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Le tracas des parents
Surcharge des classes à Alger
Publié dans Le Midi Libre le 16 - 10 - 2010

Le problème de la surcharge des classes ne semble pas épargner la capitale qui, elle aussi, souffre dans plusieurs de ses localités de ce grand problème qui perturbe les parents.
Le problème de la surcharge des classes ne semble pas épargner la capitale qui, elle aussi, souffre dans plusieurs de ses localités de ce grand problème qui perturbe les parents.
Si du côté d'El Madania et Hydra les classes n'acceillent pas plus de vingt élèves, ces derniers s'entassent pour suivre leurs cours dans les communes de Bir-Touta Souidania, Draria, El Achour, Douèra, Ain Naâdja où les classes comptent de 40 à 50 élèves, voire plus. Pourtant la direction de l'éducation de la wilaya d'Alger avait redoublé d'efforts dans les quelques dernières semaines précédant la rentrée scolaire, pour assurer la meilleure prise en charge possible pour les quelque trois cent mille élèves appelés à rejoindre les bancs des établissements scolaires des trois paliers confondus dans toutes les régions de la capitale. Les directions de l'éducation de l'est, de l'ouest et du centre de la capitale ont élaboré un riche programme en perspective de cette rentrée scolaire 2010/2011. Quelque trente-neuf nouveaux établissements devaient être réceptionnés à la la rentrée scolaire. Tandis que l'ouest de la capitale, verra la réalisation de quinze établissements scolaires, toujours dans les trois cycles confondus et dont sept devait être prêts à la rentrée scolaire. Il est à noter aussi que l'ensemble des communes algéroises ont procédé à la réfection des établissements scolaires et aussi à la mise en place de cantines. En fait, en matière de restauration, sur les trente-huit cantines scolaires qui devaient être ouvertes, 20 sont aujourd'hui opérationnelles, cette année, dans plusieurs communes de la capitale à l'instar de Staoueli, Souidania, Khraissia, Chéraga, Heraoua, Belcourt, Zéralda et Mahelma, cela pour tenter de mettre fin au calvaire des élèves résidant loin de leurs écoles, notamment ceux habitant Heraoua, Khraissia et Souidania, soit à des kilomètres de leurs écoles et qui sont donc contraints de déjeûner sur les lieux mêmes. Cette situation est encore plus pénible pour eux en hiver où leur corps, en pleine croissance, ont besoin d'un déjeuner consistant et diététique. D'autre part, la direction de l'éducation a également prévu l'ouverture de plusieurs établissements scolaires dans les trois paliers au profit des enfants des familles récemment relogées dans les communes de Birtouta, Saoula et Tessala El-Merdja. Ainsi, ces familles ne devraient rencontrer aucun problème pour scolariser leurs enfants grâce à l'ouverture de ces nouveaux établissements, apprend-on auprès d'un responsable de la direction de l'éducation. Mais apparemment, la réalité est toute autre puisque ces villes justement sont les plus touchées par le problème de surcharge dans les classes. Dans la localité de Ain Nâadja, par exemple, nous trouverons les élèves de deux paliers dans la même école, celle dite Azizi Ahmed et ce, depuis maintenant plus de trois ans après la fermeture d'un CEM dans la localité de Gué-de-Constantine. Les responsables ont donc transféré les collegiens dudit CEM au primaire Azizi Ahmed. Pour céder donc des classes aux èlèves du CEM, les petits enfants du primaire se retrouvent à plus de cinquante par classe.
Une situation qui ne peut qu'abaisser davantage le niveau des élèves surtout avec le nouveau programme. "La surcharge des classes est tout à fait incompatible avec la nouvelle méthode d'enseignement basée sur l'approche par compétence. Celle-ci nécessite des classes entre 18 et 24 élèves au maximum", affirme un parent d'élève qui avec des dizaines d'autres parents ne cessent de réclamer le transfert des collégiens du CEM auprès des autorités concernées qui "ne semblent pas du tout inquiètes pour le sort de ces enfants". Au niveau du préscolaire à El Achour aussi le même problème se pose. Des classes se trouvent avec plus de 40 élèves alors qu'une circulaire de la tutelle fixe le nombre d'élèves à 24 par classe au maximum.
Si du côté d'El Madania et Hydra les classes n'acceillent pas plus de vingt élèves, ces derniers s'entassent pour suivre leurs cours dans les communes de Bir-Touta Souidania, Draria, El Achour, Douèra, Ain Naâdja où les classes comptent de 40 à 50 élèves, voire plus. Pourtant la direction de l'éducation de la wilaya d'Alger avait redoublé d'efforts dans les quelques dernières semaines précédant la rentrée scolaire, pour assurer la meilleure prise en charge possible pour les quelque trois cent mille élèves appelés à rejoindre les bancs des établissements scolaires des trois paliers confondus dans toutes les régions de la capitale. Les directions de l'éducation de l'est, de l'ouest et du centre de la capitale ont élaboré un riche programme en perspective de cette rentrée scolaire 2010/2011. Quelque trente-neuf nouveaux établissements devaient être réceptionnés à la la rentrée scolaire. Tandis que l'ouest de la capitale, verra la réalisation de quinze établissements scolaires, toujours dans les trois cycles confondus et dont sept devait être prêts à la rentrée scolaire. Il est à noter aussi que l'ensemble des communes algéroises ont procédé à la réfection des établissements scolaires et aussi à la mise en place de cantines. En fait, en matière de restauration, sur les trente-huit cantines scolaires qui devaient être ouvertes, 20 sont aujourd'hui opérationnelles, cette année, dans plusieurs communes de la capitale à l'instar de Staoueli, Souidania, Khraissia, Chéraga, Heraoua, Belcourt, Zéralda et Mahelma, cela pour tenter de mettre fin au calvaire des élèves résidant loin de leurs écoles, notamment ceux habitant Heraoua, Khraissia et Souidania, soit à des kilomètres de leurs écoles et qui sont donc contraints de déjeûner sur les lieux mêmes. Cette situation est encore plus pénible pour eux en hiver où leur corps, en pleine croissance, ont besoin d'un déjeuner consistant et diététique. D'autre part, la direction de l'éducation a également prévu l'ouverture de plusieurs établissements scolaires dans les trois paliers au profit des enfants des familles récemment relogées dans les communes de Birtouta, Saoula et Tessala El-Merdja. Ainsi, ces familles ne devraient rencontrer aucun problème pour scolariser leurs enfants grâce à l'ouverture de ces nouveaux établissements, apprend-on auprès d'un responsable de la direction de l'éducation. Mais apparemment, la réalité est toute autre puisque ces villes justement sont les plus touchées par le problème de surcharge dans les classes. Dans la localité de Ain Nâadja, par exemple, nous trouverons les élèves de deux paliers dans la même école, celle dite Azizi Ahmed et ce, depuis maintenant plus de trois ans après la fermeture d'un CEM dans la localité de Gué-de-Constantine. Les responsables ont donc transféré les collegiens dudit CEM au primaire Azizi Ahmed. Pour céder donc des classes aux èlèves du CEM, les petits enfants du primaire se retrouvent à plus de cinquante par classe.
Une situation qui ne peut qu'abaisser davantage le niveau des élèves surtout avec le nouveau programme. "La surcharge des classes est tout à fait incompatible avec la nouvelle méthode d'enseignement basée sur l'approche par compétence. Celle-ci nécessite des classes entre 18 et 24 élèves au maximum", affirme un parent d'élève qui avec des dizaines d'autres parents ne cessent de réclamer le transfert des collégiens du CEM auprès des autorités concernées qui "ne semblent pas du tout inquiètes pour le sort de ces enfants". Au niveau du préscolaire à El Achour aussi le même problème se pose. Des classes se trouvent avec plus de 40 élèves alors qu'une circulaire de la tutelle fixe le nombre d'élèves à 24 par classe au maximum.


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