Mohand-Cherif Hanachi a révélé, hier, que Mohamed Raouraoua lui aurait demandé d'arranger le match comptant pour La ligue des champions d'Afrique contre le club égyptien El Ahly El Misri. Mohand-Cherif Hanachi a révélé, hier, que Mohamed Raouraoua lui aurait demandé d'arranger le match comptant pour La ligue des champions d'Afrique contre le club égyptien El Ahly El Misri. Une fois de plus, en moins de quinze jours, Hannachi a organisé, hier, une conférence de presse au siège de la Jeunesse sportive de Kabylie. Une fois de plus également, Hannachi s'en prend à Raouraoua qui semble devenir à ses yeux, «non plus l'adversaire numéro 1, mais l'ennemi numéro 1 au vu des propos acerbes qu'il prononce en évoquant le responsable de la FAF». L'accusation formulée hier par Hannachi est très grave et ne peut pas rester sans suite, en tout état de cause. La sortie médiatique de Hannachi, hier, n'est pas fortuite. Elle intervient après la notification de la décision de sa suspension pour une durée de deux ans par la Fédération algérienne de foot-ball. Le boss du club kabyle, qui risque de ne plus l'être depuis le week-end écoulée et ce, pour au moins deux années, a estimé que Raouraoua lui tient rancune aprèsson refus de satisfaire sa demande inhérente à l'arrangement du match contre le club égyptien. Mohand-Cherif Hannachi a ajouté que le président de la FAF lui a promis de s'acquitter des frais de l'avion spécial affrété pour le déplacement de son club vers le Nigeria. Puis, ajoute Hannachi, Raouraoua se serait rétracté. Raouraoua a ensuite adressé une note exigeant de la JSK la prise en charge des frais du voyage. Hannachi a indiqué que ce sont là les raisons qui ont motivé la décision de sa suspension. Il a révélé aussi qu'il ignore si cette décision a été prise par la Ligue amateur ou par la Ligue professionnelle. « la FAF veut casser la JSK qui a rendu espoir au football algérien et qui a fait mal à son président », a souligné Hannachi. Le président de la JSK a précisé qu'il n'allait pas rester les bras croisés suite à cette sanction. Il a ajouté qu'il allait se reposer pendant deux semaines avant d'alerter les instances nationales et internationales sur ce qu'il qualifie « d'agissements du président de la FAF ». Hannachi n'a pas exclu la possibilité de recourir au tribunal sportif. Quant à l'éventualité d'un recours, Hannachi a exprimé son refus de le faire. Hannachi a affirmé que les présidents des clubs professionnels se réuniront le 24 novembre prochain à Alger pour débattre de toutes les questions de l'heure. Hannachi a-t-il encore le droit d'assister à cette rencontre après sa notification de la sanction par la FAF ? On le saura bientôt. Une fois de plus, en moins de quinze jours, Hannachi a organisé, hier, une conférence de presse au siège de la Jeunesse sportive de Kabylie. Une fois de plus également, Hannachi s'en prend à Raouraoua qui semble devenir à ses yeux, «non plus l'adversaire numéro 1, mais l'ennemi numéro 1 au vu des propos acerbes qu'il prononce en évoquant le responsable de la FAF». L'accusation formulée hier par Hannachi est très grave et ne peut pas rester sans suite, en tout état de cause. La sortie médiatique de Hannachi, hier, n'est pas fortuite. Elle intervient après la notification de la décision de sa suspension pour une durée de deux ans par la Fédération algérienne de foot-ball. Le boss du club kabyle, qui risque de ne plus l'être depuis le week-end écoulée et ce, pour au moins deux années, a estimé que Raouraoua lui tient rancune aprèsson refus de satisfaire sa demande inhérente à l'arrangement du match contre le club égyptien. Mohand-Cherif Hannachi a ajouté que le président de la FAF lui a promis de s'acquitter des frais de l'avion spécial affrété pour le déplacement de son club vers le Nigeria. Puis, ajoute Hannachi, Raouraoua se serait rétracté. Raouraoua a ensuite adressé une note exigeant de la JSK la prise en charge des frais du voyage. Hannachi a indiqué que ce sont là les raisons qui ont motivé la décision de sa suspension. Il a révélé aussi qu'il ignore si cette décision a été prise par la Ligue amateur ou par la Ligue professionnelle. « la FAF veut casser la JSK qui a rendu espoir au football algérien et qui a fait mal à son président », a souligné Hannachi. Le président de la JSK a précisé qu'il n'allait pas rester les bras croisés suite à cette sanction. Il a ajouté qu'il allait se reposer pendant deux semaines avant d'alerter les instances nationales et internationales sur ce qu'il qualifie « d'agissements du président de la FAF ». Hannachi n'a pas exclu la possibilité de recourir au tribunal sportif. Quant à l'éventualité d'un recours, Hannachi a exprimé son refus de le faire. Hannachi a affirmé que les présidents des clubs professionnels se réuniront le 24 novembre prochain à Alger pour débattre de toutes les questions de l'heure. Hannachi a-t-il encore le droit d'assister à cette rencontre après sa notification de la sanction par la FAF ? On le saura bientôt.
