Le projet d'élaboration d'un système d'information géographique et immobilière (SIGI), entamé fin 2008 par la direction générale de l'office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) de Médéa, est "en bonne voie", a indiqué à l'APS, le directeur de cet organisme. L'objectif recherché à travers ce système est d'arriver à une meilleure maîtrise dans la gestion du patrimoine de l'OPGI et des projets à son actif, a-t-on précisé de même source. Le système d'information géographique et immobilière connaît, depuis peu, un début d'application, au niveau de certains services internes rattachés à la direction de l'office, a souligné M. Mohamed Mordjani, ajoutant que sa généralisation à d'autres départements et services directement concernés par ce système interviendra de manière graduelle. Il a ajouté, dans ce contexte, qu'une base de données initiale, contenant l'essentiel des informations relatives au secteur, existe déjà, signalant que les données techniques de plusieurs cités ont été répertoriées et introduites dans le fichier informatisé de l'office. Ces données offrent une cartographie exacte du parc immobilier au niveau des cités ciblées, notamment l'identification du bien immobilier, la fiche technique de l'immeuble, l'identification des locataires, en sus des informations susceptibles de faciliter l'intervention des équipes techniques de l'OPGI sur le site en question ou l'immeuble, a expliqué le même responsable. Outre les multiples avantages qu'il offre dans la gestion d'un parc immobilier en constante augmentation, le SIGI peut être d'un apport non négligeable pour les autres organismes intervenant dans le secteur de l'habitat et de l'urbanisme de manière générale, a indiqué le directeur de l'OPGI. Les données incluses dans ce système offrent l'avantage de faciliter l'intervention sur les réseaux divers ou d'électricité qui alimentent les immeubles gérés par l'office et pouvoir ainsi réaliser toutes sortes de travaux de réparation ou de rénovation dans les meilleures conditions de travail possibles, a-t-il relevé. Le SIGI, qui est un processus dynamique, nécessite, selon M.Mordjani, une actualisation permanente des informations collectées pour s'inscrire dans une démarche pérenne tendant vers une amélioration constante des méthodes de gestion du parc immobilier local. Le projet d'élaboration d'un système d'information géographique et immobilière (SIGI), entamé fin 2008 par la direction générale de l'office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) de Médéa, est "en bonne voie", a indiqué à l'APS, le directeur de cet organisme. L'objectif recherché à travers ce système est d'arriver à une meilleure maîtrise dans la gestion du patrimoine de l'OPGI et des projets à son actif, a-t-on précisé de même source. Le système d'information géographique et immobilière connaît, depuis peu, un début d'application, au niveau de certains services internes rattachés à la direction de l'office, a souligné M. Mohamed Mordjani, ajoutant que sa généralisation à d'autres départements et services directement concernés par ce système interviendra de manière graduelle. Il a ajouté, dans ce contexte, qu'une base de données initiale, contenant l'essentiel des informations relatives au secteur, existe déjà, signalant que les données techniques de plusieurs cités ont été répertoriées et introduites dans le fichier informatisé de l'office. Ces données offrent une cartographie exacte du parc immobilier au niveau des cités ciblées, notamment l'identification du bien immobilier, la fiche technique de l'immeuble, l'identification des locataires, en sus des informations susceptibles de faciliter l'intervention des équipes techniques de l'OPGI sur le site en question ou l'immeuble, a expliqué le même responsable. Outre les multiples avantages qu'il offre dans la gestion d'un parc immobilier en constante augmentation, le SIGI peut être d'un apport non négligeable pour les autres organismes intervenant dans le secteur de l'habitat et de l'urbanisme de manière générale, a indiqué le directeur de l'OPGI. Les données incluses dans ce système offrent l'avantage de faciliter l'intervention sur les réseaux divers ou d'électricité qui alimentent les immeubles gérés par l'office et pouvoir ainsi réaliser toutes sortes de travaux de réparation ou de rénovation dans les meilleures conditions de travail possibles, a-t-il relevé. Le SIGI, qui est un processus dynamique, nécessite, selon M.Mordjani, une actualisation permanente des informations collectées pour s'inscrire dans une démarche pérenne tendant vers une amélioration constante des méthodes de gestion du parc immobilier local.
