L'attribution de nouvelles lignes de transport en commun s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des instructions du ministère de la tutelle relatives à l'encouragement des investissements créateurs d'emplois, notamment au titre des dispositifs de soutien. L'attribution de nouvelles lignes de transport en commun s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des instructions du ministère de la tutelle relatives à l'encouragement des investissements créateurs d'emplois, notamment au titre des dispositifs de soutien. Plus de 400 autorisations d'exploitation de lignes de transport en commun ont été délivrées depuis fin 2009 à Souk-Ahras, donnant lieu à la création de 1.200 postes d'emploi, selon le directeur des transports. Estimant que le secteur des transports est localement "l'un des plus importants secteurs générateurs d'emplois", le responsable a indiqué que l'attribution des nouvelles autorisations s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des instructions du ministère de la tutelle relatives à l'encouragement des investissements créateurs d'emploi, notamment au titre des dispositifs de soutien. Durant la même période, 284 nouveaux opérateurs activant dans le secteur des transports de marchandises ont été agréés, favorisant la création de 500 emplois, selon le même responsable qui précise que 122 parmi ces opérateurs ont bénéficié des dispositifs de la caisse nationale d'assurance chômage (CNAC), avec 129 emplois, et de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (ANSEJ), pour 208 emplois. Les 7 nouvelles auto-écoles agréées dans la wilaya ont permis, en outre, la création de 21 emplois, indique encore le même responsable, soulignant que la direction des transports qui occupe désormais un tout nouveau siège, a recruté 15 jeunes dont 6 dans le cadre du pré-emploi et 9 au titre des contrats d'insertion sociale. Depuis le second semestre 2009, 64 bus totalisant 2.671 sièges ont été mis en circulation sur les différentes lignes de transport urbain dans la wilaya qui compte également 929 taxis dont 318 assurent des dessertes urbaines dans les villes de Souk Ahras et de Sedrata. L'amélioration de la mobilité des personnes et le désenclavement des campagnes et des localités reculées sont, affirme-t-on, "les principales préoccupations" des responsables du secteur dans cette wilaya frontalière où trois gares routières sont en voie de construction à Souk Ahras, Sedrata et Oum Laadhaïm. Ces trois infrastructures retenues au titre du programme de développement des Hauts- Plateaux devront à terme contribuer à la création d'un nombre important d'emplois à travers les activités et les services qui y seront fournis. Assurance contre la sécheresse Journée de sensibilisation sur les modalités Une journée de sensibilisation sur les modalités de l'assurance contre la sécheresse pouvant affecter les récoltes a été animée, mercredi dernier, au siège de la Direction des services agricoles (DSA) de Souk-Ahras par des cadres de la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA). Au cours de cette rencontre qui a réuni des cadres du secteur et des céréaliculteurs, un cadre de la CNMA a estimé que cette assurance constitue "un indicateur de l'évolution du secteur agricole et de l'amélioration des revenus des producteurs". Cette responsable a, notamment, plaidé pour la vulgarisation de la "culture de l'assurance" auprès des professionnels de la terre. Evoquant l'importance de la gestion des risques dus aux perturbations climatiques, elle a indiqué que ce nouveau produit "assurance-sécheresse" sera mis sur le marché d'ici la fin 2010 pour s'ajouter aux autres produits d'assurance contre les précipitations de grêles et les incendies. Reconnaissant le coût "relativement élevé" de l'assurance-sécheresse, du fait de l'ampleur du risque qui pourrait dévaster de vastes superficies, elle a fait savoir qu'un dossier a été déposé par devant les instances concernées pour un éventuel soutien public aux agriculteurs assurant leurs récoltes. Elle a également relevé que la CNMA contribue à préserver les biens agricoles et à garantir un revenu minimal aux agriculteurs, à même d'assurer la pérennité de leur activité. S'agissant des différents produits d'assurance proposés par la CNMA, cette même responsable a estimé que la CNMA s'est engagée dans une politique de modernisation des assurances agricoles et participe au développement agricole qui garantit la stabilité de l'économie nationale et la sécurité alimentaire du pays. Le DSA de Souk-Ahras a estimé, de son côté, que l'assurance-sécheresse constitue un encouragement aux agriculteurs, notamment ceux de la partie méridionale de la wilaya où la moyenne pluviométrique ne dépasse point les 400 mm. Les agriculteurs ont soulevé dans leurs interventions plusieurs questions en rapport avec les modalités de souscription à une assurance-sécheresse et ont préconisé le recours à plusieurs expertises agricoles pour plus de transparence. L'origine du "marché des lions" Souk-Ahras est extraite de deux mots : l'arabe souk qui signifie «marché» et le berbère chaoui ahras «lion» (en raison de la présence de ces animaux jusqu'en 1930 dans ses forêts), donnant ainsi "le marché des lions". Ville natale de Saint Augustin (né le 13 Novembre 354), évêque d'Hippone, Souk-Ahras a joué un rôle important dans l'histoire politique et culturelle de l'Algérie en raison de sa position stratégique. Carrefour des civilisations numide, puis romaine et, enfin, berbère, elle fut le lieu de fortifications militaires (Madaure, Tifèche, Khemissa...) que de centres urbaines. Pendant la colonisation française, elle est devenue une importante ville commerciale assurant les échanges entre le sud, le nord-est algérien et la Tunisie. Pendant la Révolution, elle a abrité dans les djebels des Ouled Bechiah une base autonome des différentes wilayas de l'Armée de Libération nationale, appelée Base de l'Est. A l'Indépendance, elle est entrée en déclin malgré le fait qu'un grand nombre des dirigeants politiques et militaires du pays en étaient originaires. Géographiquement, elle est située dans une cuvette, entourée de montagnes boisées comme le Djebel Boussalah. Elle est aussi traversée par un des principaux oueds maghrébins, la Medjerda. Elle est entourée par la République tunisienne à l'est, la wilaya de Guelma (24) au nord-ouest, la wilaya de Oum-El-Bouaghi (04) au sud-ouest, la wilaya de Tébessa (12) au sud et la wilaya d'El-Tarf (36) au nord. Plus de 400 autorisations d'exploitation de lignes de transport en commun ont été délivrées depuis fin 2009 à Souk-Ahras, donnant lieu à la création de 1.200 postes d'emploi, selon le directeur des transports. Estimant que le secteur des transports est localement "l'un des plus importants secteurs générateurs d'emplois", le responsable a indiqué que l'attribution des nouvelles autorisations s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des instructions du ministère de la tutelle relatives à l'encouragement des investissements créateurs d'emploi, notamment au titre des dispositifs de soutien. Durant la même période, 284 nouveaux opérateurs activant dans le secteur des transports de marchandises ont été agréés, favorisant la création de 500 emplois, selon le même responsable qui précise que 122 parmi ces opérateurs ont bénéficié des dispositifs de la caisse nationale d'assurance chômage (CNAC), avec 129 emplois, et de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (ANSEJ), pour 208 emplois. Les 7 nouvelles auto-écoles agréées dans la wilaya ont permis, en outre, la création de 21 emplois, indique encore le même responsable, soulignant que la direction des transports qui occupe désormais un tout nouveau siège, a recruté 15 jeunes dont 6 dans le cadre du pré-emploi et 9 au titre des contrats d'insertion sociale. Depuis le second semestre 2009, 64 bus totalisant 2.671 sièges ont été mis en circulation sur les différentes lignes de transport urbain dans la wilaya qui compte également 929 taxis dont 318 assurent des dessertes urbaines dans les villes de Souk Ahras et de Sedrata. L'amélioration de la mobilité des personnes et le désenclavement des campagnes et des localités reculées sont, affirme-t-on, "les principales préoccupations" des responsables du secteur dans cette wilaya frontalière où trois gares routières sont en voie de construction à Souk Ahras, Sedrata et Oum Laadhaïm. Ces trois infrastructures retenues au titre du programme de développement des Hauts- Plateaux devront à terme contribuer à la création d'un nombre important d'emplois à travers les activités et les services qui y seront fournis. Assurance contre la sécheresse Journée de sensibilisation sur les modalités Une journée de sensibilisation sur les modalités de l'assurance contre la sécheresse pouvant affecter les récoltes a été animée, mercredi dernier, au siège de la Direction des services agricoles (DSA) de Souk-Ahras par des cadres de la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA). Au cours de cette rencontre qui a réuni des cadres du secteur et des céréaliculteurs, un cadre de la CNMA a estimé que cette assurance constitue "un indicateur de l'évolution du secteur agricole et de l'amélioration des revenus des producteurs". Cette responsable a, notamment, plaidé pour la vulgarisation de la "culture de l'assurance" auprès des professionnels de la terre. Evoquant l'importance de la gestion des risques dus aux perturbations climatiques, elle a indiqué que ce nouveau produit "assurance-sécheresse" sera mis sur le marché d'ici la fin 2010 pour s'ajouter aux autres produits d'assurance contre les précipitations de grêles et les incendies. Reconnaissant le coût "relativement élevé" de l'assurance-sécheresse, du fait de l'ampleur du risque qui pourrait dévaster de vastes superficies, elle a fait savoir qu'un dossier a été déposé par devant les instances concernées pour un éventuel soutien public aux agriculteurs assurant leurs récoltes. Elle a également relevé que la CNMA contribue à préserver les biens agricoles et à garantir un revenu minimal aux agriculteurs, à même d'assurer la pérennité de leur activité. S'agissant des différents produits d'assurance proposés par la CNMA, cette même responsable a estimé que la CNMA s'est engagée dans une politique de modernisation des assurances agricoles et participe au développement agricole qui garantit la stabilité de l'économie nationale et la sécurité alimentaire du pays. Le DSA de Souk-Ahras a estimé, de son côté, que l'assurance-sécheresse constitue un encouragement aux agriculteurs, notamment ceux de la partie méridionale de la wilaya où la moyenne pluviométrique ne dépasse point les 400 mm. Les agriculteurs ont soulevé dans leurs interventions plusieurs questions en rapport avec les modalités de souscription à une assurance-sécheresse et ont préconisé le recours à plusieurs expertises agricoles pour plus de transparence. L'origine du "marché des lions" Souk-Ahras est extraite de deux mots : l'arabe souk qui signifie «marché» et le berbère chaoui ahras «lion» (en raison de la présence de ces animaux jusqu'en 1930 dans ses forêts), donnant ainsi "le marché des lions". Ville natale de Saint Augustin (né le 13 Novembre 354), évêque d'Hippone, Souk-Ahras a joué un rôle important dans l'histoire politique et culturelle de l'Algérie en raison de sa position stratégique. Carrefour des civilisations numide, puis romaine et, enfin, berbère, elle fut le lieu de fortifications militaires (Madaure, Tifèche, Khemissa...) que de centres urbaines. Pendant la colonisation française, elle est devenue une importante ville commerciale assurant les échanges entre le sud, le nord-est algérien et la Tunisie. Pendant la Révolution, elle a abrité dans les djebels des Ouled Bechiah une base autonome des différentes wilayas de l'Armée de Libération nationale, appelée Base de l'Est. A l'Indépendance, elle est entrée en déclin malgré le fait qu'un grand nombre des dirigeants politiques et militaires du pays en étaient originaires. Géographiquement, elle est située dans une cuvette, entourée de montagnes boisées comme le Djebel Boussalah. Elle est aussi traversée par un des principaux oueds maghrébins, la Medjerda. Elle est entourée par la République tunisienne à l'est, la wilaya de Guelma (24) au nord-ouest, la wilaya de Oum-El-Bouaghi (04) au sud-ouest, la wilaya de Tébessa (12) au sud et la wilaya d'El-Tarf (36) au nord.
