept cents personnes à crier leur mécontentement, particulièrement en ce qui concerne les retards pour le réglement des salaires. Le ras-le-bol est monté d'un cran après l'épisode des avances, selon leurs dires. La ponction effectuée sur leur dernier salaire concernant une avance accordée par l'employeur, l'entreprise italienne Pizzarotti, à l'occasion des fêtes de l'Aïd, a été récupérée en une seule mensualité alors qu'il était convenu d'un échéancier. Dimanche dernier, les travailleurs ont battu le pavé devant la base de vie du site de Zouaghui pour dénoncer la précarité de leur situation. D'autres griefs sont également brandis, tels la suppression de la prime de restauration pour le mois de Ramadhan, celle de risque, jugée trop insignifiante, (40 dinars), ou encore les licenciements sans le moindre préavis. Le gel des travaux constitue un préjudice considérable pour le respect des délais de livraison, fixés à dans un an et demi. Les responsables, qui ont qualifié cette grève d'illégale, s'en seraient aisément passés, d'autant qu'elle occasionnera, encore une fois, du retard dans l'avancement du projet. Ce dernier, et pour des raisons géotechniques, n'a pas démarré à la date qui lui a été impartie. Des négociations seraient entamées pour décanter la situation et assurer la livraison du tramway dans les temps.